samedi, janvier 27, 2007

Leçon tirer d'un profil

Avec sa permission, je travaille à partir d’un texte qui est venu me toucher de près suite à diverses situations vécus. On a tous un vécu, certain plus simple que d’autre et d’autre dont le parcours fût un peu plus nébuleux, plus ardue et dont les marques laisse au passage certaines cicatrices profondes sur nôtre âme. Mais quoi qu’il en soit, rien n’arrive pour rien, on apprend à partir de tout et tous.

« ….. je n’ai aucunes tolérance pour la boisson, les drogues, la concupiscence, les mesquineries et le snobisme. À part de ça, je rêve d’un monde meilleur tout en continuant à le saccager parfois, un peu comme tout le monde. Je m’entend mieux avec des gars aux revenus modestes et qui sont casaniers. Je crois être devenu marginal, mais j’ai trouvé mon équilibre, je serai tjrs un rêveur, c’est ce qu’un être cher m’a dit en s’éteignant le sourire dans les yeux. » texte-profil de silverdaddies.

Je lui ai demandé la permission d’utiliser une partie de son texte mais j’ai quasiment tout pris pour expliquer ce qu'est et fais, en fait la philosophie derrière « Payer au suivant ».

Pour moi, la boisson et les drogues sont des moyens utilisés pour échapper à un mal être intérieur, l’âme souffre. Souffre de quoi au juste ??? Seulement les personnes vivant de cette condition pourraient répondre plus adéquatement que moi sur cette question. Mais d’après moi, toute personne censée sont en mesure de comprendre le mal qui se vis à l’intérieur d’un être sans à avoir à accepter la condition pour autant. Ceci n’est pas un blâme envers l’être ou l’individu mais une affirmation des fois que nous sommes incapable, et des fois avec raisons, de venir en aide efficacement, apporté un apport évolutif envers une personne qui souffre. Pourtant le film en question a comme source de départ, de réception d’aide sans conditions, une personne vivant avec une telle condition.

La concupiscence ou le penchant à jouir des biens terrestres voir même le désir maladif de vivre des plaisirs charnels, sensuels bien éphémères. La mesquinerie ou méchanceté par manque de grandeur, manque de générosité, des actes d’extrêmes petitesses voir médiocres. Le snobisme qui voue une admiration pour tout ce qui est en vogue dans des milieux tenus pour distingués. Sont d’autres exemples, pris du même texte et qui démontre un manque, une faiblesse, une blessure, une non-acceptation, un mal être de certaines âmes encore.

À bien y penser, plusieurs âmes ou êtres souffrent dans cette vie, et je ne suis pas différent des autres.

Appeler moi rêveur moi aussi, idéaliste et jeter moi la pierre quand vous trouvez que je suis complètement disjoncter, hors du commun ou complètement irréel dans ce que je pense où fait de ma vie. Le problème résidera tout de même dans le fait que j’y crois en ce monde meilleur, que je crois sincèrement que je fais de mon mieux pour changer ce monde. Et qu’à certaines occasions, moi aussi est coupable de saccager le monde. Bien que non-intentionnellement quand cela arrive, le fait réside qu’à la base il y a de la bonne volonté et c’est tout ce qui compte pour moi, agir de mon mieux et que si au passage je fais mal, bien cela confirme que je suis bel et bien humain et faillible aussi. Je me pardonne donc pour cela et en même temps heureux de me savoir faisant partie prenante du monde humain.

J’ai déjà été riche, puissant et on disait alors que John réussis bien sa vie. Quoiqu’il en soit, reflétant le parcours, le chemin de ma vie, le regard que j'accorde à cette période de vie quand je daigne vouloir réfléchir, il y a des choses où moi, je suis honteux de certains actes posés mais que j’ai appris avec le temps à me pardonner et comprendre le fond du mal qui résidais en moi. Le pire juge dans la vie est soi. On se juge beaucoup plus durement que les autres.

Vivre de façon modeste, c’est ce que je fais, c’est ce que je suis et c’est où je trouve ma valeur, mon moi, mon équilibre. En bas de tout, en bas de tout échelle, on y trouve la vérité cru et nu. On y trouve vraiment les valeurs profondes, celles qui comptent vraiment. On vois plus clairement la détresse, le mal des autres quand avant je m’en foutais éperdument. On ne peux plus se nier, nier les autres et on en arrive à se dire, il y a plus de sens dans ce que je vois. Et ainsi en arrive un jour, à évoluer, grandir, devenir fort et confronter le visage du mal. Tu change pour changer le monde. Il est de beaucoup mieux tenter de faire quelque chose que de demeurer inerte. L’inertie est un fléau selon ma perception des choses dans et de cette vie.

Être marginal n’est pas un tare mais une bénédiction pour moi.

Et si jamais vous avez la chance, le privilège ultime d’aimer assez pour accompagner un mourant et y voir la sincérité, l’éclair dans les yeux, l’approbation aussi de ce que tu est, le sourire comme le texte original dis. Cela ne peut que changer le cours de ta vie. Et si jamais tu as le droit, l’intimité ultime d’enlever le dernier souffle de vie d’un être cher et aimer. Tu en viens à vivre non plus seul car ce souffle t’envahis et fais partie de toi, de tout ton être jusqu’à la fin de ton temps. Il y a toute une leçon de vie réelle dont tu ne peux nier l’existence.

Alors, merci à Silver de m’avoir permis d’utiliser son texte pour mon inspiration et y ajouter mes propos. xox

dimanche, janvier 21, 2007

Perception versus la réalité.



Après de nombreuses heures à pleurer et réfléchir, voici ma réponse à mes détracteurs et persécuteurs.

Pour ceux qui me connaissent où même ceux qui prennent, tentent la peine au moins d'essayer de comprendre ce que je suis, ce que j'étais jadis et ce que j'aspire à devenir. Tout ces gens comprennent que John est un être en qui on peux y accordé confiance, y accordé amour parce qu’il en redonne bien souvent plus qu’il reçoit. John est un être qui en a vu de toutes les couleurs, et noté bien, je ne regrette rien à rien de tout cela finalement.

Cela a demandé du temps, des pleurs et des cris pour en arriver un jour à être libéré, totalement libéré. Mais cela a aussi demandé beaucoup d’amour, de compassion et de tolérance de la part de ceux qui m’aiment, je le sais et pour eux ils le savent que je leurs en doit beaucoup. Tellement beaucoup. Ma vie pour tellement longtemps n’était qu’un choix, pilules ou balle de fusil. Comprenez-vous ce que je dis ? Comprenez-vous ce que vous essayez de faire ?? Je suis certain que non, parce-que me connaître vraiment, vous en donnez la peine au moins de le faire, sans jugements, sans critiques mais avec un esprit ouvert, tel que je possède, vous n’auriez pas agit ainsi.

Alors des perceptions gratuites de quelque chose que vous ne comprenez pas, qui vous emmène loin de la réalité, très loin dans de la méchanceté. J’en ai rien à foutre de tout cela. Moi je remet au centuples ce que j’ai reçu à la manière de la philosophie qui se trouve dans le film, le plus marquant de ma vie à voir « Payer au suivant ».

Perceptions : On me dis que je me prend pour Dieu, que je suis un ensorceleur, un envouteur. On me dis avoir des yeux de prophètes. À quelque part aussi, on dis que j’accorde de l’importance à l’aspect physique. Que le fais que je crois aux anges que j’en profite pour ensorceler, envouter. Que je me cherche des disciples. Que je détiens un pouvoir voir même selon ma compréhension maléfique.

Réalité : Je ne suis pas Dieu, il y en a qu’Un seul mais je reconnais être un de ses fils, comme vous tous l’êtes d’ailleurs, fils et fille de Dieu. Alors vous mes frères et sœurs. Ensorceleur, envouteur : faux et archi-faux, je vois dans cela des forces maléfiques, destructrices, noires. Je possède présentement une âme de couleur gris pâle. Comprenez-vous ce que cela veut dire ??? moi je vais vous le dire parce-que des attaques en règles sur ce que je suis, je n’accepte pas cela et je n’ai pas à l’accepter. Je suis de couleur gris pâle parce-que moi en tant qu’humain, je suis faillible, j’ai fais du mal dans le cour de mon passage dans la vie, dans ma vie. J’ai finalement compris un jour que si je fais du mal, j’attire le mal vers moi. Alors à force de te bûcher dessus, la tête la plus dure fini par amollir.

Réalité : Avoir des yeux de prophètes, wow que j’ai du pouvoir, je possède tant d’importance, je suis tellement si grand que cela! Prophète peut être que je le suis, élu ahh ca oui je le sais, je sais que je suis choisi pour une mission et cette mission je la poursuis seul et sans aucunes aides de quiconque. Et il y a une raison fort simple pour comprendre cela. Je ne fais confiance à personne, personne à part ceux qui m’aime, qui y ont accordé le temps nécessaire pour apprivoiser l’être sauvage que j’étais et me faire comprendre que l’on ne peux pas avancer seul dans la vie. Ils ont eu à attendre, à être patient, à démontré loyauté pas parce-que je l’ai demandé mais bel et bien parce-que d’après eux je le mérite. Et cela pour certains, en tout cas ceux qui me pourchassent, me voulant du mal vous ne comprendrai jamais ce que je suis. Un être possédant une grande âme mais qui est humble, sais qu’il est petit, tellement petit et insignifiant des fois, bof tellement de fois pour dire juste. Je ne suis que ce que je suis, ne peut être plus mais ne peut être moins non plus. Alors mes détracteurs, tenter de comprendre ce que veut dire cette phrase.

Réalité : Importance au corps physique. Je dois avouer que celle-ci, je l’ai trouvé bien drôle car moi je sais ce que je suis, d’où je viens et ce que en quoi je crois. Preuves que le corps change constamment, j’en suis un preuve vivante en attaché à ce texte vous trouverez 3 photos dans laquelle on vois ma transformation et où à ce moment dans le temps j’ai compris alors que ce n’est pas l’enveloppe corporelle qui compte le plus mais ce qui est en chaque être, ce qui la forme, fais de elle ce qu’elle est. Importance au corps physique, vous ne savez même pas à qui vous vous adressez. Dites-moi qui voudrais d’un être qui est où vis un handicap, une infirmité quelconque ? Ces personnes ne valent t’elle pas autant que vous ?? Je vous demande réponses à ces questions. Réfléchissez bien avant d’émettre une sottise. Pensez-y bien !

Réalité : Je crois aux anges mais qui sont ces anges ??? Les anges que j’ai autour de moi, en moi et avec moi sont des êtres que j’ai aimé, qui m’assistent, assistent l’ange qui m’a été accordé par Mon Créateur pour accompagner ma vie. Pour que j’en arrive un jour à savoir qu’il existe vraiment et au besoin, demander de sa pitié, de sa compassion, de son amour pour m’aider. Me soufflez à l’oreille quand je me trompe de chemin. Me montrer même la voie Qu’IL veut de moi. Celle que j’ai accepté de vivre et vivrai jusqu’au dernier souffle de ma vie. Personne, avez-vous compris ??? personne ne viendras m’enlever ce que j’ai.

Les autres anges, ce sont ma mère, celle qui m’a donné la vie, Garry, Victor, Billy, Mireille, Murielle, Bertrand, Alcide, Rose, Earl, Yvonne, Jean-Guy, Pierrette, Sylvie, Mario, et j’en passe parce-que ce sont les miens et de toute façon vous n’en comprendrez rien à rien. Ce sont ceux qui m’ont aimer, qui m’attendent de l’autre côté de la rive mais constamment présent à mes côtés, tout les jours de ma vie. C’est eux qui encouragent, m’entourent et m’assistent quand les jours sont trop difficiles à supporter, où trop tout simplement difficile à vivre. Vous êtes qui vous pour dire que je les utilisent pour en faire du mal ? Qui êtes vous pour dire que j’envoûte ?? quand moi j’ai peines et misères à comprendre ce qui a été vécu. C’était pas deux corps ensemble mais deux âmes ensemble. Qui êtes vous pour me retirer ce que j’ai vécu de plus beau ??? Qui êtes-vous pour enlever l’espoir que j’ai trouvé ???? que oui il existe dans cette vie, présentement un et d’autres êtres capable de tant de choses. Qui êtes-vous ?????

Réalité : Que je me cherche des disciples. Ahh bien sur ce point, vous n’avez pas tort. Vous avez tort dans votre perception par contre. Parce-que en réalité les disciples que je cherches et que je trouve à l’occasion on tous comme mandat de faire le bien où il y en existe pas. De propager le mouvement de donner , faire actes de compassion envers les autre en accordant trois (3) actes de bontés envers son prochain. Cela demande du don de soi, cela demande de la compréhension, cela demande une confiance totale que cela fonctionnera, cela demande un amour sans bornes et cela demande de ne rien demander en retour et ne rien attendre en retour. C’est en soi une révolution. Un contre-vairs de ce qui se vis dans cette société égoïste et égocentrique et dont vous savez que vous le propagez à votre façon. Ce sont la bataille entre les forces du mal contre les forces du bien. Et je mènerai ma guerre jusqu’au bout.

Réalité : Vous me voyez faisant partie des forces du mal, détrompez-vous ! Vous me devez respects, courtoisies et bien plus que cela, des excuses. Je vous demande à vous de réfléchir à ce qui vas suivre.

Leçon : Je suis ce que je suis et je vous souhaite le bienvenu, aux hommes de bonnes volontés, sur cette terre. Ce monde, la mi-école entre d’où nous venons et où on se dirige. Ce pont infernal et brimbalant que l’on dois tous franchir avant de devenir membres en règles de cette toujours et enviables élites des cieux.

Certains peuvent penser qu’il est préférable de traverser le pont, ce pont le plus vite possible en retenant sa respiration, en ce fermant les yeux et en ne pensant à rien jusqu’à tout cela soit fini. Bien alors, je vous préviens tout de suite car dans cette classe, mon blog, mon monde, ce n’est pas une alternative. Votre retard, votre manque de compréhension ou d’ouverture, votre manque d’évolution voir même de nonchalance à votre tout première apparition dans mon monde. Cela démontre quoi selon vous ???

Bien, je vais vous le dire; peut-être que cela indique un manque de respect ??? Voyez-vous, moi je serai présent. Ici, tout les jours, pour vous et je m’attend à ce que vous soyez présent pour moi avec cependant respect et délicatesse de votre part. Autrement je vous le dis, vous êtes priés de sortir de mon monde.

Voyez-vous, vous êtes ici, présentement, maintenant comme invités dans mon monde. Comprenez le bien le sens du mot « inviter ». Voyez-le ainsi vous êtes inviter dans un cours d’études sociales, c’est-à-dire vous et le monde. Oui, il y tout un monde ailleurs, en dehors d’ici. Et même si vous décidez de ne pas vous en mêler, un jour tôt ou tard, il vas vous éclatez dans la figure.

Croyez-moi donc, que le mieux à faire serait de réfléchir au monde maintenant et en quoi il importe à vos yeux ? En quoi ce que le monde apporte à vos yeux ?? Faites un petit effort, participez, réfléchissez, cherchez !!! Pensez-y. Il y a-t’il rien en dehors de votre monde en qui vous voulez sortir pour changer quelque chose ???

Je vous pose une autre question. Cela vous arrive t’il des fois de penser à ce qui se passe en dehors de votre monde, de votre bulle ? Écoutez-vous les nouvelles ?? oui-non-ok. Vous en êtes pas rendus à être des défenseurs, des penseurs universels. Mais alors pourquoi ???

Vous vous dites pourquoi penser au monde ? Parce-que après tout qu’est ce que le monde attend de nous ?? Qu’est que le monde espère de toi, de nous ?

Certains diront rien du tout. Ma foi, vous avez entièrement raison. Vous êtes là où vous êtes et coincé dans cette vie. Mais pas pour toujours, un jour vous serai libre, totalement libre.

Mais si jamais, le jour où vous serez libre, vous n’étiez pas préparé, vous n’étiez pas prêt. Vous regardez autour et vous détestez le monde comme il est. Si jamais le monde était une déception pour vous. Et si il existait une façon pour que vous les empoignez par les pieds et les viriez cul par-dessus têtes et que vous commenciez ce qui vas suivre, dès aujourd’hui et de le mettre en pratique tout au long de votre vie, ce qui reste de votre vie.

Quoi ?? J’entend et vous dites des mots comme, c’est genre trop bizarre, fou, dur, pourris. Et si je vous donnait qu’un seul mot, « Possible ». Comme dans c’est possible. Le royaume des possibilités existe. Il existe où au juste ??? la réponse est simple, le royaume existe dans votre tête, votre cœur et votre esprit. Alors la possibilité de le faire, vous pouvez le faire, pouvez nous surprendre. Vous pouvez aussi choisir aussi de rester sur place et le laissé s’atrophier le royaume.

" TROUVER UNE IDÉE POUR CHANGER LE MONDE ET LA METTRE EN PRATIQUE"


Vous allez alors me demander ce que je fais moi, pour changer le monde. La réponse est simple. À part de mettre en pratique, en action ce que j’ai appris comme étant ce que je conçois comme logique, plein de bon sens et étant la VÉRITÉ suprême. Je paie au suivant. À part cela, je dors bien la nuit, je mange de bons repas, fais attention à moi, je suis ponctuel, toujours et je vous passe la patate chaude.

Payer au suivant. C’est quoi payer au suivant ? Je donne un coup de main. Il s’agit de faire quelque chose de grand pour quelqu’un dont tout seul, il y arriveras pas. Dans la pratique, faut le faire pour trois (3) personnes et ces trois personnes doivent le faire pour 3 autres et ainsi vas la suite.

Cela peut apparaître où paraître sin on articule bien les idées. Cela peut paraître, simpliste ou complexe, une bonne idée pour certains et surement stupide pour d’autres. Pour certains c’est la base d’un système d’honneur et pour d’autres non, parce qu’ils disent que l’honneur n’existe plus dans ce monde.

Vous pouvez penser ce que vous voulez, que c’est utopique, irréel, bizarre. Ce qui importe c’est que moi, je le crois. Moi, je crois sincèrement que cela représente une façon de se rendre vers un monde parfait. Et qui m’a mis cette idée en tête ??? Il s’agit de l’histoire d’une jeune garçon de douze ans. J’en ai quarante-six à présent et je crois et pratique cette idée quotidiennement. C’est mon droit de croire en un monde meilleur et de la faire selon la façon que je choisis.

Je suis un adulte avertis, devenu intense dans tout suite à cette vérité. Je respire, agis, pense intensément tout le temps. Apprendre à apprendre à été une de mes plus grandes difficultés. Mais j’ai finalement appris. Maintenant j’apprend de tous. J’apprend de tout. Payer au suivant est encore une idée nouvelle et qui en outre demande un extrême acte de Foi dans la bonté de ses semblables.

Il faut faire une tentatives, je dirais plutôt des tentatives pour interagir avec le monde et si je suis quelqu’un d’expansif, portée à la louange, je qualifierais cette idée de complètement admirable. Mais je ne suis que ce que je suis donc, je le fais, met en pratique cette philosophie complètement révolutionnaire. Je ne reçois pas toujours l’effet escomptés mais au moins j’essais moi de faire quelque chose pour rendre le monde d’aujourd’hui meilleur que celui d’hier.

Je suis un homme de foi. J’ai foi en ce monde. J’ai foi en les hommes ( femmes aussi bienvenu ). J’ai foi en vous, même ceux qui me persécute pour ce que je suis. Un jour vous comprendrez l’énorme Vérité. J’ai foi en cela. Mais surtout et avant tout j’ai foi en LUI.

Maintenant je vis un des pires cauchemars. Ne comprend pas exactement ce qui se passe, se trame derrière mon dos. La paix connu en 24 heures disparais et deviens cauchemars. Pour les sept prochains jours, je n’écrierai point d’autre textes. Je choisirai de répondre ou non aux commentaires que je recevrai sur le blog ou via mon email. C’est mon droit et cela personne ne peux avoir le droit de prétendre le contraire.

n.b: Il me reste à présent de répondre par texte à une communication reçu et tenter et je suis conscient et précis bien la portée du mot "tenter", tenter de répondre aux accusations envers ce que je suis.

samedi, janvier 20, 2007

IL est lui, l'Homme.

Il a toute une paire de yeux, ils scintillent comme des diamants ou des fragments de glace au soleil, Il a un regard perçant, magnifiquement doux, qui ne te gèle pas mais te transperce, te touche et te lis. Tu fond dans la profondeur de ses yeux. Ils parlent tout autant que le miens, on se retrouve, se comprend instinctivement, se reconnais et embarque. On se laisse glisser dans ses regards réciproques, voulus, attendus. Il n’y a plus rien qui compte, que ce moment présent dans le temps.

Son mal de vivre est le mien, et mon mal de vivre est le sien. Nos âmes se touchent, délicatement, tendrement avec respects et voluptés. Nos yeux dansent, suivent le rythme, parcourent nos parcours, on ressens ce qui fais mal chez l’autre, aucuns mots ne peut exprimer tout à fait ce qui se vis. Les regards s’entremêlent, cherche plus profondément chez l’autre qui il est, d’où il viens et où il iras avec tout cela, dans le temps. On comprend sans mots, qui est l’autre et avec des promesses sincères, attentives, honnêtes, on se promet aucuns mal à vivre entre nous. L’un voulant protégé l’autre et l’autre voulant à son tour assurer protection envers qui le regard se pose.

Des larmes apparaissent et disparaissent, on fais le parcours du temps de vie de chacun, comme un roman dont on ne se lasse de lire où un film qui dont la trame passe très finement, sans vitesses, très lentement mais dont on ne se lasse de regarder pour vouloir en connaître inlassablement la suite. La pluie dans les yeux confirment et affirment ce que nos deux regards projettent. Toute une vie se lit entre ses quatre yeux.

Nos âmes demandent, exigent et souhaitent réparations, renouveau, espoirs de croire. De cette vie où l’on y vois méfiance et peurs, on se laisse guider par ce regard absolument merveilleux. L’espace-temps confirme que « rien n’arrive pour rien ». La logique, les conventions, le sens innée en nous de protection laisse tomber ses gardes, ses barrières et on se donne entièrement, coule et se laisse glisser, entrer dans les yeux de l’autre.

Nos âmes exigent et veulent se toucher, on tremblent et ressens la force vitale de l’autre, ses ondes, fragments de parcours se laisse glisser dans le métaphysique, on sais très bien que quelque chose de grand se passe. L’aura, je suis capable de toucher son aura. C’est tout un cadeau que m’offre la vie, que m’offre Mon Père, que m’offres mes anges et les siens, les siens sont autant et aussi présent, important à ce moment dans le temps. On n’est plus en connexion avec les heures et les minutes du temps temporel, on est dans une sphère du temps tout à fait à part, le sien et le mien. Notre temps à nous et dont on sais que personne d’autres ne vivras ce moment.

À mes yeux, il est magnifiquement beau et à ce que j’y vois, je me sens beau. Aucuns complexes, réticences quelconques, aucuns préjugés ne me croisent l’esprit, c’est totalement épatant. Lui, je vais et je veux l’aimer. Il y a une de ces tendresses dont les mots me manquent, dont je ne sais comment décrire car cela seulement se vis, ne peut être dis ou écris. Seulement se vivre. De l’affection il en détient pleinement et de partout dans ses yeux, ses actes, sa gestuelle des mains. Il est tellement, tellement grand et beau à mes yeux.

Il est lui, il est l’Homme et je sais pertinemment bien ce que cela veut dire et implique. « Je l’aime ». Il est Lui, tout Lui et simplement Lui. Il est l’Homme. Il est Marin, en lui je remet les rivages de l’aube de mes journées et nuits. S'il le choisit.

Mon bel aube

Beau levée du jour, tu illumine les rivages de ma vie, Il y a rien d’autre dans la vie, que j’aimerais mieux me réveiller et voir avec toi.
Mon bel aube, je cours après le temps à nouveau. Je pensais que je mourrais, un jour, en homme solitaire, dans un nuit qui n’en fini plus, devenu interminable.
Mais maintenant je suis tout joyeux, et cour au-dessus comme un fou furieux parmi les étoiles. Des fois il est difficile de croire que tu te rappelle de moi.

Beau matin du jour, je me moue parmi les étoiles à nouveau. Te rappelle-tu du jour quand commençais mon périple ? Te rappelleras-tu de la fin du temps?
Bel aube de mes jours, tu ne fais qu’épater mon esprit. J’ai vraiment pensé que j’étais né pour une nuit sans fin jusqu’au moment où tu t’est mis à brillé.
De très haut maintenant, je vole parmi les étoiles librement. Des fois il est difficile de croire que tu me reconnais.

Sera-tu mon épaule quand je serai vieux et gris ? Me promettra tu, un jour, que demain commencera avec toi ?
Je vole haut, fou, heureux tout en courant parmi les étoiles. Des fois il est difficile de croire que je peux être à toi.

vendredi, janvier 19, 2007

Si je pouvais ramener en arrière les mains du temps, alors tu serais encore mien.

Discours d’une personne en détresse, exemple de ce que je lis parfois sur les chats, le désespoir existe jusqu’en perdre la raison. Je me rappelle avoir déjà été dans cet état d’âme.


Comment en suis-je arrivé à te laisser partir si discrètement ???, ne sachant pas que j’écrirais quelque chose tel que je vais l’écrire. Puis maintenant, en ce temps présent, je coule, m’enfonce pour ne plus me relever. Depuis que tu as fermé la porte.

Si je pouvais ramener le temps, ramener en arrière les mains du temps, alors mon amour, tu serais mien. Si je pouvais reconduire le temps, reconduire la durée du temps, alors mon ange, tu serais encore mien.

Drôle, anormal et bizarre comme le temps passe vite, et que certaines bénédictions sont tout simplement manquées, en un seul instant ou dans le clignement d’un seul œil. Pourquoi, pourquoi et pourquoi, un a droit de continuer de souffrir. Quand chaque jour je pris. S’il te plait, revient à moi.

Si je pouvais restaurer le temps, restaurer le laps du temps. Alors mon chéri, tu serais définitivement mien. Si je pouvais rétablir le cour du temps, maîtriser les mains de la période du temps, alors toi que j’aime par-dessus tout, toi, tu serais encore mien.

Puis je sais que tu possède déjà assez d’amour pour deux, pour nous deux. Mais, moi, je t’ai fais du mal, j’avoue que je l’ai fais. Mais maintenant, je fais face à vivre ce qui reste de ma vie, seul. Si je pouvais rétablir le temps, rétablir la succession du temps, alors mon cœur, toi, tu serais encore mien.

Si je pouvais restaurer, restaurer le temps, l’époque; alors mon véritable amour, tu serais encore mien. Je ne te causerais pas de mal. Je ne te ferais jamais souffrir, et je ne quitterais jamais ton côté. Si je pouvais seulement changer le cours du temps, il n’y a rien que je ne ferais pas pour toi, pour toujours être honnête et vrai envers toi

Si tu accepte de me reprendre dans ton cœur, je t’aimerais pour toujours. Ceci serais ma volonté profonde. Mon unique volonté. Mon ami, je te supplies de me prendre par la main. Je descend vers le bas, oui j’y vais, descendre pour me retrouver agenouiller sur mes genoux pliés. Et je serai ainsi, justement ici jusqu’au temps où tu me reviendrais.

Si je pouvais ramener en arrière les aiguilles de cette petite horloge sur le mur, alors j’en viendrais à réaliser de combien je t’aime. Si je pouvais que ramener les mains …. Je t’aimerais, aime et aimerai.

jeudi, janvier 18, 2007

Dans les bras de l'ange

Comme je me sens dans une phase mélancolique, les mots sont devenus difficiles d’être positif, d’y démontré à ma façon propre une leçon de vie. Alors je dépoussière un vieil écrit que je modifie à ma façon. Choisissant ainsi de m’apitoyer sur mon sort et réfléchir.

Tu passe ton temps à attendre pour ta deuxième chance, pour la pause qui feras que tout iras bien. Il y a toujours une raison qui te fais sentir que tu n’est pas assez bon, et cela devient difficile à la fin de la journée. J’ai besoin d’une distraction, d’une bonne libération. Les souvenirs suintent de mes veines. Elles peuvent être vides ou sans poids mais peut-être, trouverai-je la paix ce soir.

Dans les bras de l’ange, je m’envolerais loin d’ici, de cette chambre froide et noire, et où l’interminable, qui en fini plus; survi, et dont j’en ai très peur car elle est ma peur. Je suis arracher du ravage de mes silencieuses rêveries, parce-que je suis dans les bras d’un ange. Puis-je y trouver ici, réconforts et consolations.

Je suis tellement fatigué de la ligne droite, et que partout où je tourne, s’y trouve vautours et voleurs dans mon dos. La tempête ne cesse de continuer de tourner, de s’entortiller. Et où tu continu d’y bâtir des mensonges, que tu fabrique pour tout ce que tu manque ou n’est pas. Cela ne fais aucunes différences, tu t’échappe une fois de plus, une dernière fois. C’est plus facile de croire. Dans cette douce folie, cette glorieuse tristesse, m’emmène, m’entraîne à être sur mes genoux.

Dans les bras d’un ange, je suis, très loin d’ici, à partir de cette chambre noire et froide, où l’interminable en finis plus, que je redoute et aie peur. Je demande à être soutirer de mes silencieuses illusions et désirs. Dans les bras d’un ange, de l’ange, puis-je y trouver réconfort et paix.

Je suis dans les bras de mon ange, puis-je y trouver ici, en ce moment; soulagements et apaisements.

mercredi, janvier 17, 2007

Mon visage appuyé contre toi

Préambule, ce texte fut écris à la demande de quelqu'un de grand à mes yeux et mon sens. Le texte fut rejeter, mais moi j'ai le droit de le garder. Alors voici ce qui en est.

A mon image, le visage appuyé contre toi.

Le vent remue dans le vent, Tout est là, gravé dans la respiration des choses qui s’étirent en nous. Sables, fenêtres, bruissements, le monde se lave devant mes yeux, pousse jusqu’à la lisière du jour les visages de sa clarté. Ce qui était là depuis toujours se déplie; mélange articulé de pesanteurs et de légèretés à travers lequel nous apprenons à durer.

Ton regard, ta voix, tes gestes; on sait combien l’obscurité nous guette chaque fois, combien nous avalent ces remous.

Tu as dit : - commencer comme je disais recommençons.

Fragiles fondations de ce que nous sommes. Aventures d’un peu d’air et de sang, pulsations d’ombres et de lumières, collisions de particules arrachées à l’univers, petites infinités endiguées sous le réel.

Pourtant quelque chose est soudé au fond de l’âme, au fond de mon âme, comme une origine. Une lueur y danse, oubliée ou inaperçue mais qui cille et se refait à chaque heurt. En cette vie qui nous accueille, il faut recommencer : s’éprendre d’une phrase qui revient, de la transparence d’un nuage, des inclinaisons d’un arbre, faire halte devant un corps qui s’élève et s’ébroue, regarder par-delà la fracture qui nous obscurcit.

Tu as dit : - vivre comme je dis le monde bourdonne dans nos mains.

La fenêtre donnait sur un fond d’éternité. La peur, un instant, a cessé de frémir. Ton visage contre mes pectoraux, j’ai compris que jamais je n’avais su donner, mêler mon souffle au vent, jeter ce que j’étais dans cette multitude de choses simples qui tremblent sous ma peau. J’ai su qu’une vérité irremplaçable se dressait devant moi et qu’il me fallait recueillir.

Dans sa poussée, le temps froisse au passage certaines avenues qui nous retiennent encore. En marche depuis toujours, la faille nous atteint, et tout éclat s’y engloutit. De cette opacité, quelque chose demeure irréparable, à travers ce que nous continuons d’avancer. C’est dans cet espace que nos mains reçoivent tendresses et cruautés, que sont bradés nos désirs et s’aggrave la solitude.

S’arrêter à cet arrangement des heures attachées au jour, à cette lumière que je n’ai jamais quittée. Autour de moi s’entendent de menues vibrations. Je m’arrête devant une pierre, le murmure de l’ombre. Les secondes se lient et se délient en un geste sans gravité. Je ne suis qu’un mouvement de plus de cette danse hésitante et nécessaire.

Je retrouve mon corps désencombré de pesanteur, irrigué par une couleur du ciel, d’un brin d’herbe, d’un visage. Le plus fragile remue au coin d’une veine, emmêlé aux voix continues qui me traversent. C’est dans ce dénuement que nous commençons, comme on dis continuer; c’est ici que la blessure soigne la blessure, et que ce qui brûle éclaircit.

Tout repose dans l’espace où se tenir : abandons gravés dans un regard, vérités insurmontables. Tout se bouscule pour ne jamais cesser d’exister. Quelque chose en nous absorbe lueurs et obscurités, refait chaque fois un tracé de bonheurs et de tourments. Dans cet aveuglement commun, nous apprenons à épeler la détresse. Le jour nous écoute. À lui confient nos pas, se soudent nos mains.

Tu as dit : - aimer, comme je dis aimer de façon nouvelle, franche, sincère, honnête.

J’ai laisser venir à moi cette clarté. Tu as vu la déchirure qui frôle puis s’éloigne. Elle est à mon image. Je vais vers ce que je n’ai jamais été, mon visage appuyé contre toi. Y abandonnant ma confiance totale, sans craintes, sans peurs parce-que c’est toi, tout simplement toi.

mardi, janvier 16, 2007

L'amitié

À Jacinthe pour l’occasion du jour de ta naissance, bonne et heureuse fête à toi, vieille branche. xox

L’Amitié

Pour moi une amie :

C’est quelqu’un à qui l’on peut tout dire, qui t’écoute sans te juger et qui ne te culpabilise pas. C’est le respect de l’autre à l’état pur et le bien-être de l’esprit. Cela deviens de la valorisation de soi-même, d’estimer l’autre avec son âme. De ressentir une vibration intérieure identique et de partager des secrets qu’on n’ose pas dire. C’est quelqu’un qu’on a toujours hâte de revoir, dont on s’ennuie quand elle n’est pas là.

On veut tous un ami ou une amie mais peu s’efforcent d’en être un. Quand on a une vrai amie, on remarque facilement, quand on la voit ou bien elle nous téléphone, on devient souriant dans notre cœur et on ressent une sorte de charisme à l’intérieur. On ne pense plus à nos petits problèmes personnels; on désire lui raconter les bonnes choses que l’on fait ou que l’on vit. Les vrais ami(e)s, on les compte que sur les doigts d’une seule main.

On accorde beaucoup trop d’importance et d’intérêts pour le matérialisme, et on s’oublie dans les turbulences de la vie. L’amitié c’est faire un don de soi sans attentes, les attentes conduisent à une amitié de frustration de l’autre, de prise de possession, de tristesse, et la durée de cette amitié devient éphémère.

S’il est vrai qu’une amitié est un trésor que le cœur choisit, pourquoi y a-t-il autant de déceptions ? D’où vient ce manque de sincérité qui se traduit souvent par une appropriation de l’autre et lorsqu’il nous satisfait plus, on le délaisse pour en conquérir un autre. Certaines personnes sont tellement déçues par les amitiés, qui pourtant n’y voyait qu’une belle et grande lumière, qu’elles en arrivent à préférer rester seules.

Les immortels ou immortelles sont les amis qu’on a eu au cour d’une vie et qui demeurent toujours présents dans notre cœur. On est toujours heureux de les croiser ici et là.

Ce que j’ai appris de la vie c’est qu’au cours de notre existence, nous rencontrons aussi des fois, des amis que j’appelle des messagers, ce sont des personnes qui arrivent à un moment opportun de notre vie. Ce genre d’amis, nous aide à nous orienter et bien souvent, nous ne pouvons les garder. Ils sont comme des oiseaux sauvages, d’une liberté sans limites mais avec une très belle âme. Ceux-là, on peut simplement profiter de leur passage au présent sans penser à l’avenir.

Quand tu as des ami(e)s, de la trempe à Jacinthe, tu te dois des fois de leurs signifier qu’ils sont des êtres formidables à tes yeux. De prendre du temps, ne serais-ce que cinq minutes pour les appeler ou bien leur écrire. Persuader bien souvent qu’ils en seraient bien heureux-heureuses. Pour que l’amitié existe toujours, il faut y croire et y mettre une touche d’amour, de temps à autre, venant de notre cœur.

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L’amitié qu’on recherche toute une vie pour dire « Je t’aime » à un ou une amie. Comment faire pour l’exprimer, pour que l’on m’ écoute sans juger. J’ai tellement de choses à te dire, que l’ennui de mes pensées divague. Avoir un ami ou une amie, c’est déjà avoir hâte de le ou la revoir, aussitôt que cette personne est sur son départ.

Entendre sa voix te fais sourire, même si la vie me restreint bien souvent au soupir. Pour le bonheur que cela sème dans mon cœur, tu peux m’apprivoiser sans peurs. L’amitié du passage, qui se berce dans le duvet des nuages. Même les amitiés qui trahit, qu’à la moindre dérobade l’on fuit. L’amitié d’estimer l’autre pour le bonheur qu’elle sème dans le cœur, mon cœur.

Je rêve de l’amitié et ses lois de vérités, Par le dialogue du regard ou je chasse, de mes pensées, les idées les plus noires. Quand cette dance de vibrations communes, se présente et se concrétise, j’ai l’impression de tourner autour de la lune. Mon esprit qui vacille des comme un pirogue des fois, soudain s’apaise et puis alors, je vogue. Par la joie intérieure que cela me transmet, me procure, cela illumine mon cœur.

Je dialogue sans raisons, pour me perdre bien souvent dans l’illusion, Je ne crains pas la peur quand je me retrouve dans ton grand jardin de fleurs. Le calme de ta sincérité m’encourage de plus en plus à aimer. Dans le silence de des tes absences, je crois toujours en ta présence.

Je crois qu’on peut aimer
Je crois en l’amitié
Je crois en la liberté
Je crois en toi
Je crois en moi
Je crois en nous
Je crois en eux
Je crois en Dieu

Où que tu sois dans cette terre et un jour dans cette galaxie, je veux te dire merci. Ne laisse jamais la tristesse assombrir ton visage car tu ne sera jamais un oiseau en cage. Même si ton cœur ne sait pleurer, ton être lui par contre chante le verbe aimer. Continu d’ouvrir ton cœur et reflète cette joie qui t’inonde car tu est un des plus beaux cadeaux du monde. Sois l’abondance de cette terre et sème la joie de ta lumière. Permets-toi d’apprivoiser le vent et ne cesse jamais de laisser parler ton cœur d’enfant.

L’amitié ne remplace pas nos partenaires de vie, qui nous guident et veillent à nos moindre soucis. S’il y avait plus de quiétude d’esprit, plusieurs couples ne seraient jamais démunis. Dans un plénitude de l’amour, nos enfants seront de fins troubadours, qui égailleront à leur tour des cœurs meurtris pour leur donner goût à cette vie. Mais l’amitié, elle, ne remplace pas ces étapes de la vie. mais vient soutenir tout nos passages de la vie

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Voilà ma chère amie, pour ta fête que je chéris, ces quelques mots, ces quelques lignes pour te dire merci d’être mon amie et d’accepter et comprendre ce que je veux dire quand je dis; de la part du peu que je suis.

De ton ami pour la vie si dieu et nos anges en choisissent ainsi, sinon à quelque part dans le temps, on se retrouvera les pieds pendant de notre nuage. xox

lundi, janvier 15, 2007

Apprendre à s'aimer

Pour certaines personnes, c’est tout à fait naturel à leur image car elles ne sont pas préoccupés par cette question. Pour d’autres c’est l’exclusivité, au point de regarder de très haut les gens à côté d’eux. Pour les oubliés du reste du monde et ceux que la vie a obligé de s’incliner par indifférence, et qu’à présent pour être bien dans leur corps et esprit, ils doivent réapprendre ce que la vie ne leur a jamais enseigné : apprendre à s’aimer

Comment peut-ton apprendre à s’aimer ?
- Lorsque l’estime de soi est prisonnière du courant de la rivière.
- Si déjà à l’enfance, on apprivoise la peur avant même nos prières.
- Quand la société qui se dit chaleureuse, vous exclu avec votre bannière.
- Lorsque la peur du ridicule vous isole et vous empêche de voir la lumière.
- Quand le passé vous obsède au point d’oublier qui vous êtes sur terre.
- Quand on dois s’abstenir de dire un mot comme si on est en enfer.
- Lorsque la douleur du cœur nous ramène à la misère.
- Lorsque l’on recherche un présage de bonheur dans les yeux de son cœur.
- Quand on a peur de soi et que cela nous laisse seul avec notre désarroi.
- Quand personne nous écoutes et comprend que nous sommes au bout de nos
Peines.
- Doit t’on verser des larmes de sang pour se faire comprendre ?
- Quand on se sens seul à vivre cet isolement, qui nous ronge de l’intérieur et
des fois depuis très longtemps.

Apprendre à s’aimer :
- C’est accepter et faire la paix avec son corps et son esprit.
- C’est se permettre d’être fier de soi et de s’estimer.
- C'est departager cet amour qu’ont ressent avec ceux qui n’ont pas compris.
- C’est de s’accorder une seconde chance de renaître et d’apprécier la vie.
- C’est d’être soi-même et de réaliser ses grandes qualités.
- C’est se respecter en tant qu’humain et de s’éloigner du mal.
- C’est apprendre à laisser fuir de nos yeux des larmes d’amour.
- C’est semer du bonheur autour de nous.
- C’est exprimer notre joie intérieure sans se soucier du reste.
- C’est ne plus se culpabiliser et se sentir abaissé.
- C’est se dépasser et récolter ce qui te revient.
- C’est être ce que tu est et t’u n’as pas à changer pour plaire.
- C'est de se pardonner quand on sais que l'on ne peut être plus que ce que l'on est.
- C’est être toi et toi seul.

dimanche, janvier 14, 2007

Si seulement l'amour pouvais être assez.

Il me semble qu’hier quand j’ai vu ton visage, tes yeux exprimaient et me disais comment et de combien tu étais fier de moi. À ce que j’en comprend, je me suis retiré, j’ai pris la route dans un autre sens, une autre voie. Si seulement je savais ce que je sais aujourd’hui.

Je te prendrais dans mes bras, je ferais disparaître le mal. Merci pour tout ce que tu as fais. Je pardonne tes erreurs et avec le temps je pardonnerai les miens. Mais je ferais tout pour entendre ta voix une fois de plus. J’aurais envie de le faire mais je sais que tu n’y sera pas, que tu ne répondras pas.

Je suis désolé d’avoir jeter le blâme sur toi pour tout que je ne pouvais faire. Et je me suis fais mal en te faisant du mal. Il y aura des jours où je serai brisé au plus profond de moi mais je ne l’avouerai pas. Et il y auras des jours ou je me cacherai parce-que tu me manqueras. Tu sais, c’est difficile de dire au-revoir quand on en viens à ceci, quand on en est déjà rendu là.

Me diras tu que j’ai mal fais, que je suis en fautes ? M’aideras tu à comprendre ? Me regarde tu de très haut et me vois tu être si bas ? Est tu fier de moi quand même, tout de même? Il y a rien que je ne ferais pas pour avoir droit à une deuxième chance. Pour finalement regarder dans tes yeux et d’y voir que tu me regarde aussi.

J’aurais tellement envie de te dire que tu me manque déjà, que tu me manqueras énormément si … Une chose que je sais, il est dangereux de tenter de faire retourner d’un pas en arrière le temps.

Mais je m’excuse de d’avoir jeter le blâme en partie sur tes épaules pour quelque chose que je ne pouvais faire, que je suis incapable de faire, que je voulais faire mais n’y arrivais tout simplement pas et crois moi que dans tout ceci, je prend acte que je me suis fais mal, moi seul, tout seul, seulement moi

Je m’excuse de t’avoir fais mal.

samedi, janvier 13, 2007

Le mépris

C’est une chose qui engendre un sentiment, une émotion qui est dégradante, qui fais mal et détruit peu à peu des gens chaque jour de la vie. Que ce soit dans cette partie du monde où d’ailleurs. Cela peut hanter un corps, un esprit jour et nuit. Et s’assouvis, sans soucis de tout un être et a le don de plonger des pensées dans l’ennui.

Cette hantise peut tuer quiconque parce qu’elle prend racine tout au fond de soi. De l’intérieur comme un cancer ou une tumeur. Ce qui fais que plusieurs en souffre de douleurs. On en viens, ils en viennent à ne plus compter les heures parce que cela en viens à accaparer tout de leurs temps par des pleurs, où se perdent souvent des battements de cœur.

À partir de l’ombre, dans l’ombre se forge et se forment des préjugés qui eux ont pour don de déposséder, faire taire et même dominer. Comme si un être est un danger, une bête à tuer alors que déjà bien avant ce point, une partie de soi est déjà blesser.

Combien de gens je rencontre dans ma vie qui ne demande que d’être délivré de cette souffrance. La violence, cette violence est perçue de façon insidieuse tel qu’un inceste de l’âme. Poursuis et détruis à même cette existence et n’accorde presque plus de chances à quiconque d’avoir droit à une juste clémence.

On sais tous qu’un jour, la vie te rend en retour ce que tu prend au détour. Tout actes malveillants a pour conséquence de faire vivre à son auteur ce qu’est de vivre à son tour une vie sans amour. L’intolérance, ce grand acte qui dérange apportera comme fruit, attirera sans aucuns doutes dans mon esprit, le jugement d’autrui et ainsi circulera comme dans un perpétuel cercle, un autre esprit errant dans la vie.

Malgré tout, aujourd’hui, essayer de croire une chose plus importante, mes amis. Accordez-vous ce sursis de ne pas oublier qu’il y auras toujours certains jours de pluie. Qu’il y aura toujours au passage, une vie, un être, un esprit pour vous faire comprendre, vous ratissez de cet intrus qu’est le mépris et tranquillement vous démontrez, la beauté de la vie.

vendredi, janvier 12, 2007

Puisque j'ai oser aimer, je vous écris encore

Neige légère, lente. La vie m’arrache doucement à ce que je suis, me devient habitable, parce habité. Mes pensées vous retrouvent. Peut-être êtes-vous ailleurs déjà, en un autre désir, une autre lettre, un autre courriel qui, secrètement vous attendait. La nuit se livre au jour et je ne crains plus de me perdre dans ces renversements, de m’unir à chacune des particules que projette une seconde.

Je vous écrit encore, une fois de plus. J’ai parlé d’une blessure en nous et au fond des choses, de sa banalité, de l’impossibilité de fermé les yeux, de ne voir en ces quelques mots : amour, fissure, détresse, notre humanité intime et commune.

Neige légère et lente. Quelque chose nous maintient dans la distance comme en une désolation immuable, souveraine.

Quelqu’un vient et repars, nous laisse avec ces murs qui tiennent bon, ces chemins séparés d’eux-mêmes, ces corps remplis de cellules inemployées, de crevasses où disparaissent nos espoirs. Quelqu’un vient, nous abandonne. Seule reste la vie complice du jour et de la nuit, seul demeure ce peu de paysage auquel nous sommes amarrés comme à une voix qui fait battre le cœur.

Nous ne connaîtrons peut-être jamais ce qu’il y a de plus secret dans une seconde qui blesse ou guérit d’une autre seconde; peut-être ne saurons-nous jamais aimer avec ces mains de fragiles émotions qui nous élèvent et nous engloutissent, peut-être vivrons-nous à jamais des lettres ou courriels inachevées, perdues, illisibles.

Début de nuit. Reste des mots qu’aucune phrase n’a su retenir. Reste cela, le silence.

Je marche dans les rues. Qui sait si toutes les lettres, courriels d’amour commencées, lues, déchirées, écrites quelque part en cet instant ne sont pas les éclats d’une seule âme ? Début de nuit, je vous aime. Reste cela, ce visage donné à chaque chose.

Neige légère dans la nuit lente. Chaque lettre atténue votre absence, mais c’est si peu pour contenir ce qui vous appelle encore, ce désir sans origine ni fin.

Les montagnes, le lac, des nuages; tout se tait devant moi, tout me déborde et va, indifférent, au-delà de mes joies et tourments les plus dérisoires.

Nulle part où aller : le seul chemin que nous connaissions. Bien avant de vous écrire cette lettre, je portais avec moi mon désastre et sa grandeur, la possibilité d’appeler amour ce qui va jusqu’à perte de vue et disparaît derrière l’horizon.

Nous marchons vers de fugitives vérités, ne cherchant jamais qu’à retrouver une âme promise, à sauver un peu de ce monde qui chaque fois s’éloigne avec un visage. Nous n’avons nulle part où aller et c’est là notre route, l’instant de clarté qui nous accueille.

Et plus loin, la nuit dans laquelle il se jettera bientôt. Mais la possibilité de connaître un miracle le jour venu. C’est ce que je vous souhaite, mes copains et copines, amis et amies. Ce jour est déjà venu pour moi et viens encore puisque j’ais oser aimer.

jeudi, janvier 11, 2007

La pensée du jour

Mais parce qu'être ici, c'est beaucoup; et que tout. semble-t-il,
tout ce qui est d'ici, le périssable, nous réclame et a besoin de nous;
étrangement il nous conserne: nous, périssables plus que tout.

Rilke

Pour vous et pour moi, la fin des ténèbres approche. Vous n'êtes pas seul. Je vous écris encore

Neige légère, lente. Il n’est pas rare que le jour me laisse ainsi, éloigné des bruissements du monde, assez seul pour ne jamais cesser d’être seul. Une clarté se teint au fond de la nuit. Pierres, eaux, ciel, une lumière est descendue, vouée à l’ombre, au silence.

Sur la table des lettres, des courriels, traces fragiles qui reposent sur ma vie, passerelle au-dessus de l’absence.

Neige légère, comme si la poussière du monde revenait sur nous. Il reste parfois peu de choses : quelques traits sur le visage, les lignes retenues au bout des doigts, des fragments entassés par le temps. Frêle éclats répandus çà et là, comme si la marque légère n’était pas encore la marque, comme si quelques flocons n’étaient pas encore de la neige.

Fracas, bourdonnements, jour qui gémit dans le jour. À l’écart de ce qui sans cesse s’éloigne, j’écoute les commencements que traverse une seconde. Par tout les angles à la fois, la vie est là, irréparable mouvements d’ombres et d’éclaircies, envers et endroit d’une même saison, d’une même parole. La vie est là, qui quelquefois se brise contre elle-même. Au milieu de notre commune banalité, je vous écris, que je vous aime.

Neige légère et lente d’une nuit venue s’allonger entre le monde et moi. C’est toujours un même enfant qui revient à travers nous, toujours un même désir qui murmure, mon amour, et ce laisse approcher par le désastre. Vu de par ma fenêtre, le bord inentamé du jour. Le temps passe. Comme une blessure, certaines heures viennent et s’en vont, me laissent avec un regard, une solitude qui me jettent à distance des choses, de la réalité soulevée par quelques mots. Une faille se redresse à travers vos lettres, vos courriels, parmi ces miettes d’infini qu’ont rassemblées nos mains, nos voix.

À nouveau la nuit au milieu d’heures lentes. J’aimerais pourvoir vous rejoindre en de pareils moments, sentir avec vous le poids enfin supporté du vide sur notre âme, rester dans un paisible attention au silence ainsi versé, saisir doucement l’insaisissable.

Sur la table, vos lettres, dans mon ordinateur, vos courriels et les miens, les traits d’une perte jamais épongés. Sans dedans et dehors, elles me préservent du lieu inhabitable qu’est le manque sans un corps qui s’y donne.

Sans cesse notre voix nous échappe, et avec elle, ce que l’on est et ce que l’on fait. Parmi les couloirs interminables qu’emprunte l’écriture, trouverai-je votre présence ?

Le plus souvent, nous marchons sans comprendre ce mouvement, sans entendre son pas, mais sachant qu’il faut aller au-delà d’un vide en nous, et qu’alors seulement commence notre marche. Ces moments-là, je pense au désert, à vous.

Il y a soudain le battement du cœur d’un oiseau, cela seul cassant l’air. Derrière moi, des pas que je sais avoir posés mais que le sol n’a pas retenus. Je voulais apprendre la soif. Le sable, c’est l’infini qui nous traverse lentement depuis une origine que nous ne savons nommer. Dépouillé de lui-même, le monde ramène sa blancheur. Elle seule maintenant soutient la mémoire que je recrée. Plus loin je cherche encore à voir s’il y a quelqu’un.

Pas d’autres événement dans la nuit que ces heures lentes où l’on tend l’oreille aux moindres signes de la vie et où l’on s’arrête devant quelques mots d’amour et de désespoir recueillis au fond des jours; pas d’autres événement qu’un silence adossé au désir, et cette folie de marcher encore, d’écrire ces lettres, répondre à ces courriels qui ne vous ramènent pas.

Je suis maintenant au plus près de l’évidemment, là où ce que l’on est et flotte au-dessus de nous-mêmes, fuyant, tenu à l’écart par on ne sait quelle perte ou en quelle extrémité du monde. Dans cet espace illimité, on ne prétend plus être davantage que des milliers de particules ramassées le long du temps, ni dire autre chose que ce qui nous échappe aussitôt.

Neige légère dans la nuit lente, En elle reparaissent mes fragilités, secrètement affûtées par le froid auquel je suis retenu.

Sauvage et douce, l’ombre descend en nous érode nos certitudes. Juste cela, l’inexistence de ce qui relie. Nous ne savons que faire de l’étendue qui nous habite, sinon la vêtir de quelques paroles ou suivre maladroitement les trouées de lumière qui nous devancent. Et parfois, tenir un visage contre le nôtre.

Votre visage survit à chaque phrase déposée devant vous. Je vous imagine retenir l’une d’elles comme si votre âme pouvait en être consolée. J’écoute les battements de votre cœur à travers le détail de la vie, des choses aussi simples que la pluie sur les volets, une heure ou deux passées dans un café, les rues d’une ville, un poème.

Les lettres ne franchissent aucune distance; elles vont parmi d’autres passants dans la gare du monde, là où rien n’existe au-delà de notre solitude, même similitude. Il n’y a peut-être rien ni personne, mais je m’entête à fouiller l’ombre et l’écho, à tour réapprendre d’un seul mot venu comme un atome de présence sur la terre froide, je m’entête à rester là où un instant froisse la peau. Il n’y eut peut-être rien ni personne, pourtant votre visage demeure au bout de tous les autres.

Encore l’aube devant moi, encore ces lettres, ces courriels de vous comme un corridor où, sans apparaître, vous reparaissez pourtant. Votre corps est une mémoire de ce que je suis. Nous avons marché jusqu’à la chambre que renferme la chambre. Comme un écho de l’air, d’une ondée, de quelques étoiles, nous étions ces passages ininterrompus de la vie.

De très loin, je me penche sur ces lettres, ces multiples courriels de vous qu’effleurent tour à tour nuits et jours, fissures et apaisements, désirs et pertes. Alors seulement, je vous écris encore.

mardi, janvier 09, 2007

La fête des rois selon la tradition.

Selon la tradition qui m’a été inculqué par mes générations précédentes, ceci serait la dernière journée officielle que l’on se souhaiterais une bonne et heureuse année. C’est ce que je vous souhaite, que cette an nouveau soit la plus merveilleuse que vous ayez vécu à date.

Ce qui me fais penser aussi aux mages. Donc je veux attiré votre attention brièvement sur l’attitude de ceux-ci. Quand , ils ont suivi leurs instincts ou leur guide en soi qui leur était montré par la mystérieuse étoile, où ils ont trouvé Marie avec son fils Jésus. ‘ Ils se sont prosterné et donner hommage. Puis après Lui ont présenté des cadeaux d’or, flagrances et myrrhe ’. Bref des cadeaux digne d’un Roi. Du plus grand des rois.

L’homme moderne, lui aussi rencontre Dieu quand il s’ouvre à Lui avec son cadeau interne de son ‘égo’ humain, pour accepter et échanger sur les immenses cadeaux que Lui a présenté à l’homme en premier. Le cadeau de l’existence, le cadeau de la rédemption et le cadeau de la foi.

Les cadeaux de l’esprit humain prend une valeur particulière dans l’acte de s’ouvrir au Dieu incarné, cela devient les trésors de cultures multiples, la richesse spirituelle des êtres, des hommes, des nations, la patrimoine commun de l’humanité.

Lui, le seul, Lui-même, le même qui est invisible et le cadeau incarné, produit l’ouverture des âmes au recevoir de Ses cadeaux. Non seulement des individus vivent par eux, mais des êtres, des nations, tout l’humanité.

lundi, janvier 08, 2007

L'histoire qui nous mèneras vers la bénédiction des cieux

Un prénom de 4 lettres qui multiplier par deux en donnes 8 comme dans : Je t’aime.

Ce que je raconte ou écris sonne pour moi comme une prière, maintes et maintes fois demandé, supplié, marchandé où des transactions de part et d’autres, entre moi et mon Créateur ont été convenus. Et qui je sais me sera exaucé. La prière, j’en connais les tenants et les aboutissants et ainsi va le sens de ma vérité.

L’homme, le mien, viendras ou apparaîtras et elle seras vu par l’autre âme humaine à qui il est destiné. Ils se trouveront, se reconnaîtrons. Les deux destins ne feront plus qu’un et cet amalgame sera vu et reconnu comme étant leur vaisseau. Ce vaisseau qui de par son exemple changera à sa façon le cour d’une vie tout en changeant la nôtre. Inspireras espoir où tellement d’autres l’ont perdus. Vaisseau qui après avoir parcouru le sillon de leurs deux vies ne faisant plus qu’une, les ramènera tout deux à la maison, un entrainant l’autre pour qu’aucun ne puisse connaître une séparation trop longue. Le vaisseau, qui s’envoleras un jour comme sur les ailes d’un ange les rapporteras à bon port. Celui qui, tout deux se mériterons.

Sens-tu une sensation d’éveil malgré nos tendances à êtres vieux-jeux Moi si. L’éveil de l’élu. Je me sens comme un ado faisant face pour la toute première fois à l’éventualité de vivre son premier amour, celui qui importe et que l’on ne veut jamais oublier. Tout me paraît clair, limpide et ainsi je vogue vers ce qui doit être.

La vie, qui effraie parfois, fait de ton apparition une sensation de bien-être. Comme si tu est le protecteur, mon protecteur jusqu’à ce que je sois rassasié de ton assurance. Et encore après cela, tu y sera pour mes moindres besoins captant au passage chacune de nos deux énergie vitales.

Personne ne nous dis qui ont est, ont l’apprend, le devine, le deviens ou on nous l’insuffle doucement, tendrement à notre oreille. J’ignore en fait qui tu est mais tout me porte à croire que tu est une personne de très grande importance puisque tu inspire en moi, l’inspiration de la renaissance et s’il en est ainsi, je suis donc blanc, tout est nouveau, tout est à vivre, tout recommence à neuf et plus rien d’avant ne compte à part ce que je suis devenu, ce qui fais la fibre de mon moi. Ce qui fera la différence chez toi.

Le charme dans tout cela est que tu est un être qui écrit et ce que tu écris est de grandes importance car tu sais incarner les mots. Tu écris magnifiquement. Tu te raconte d’une façon étonnamment honnête et franche, explique qui tu est, la visions des choses. Ta vision propre sans fuir les mots.

Moi je parle des problèmes du monde, l’iniquité entre les cultures qui sont à la fois tellement différentes, dérangeantes mais de combien enrichissantes. Je parle de ce que je pense des dirigeants de ce monde. Ce que je raconte parfois, à ma façon est très triste et j’ai même oser raconter la nuit/le jour, le jour/la nuit où j’ai perdu toutes notions de la raison. Le jour ou je me suis permis de ne plus croire au bonheur, arrêter d’être heureux. Je suis devenu une âme noire, disons pour employer les nuances de ma fille, un âme d’une variance de gris foncé. Je voulais que d’autres sentent ma douleur, ma souffrance mais j’y arrivais pas. J’avais envaler les sons parce-que si j’émettais ne serais-ce qu’un cris, je le savais que je ne m’arrêterais plus. Alors je me suis tue.

Ok, le temps a passer et tu te dis que toi aussi tu as le droit de vivre un amour, un autre. Cherchant et acceptant tout ce qui s’offre. D’une fois à l’autre ne comprenant pas pourquoi on étais si injuste avec moi. Que la vie était injuste, que Dieu m’avait abandonner. Je savais que dans le monde extérieur, rien ne paraissais, j’étais devenu maître du jeu dans l’art de dissimuler, cacher, extraire. Oui j’ai aidé, croyant à torts et à travers que cela me procurais un sens, parce-que j’en voyais des changements, minimes, mineurs et des fois presque imperceptibles. Convaincu que j’avais trouvé le moyen de déjoué mon Créateur, de faire à ma tête et de lui tenir tête de m’avoir trahis. C’est qu’à ce moment, je ne connaissais pas ce que voulais dire le mot « destiné ». Tout ce que je connaissais était le mot « destin ».

Notre savant dictionnaire dis et je cite « la destinée est une puissance souveraine considéré comme réglant d’avance tout ce qui doit être; destin. » Ou l’on peut choisir de la définir ainsi : « Ensemble des événements composant la vie d’un être, considérés comme déterminés d’une façon irrévocable et indépendante de sa volonté ». Humm, il y a du vrai dans cette définition mais j’ai évolué, grandis, compris que ce n’est pas vrai. J’ai choisis ma destinée, l’a accueillis bien avant de mettre mon pied sur cette terre. Toi tu le sais, moi je le sais.

Le destin tant qu’à lui semble vouloir dire « loi supérieure qui semble mener le cours des événements vers une certaine fin; voir même fatalité ». Ou si l’on parle de l’existence humaine, mon savant dictionnaire dicte « L’existence humaine, en tant qu’elle semble prédéterminée » comme ayant en elle « avoir un destin tragique ». J’aborde pas dans ce sens, je refuse ce sens, je le refuse pour moi car autrement je ne ferais que airer ici et là comme une loque humaine, et je suis loin d’être cela. Il y manque le mot espoir et c’est ce qui d’après moi fait toute la différence entre les deux mots.

Des cadeaux, j’en reçois à profusion depuis moins de un an. Moi qui croyait ne détenir aucunes valeurs, n’avoir aucunes valeurs. J’ai même cru que ma vie n’avait aucuns sens et aucunes raisons d’être. Pourtant j’ai appris à aider les gens qui vivent ici, qui forment ma communauté en me disant souvent que n’importe qui peut faire ce métier, ce boulot. C’est cela une âme vide, une âme qui lui manque sa moitié.

Depuis moins de un an, ce que je faisais en tout cas moi; percevais le faire de façon bien mécanique me confirme que tout les humains ont une raison d’être. Puis il y eu le blog, que j’appelle affectueusement mon blog. Cadeau de Réal. Un autre ange qui a perçu chez moi ce que j’avais peines à voir. Cela m’a permis de me délivrer, me permet de verbaliser ma raison d’être, mon raisonnement. Tout est et étais préparation à quelque chose de plus grand. J’avais rendez-vous avec ma destinée.

Tout est Amour. Sans le savoir, on me préparais pour le grand miracle et je serai très heureux quand on se sera vu, reconnu, et se vivre, apprendre à apprendre de toi, reconnaître l’odeur qui se dois être accompagnatrice, calmante parce que reposante de toutes mes tribulations. Le guerrier est fatigué mais ne cessera pas de combattre, du moins pour le moment présent, n’est pas prêt à rendre ses armes. Doit continuer de se battre pour son monde meilleur.

Je trouve que tes mots sont magnifiques. Ton cœur est immense et je ne me lasse pas de lire et relire, encore et encore. J’ai besoin, j’ai ce besoin immense de boire à la coupe de ton âme et je sais que je manque de pudeur écrivant ainsi mon état d’âme d’une façon qui peut devenir de nature publique.

Tu commence à me connaître, j’écris et essais de ne plus me censurer. Il y a cette notion de guilde. L’importance de ce mot pour moi est grand et c’est ainsi que je demande l’aide des êtres qui m’aime et des êtres qui t’aime. Les heures passent et je laisse glisser mes doigts sur le clavier, formant, assemblant des lettres, des mots puis pourtant tu m’a laissé te parler des heures durant, hier.

Des fois la vie te griffe et permet au poison de s’emparer de ton corps. Mais l’esprit, l’âme trouve toujours une façon de te guérir, de me guérir.

Tu n’est pas apparition, fantôme, vision, chimère, simulacre; tu est bel et bien réel. J’ignore encore beaucoup de qui tu est. Mais ce que je peux dire, C’est tu m’a grandement ébranlé, affecté. Mes idées, tout est devenu clair, tout devient clairs. Les craintes qui freinaient mes idées se sont en aller. J’entend enfin ma voix. Je rêve à nouveau, à présent.

Je rêve de me trouvé à genoux devant toi à entendre de ta bouche, la prédiction de mon avenir, de ce que je serai, de ce que l’on sera. L’inspiration de la renaissance.

Je ne serai jamais un grand écrivain, ni un grand orateur même si je le fais. Mais ce que je souhaite c’est que mes mots, mes idées, celles que j’ai en tête et met sur papier et deviens réalité puisse un jour inspirer le cour d’une vie et qui sais, par ondes de choc, peut être changer le concept d’un grand dirigeant de pays, de ce monde, de mon monde. Et qu’il à son tour en fait un monde meilleur avec des moyens plus grands, plus puissant que ce que je possède. En attendant, je sais que juste un petit geste peut changer tout, inspirés des idées ou moi je faillis.

On a tous des pouvoirs spéciaux. Moi le symboliste, toi le gardien, moi l’interprète, toi le guérisseur. Toi et moi, tes mots et les miens, de chacun nos façons respective de le faire avec la guilde des gens, des êtres, des âmes qui nous souhaite que du bien, y croit tout autant que nous et qui au besoin nous appuierons, nous conseilleront, nous guideront pour ce qui est et sera béni des cieux ne puisse se défaire mais nous montrer comment en arriver à réussir aussi bien qu’eux. Tel est mon souhait, telle est ma demande. Tout cet ensemble, le cadeau que m’offre la vie, c’est bien plus que je demandais mais je l’accepte avec une confiance totale.

Je me sens riche, voulu, choisi, élu, aimé, désiré, respecté.

La guilde qui a le pouvoir de se réunir au besoin nous viendras en aide. Et toi mon guérisseur, continu d’insuffler en moi le pouvoir de guérir toutes choses.

Notre rythme incontournable mais essentiel qui peut sembler bizarre pour certains, mais nous on sait que tout cela a sa place et fais sa propre sonorité tel la voix des anges.

Présentement, tout ce que je réalise est la longueur du texte, qui peux présenter des choses dites et redites voir redondants. Tout cela pour dire que le tout me semble comme un conte, un conte auquel ma grand-mère ou ma mère me racontais jadis. Mais où pour une fois j’y joue un rôle direct, que tu y joue un rôle direct, la métamorphose de la purification, du renouveau et où pour moi, je n’y vois pas de fin.

Tout cela pour te dire « Je t’aime ».

Songe mystique d'une nuit d'insomnie.

À la lumière de la flamme de ma chandelle, l’aigle vint pour définir la genèse, l’exode et la révélation. Interprétation selon John.

Il y a bien longtemps de cela, les hommes étaient liés avec ceux qui vivait dans les cieux. Ils nous inspiraient. Ils nous prédisaient l’avenir et les choses se réalisaient. Mais les hommes n’écoutent pas toujours très bien.

Le désir de l’homme de tout posséder l’a emmener loin à l’intérieur des terres. Le monde magique de ceux qui habitent les cieux a fini par être séparé du monde des hommes. À travers les siècles, leur monde et tout ses habitants ont dues abandonner.

Le monde des hommes devenaient de plus en plus violent. Des guerres éclataient les unes après les autres car ils n’avaient plus de guides.

Et maintenant ceux qui vivent dans les cieux tentent encore de rétablir le contact. Ils ont envoyés quelques-uns de leurs jeunes protégés dans le mondes des hommes. Ont les déposent dans la nuit noire, l’a où vis les hommes. Il suffit d’un regard pour permettre à l’homme de s’éveiller enfin.

Mais leurs ennemis sillonnent la terre. Il existe des lois qui servent à assurer la sécurité des jeunes envoyés mais leurs vies courent de très grands dangers. Plusieurs d’entres-eux ne reviennent jamais.

Malgré tout, ils continuent à essayer, d’essayer d’aider les hommes. Mais les hommes ont peut-être oublié comment écouter.

dimanche, janvier 07, 2007

Délivrez-nous du Mal.

Hier, m’a été offert de visionner un grand film « La rage de l’ange » produit et écrit par Dan Bigras. C’est quelque chose à voir mais surtout vous présente un portrait assez réaliste de ce qui se vis comme mal chez nos jeunes et dans notre société dite moderne. Alors ceci m’emmène à mon sujet du jour.

Il m’est impossible de prononcer un aussi fondamental souhait en cette journée qui représente tout de même la nouvelle année : « DÉLIVREZ-NOUS DU MAL ! »

Quand nous récitons ces mots venant de la prière du Christ, il est alors très difficile de leurs accordés une différente interprétation, une différente signification de l’opposition qu’elles représente face à la paix, ce qui la détruit, la menace. Donc je prie :

Délivrez-nous de la guerre, de la haine, de la destruction de vies humaines.

Ne nous permettez pas de tuer! Ne permettez pas l’usage de moyens qui sont au service de la mort et de la destruction…

DÉLIVREZ-NOUS DU MAL!

Père qui êtes aux cieux, Père de vie et donneur de paix….IL y a-t-il quelque chose de plus significatif que les mots de Jésus « Paix est mon au revoir pour vous, paix est mon cadeau pour vous; Je ne vous la donne pas quand le monde donne paix »

C’est cette dimension de la paix, la dimension la plus profonde, que Lui seul peut donner aux hommes.

Elle devient tellement épanouissante, omniprésente, complète quand elle est enraciné de par Dieu lui-même…

J’implore donc paix pour le monde… pour tout les hommes, pour toutes les nations, de toutes les différentes langues, cultures et races. Pour tout les continents….

La paix est indispensable.

Pour emprunter les mots d’un ami, Vous avez le pouvoir de créer votre univers…. créer le donc dès maintenant.

samedi, janvier 06, 2007

Qui m'en voudrais? -Ma profession de foi.

Et si l’an nouveau, l’an 2007 m’offrait ce que je désire le plus. À moi, le penseur, le philosophe, le mystique, le sage. Qui m’en voudrais?

Et si pour une fois ma perspicacité de l’esprit, ma foi en l’amour, ma sagesse acquise, ma philosophie et mon intériorité m’était récompensé par l’exhaucion de mes souhaits les plus profonds. Qui m’en voudrais ?

Je me sais intelligent, réfléchi et doté d’une sagesse spirituelle, il n’est pas rare de me voir prendre les devants de la scène ou d’impressionner la galerie. Ce qui ne m’empêche pas pour autant de me sentir seul, et cela, même si je suis entouré d’amis et des gens aimants. Je suis « ce grand solitaire dans la foule ». Alors qui m’en voudrais ?

Ma plus grande leçon de vie aura été d’affronter la fin des illusions avec un certain courage et de force, et d’avoir eu à affronter un échec cuisant à un moment donné de ma vie. Cette « mort symbolique » m’aura alors permis de reconstruire mon goût de vivre sur des bases plus réalistes. Alors qui m’en voudrais?

Je suis plein de ressources et je sais que je peux toujours compter sur mes forces intérieures pour me relever. Je sais que plus que je suis attentif à mon environnement, plus je suis supporté par l’univers et les forces d’en haut. Je suis venu ici pour élever ma conscience et à apprendre à être vrai et sincère. Cela se fait depuis des années maintenant. Alors qui m’en voudrais?

Alors voilà en bref le parcours de ma vie et c’est à ce prix que j’obtiens l’amour, la victoire, le succès, la reconnaissance et bien plus encore. Je ne tiens jamais en place, je bouge tout le temps, je bouge beaucoup. Alors qui m’en voudrais?

Je suis verbe et défaut, parce-que je me connais durant mes périodes dissonantes, je fais preuve alors d’un comportement antisocial, rébarbatif aux changements, ce qui même me rend un peu malicieux. À l’occasion, si les choses ne se passent pas tout comme je le souhaiterais, je peux devenir agressif, survolté et même cinglant. Faudrait-il m’en vouloir?

Et si je fuis la réalité en m’enfermant dans un univers bien à moi et que je sais que je laisse les autres à rester là, à faire le pied de grue jusqu’à ce que je daigne leur ouvrir à nouveau mon cœur. Faudrait-il m’en vouloir?

L’engagement que j’ai pris et assume dans la vie fait que dans cet enseignement existe l’obligation au renoncement et au dépouillement. Qu’il me faut sans cesse faire confiance en la vie malgré tout cela. Pas si facile de reconnaître la compétence des autres sans se sentir diminuer pour autant. Cela en soi est une leçon de vie. Alors faudrait-il m’en vouloir?

La vie s’est chargé de me faire prendre conscience, qu’une place au soleil ne repose pas que sur mon charme, mais mon talent et qu’elle ne se gagne pas par la ruse ou l’utilisation de quelques stratégies sexuelles, mais bel et bien par mon talent. Talent que je sais que je possède à profusion alors faudrait-il m’en vouloir pour autant ?

Ce que j’ai vécu à date est comme si la vie connaissait ma véritable valeur et cherche à me la faire découvrir, sauf que je refuse de l’admettre pour avoir essuyé quelques échecs. Je sais que l’échec est affaire d’humain puisqu'il permet de se forger une personnalité. En soit c’est le cadeau qu’offre l’échec. Alors faudrait-il que je m’en veux pour autant?

Bien des expériences difficiles, vécues dans le secteur amoureux en particulier, m’auront permis d’affronter la réalité pour m’avancer toujours plus loin et pour monter toujours plus haut. Et Dieu sait combien je suis passé maître dans l’art de fuir la réalité. Faut-il que je m’en veux pour autant? Faudrait-il m’en vouloir pour autant?

À toi l’être qui les cieux ont ouvert la voie, qui ont mis sur ton chemin l’être que je suis, rien de plus et rien de moins. M’en voudras-tu de m’acharner, demander autant, d’espérer autant? M’en voudras-tu de compter à présent sur toi pour continuer la route, ma route ainsi que la tienne? M’en voudras-tu d’être qu’un simple homme, imparfait dans certaines conditions et quasiment parfais dans d’autres?

À toi l’être de grande exception qui décidas de me choisir tel que je suis, je t’offre ceci en gage d’honnêteté suprême. À toi de lire et relire ce que je suis, ni plus, ni moins. À toi la chance de ressaisir le tout, analyser le tout, de revenir ou pas sur la décision de faire route ensemble, la tienne et la mienne conjointement jusqu’à ce que la mort nous sépare. Je suis bien peu de choses et en même temps beaucoup. Pardonne la dualité que je suis et d’espérer autant? Peux-tu m’en vouloir pour cela?

vendredi, janvier 05, 2007

...... quelques ruines

Le temps pose des éternités, puis, sans rien dire, les reprend. Amour, lumière, consolation; lointaine parole, trouée de regrets, infiniment blessé. Une route de terre, la forêt, les rives imparfaites d’un fleuve; toute ville s’oublie. Un vent me reconduit jusqu’à toi. Je murmure – mon amour, et devant moi le paysage résonne du trouble ainsi nommé.

Lentement, quelque ruines. Mon visage contre ta poitrine, je pense à cet instant fugace, à nos vulnérabilités qui frémissent, à cette faille toujours possible, -parce que je t’aime.

Début du jour. Un oiseau meurt et je reste sans voix, longeant ces tragédies individuelles et communes, cette extrémité de l’horizon qui ramène ce que j’ai aimé et laissé derrière moi.

La vie : présence, musique, tendresse qui parfois pour un bref moment, nous sauvent.

Une phrase s’est renversé dans tes yeux. Je la recueille avec cette solitude qui toujours rôde entre les mots, nous cherche inlassablement, par tous les angles, s’approche.

Des maisons blanches, des voies étroites. Mon corps effleure ce passé comme s’il était le présent. Tant de paroles maladroitement répandues sur l’absence, et le plus souvent, il suffit de si un peu pour rappeler ce qui nous échappe, revenir à quelques vérités que rien ne trahira.

Quelqu’un demande où l’on va. Peut-être vers ce qui dénude; peut-être allons-nous vers une ombre qui permet de voir, ou un regard qui fait que l’on n’est plus enfermé. Peut-être allons-nous ainsi.

Le rivage ne sauve plus. Dans ce qui se retire ainsi, où nos pas se maintiennent-ils ? je m’appui à la terre, à l’heure exacte de ce jour, à la nudité d’un arbre qui est aussi le mien.

Derrière moi, quelques villes. Je ne cherche plus à savoir qui je suis mais comment être. La vie nous entoure, qui ne départage plus l’ici et l’ailleurs.

Ce qui se laisse saisir de l’étendue n’est jamais qu’une ligne inachevée qui se tient sur le rebord du monde, perd pied un instant pour être aussitôt aspirée par l’invisible. Nos souvenirs s’échangent contre une ou deux certitudes. Le paysage m’ébranle encore, me permet de croire à ta voix. Maison commune du souffle, distance soutenable, enfin soutenue.

Ce n’est plus arrêter le temps que je désire, mais le mêler à mes pas. Je reviens d’où je en suis jamais parti.

Comme les balles perdues, nos paroles s’échappent, nous laissent désespérément libres. Parfois notre vie va ainsi, s’éloigne en emportant un peu de ce que l’on est et de ce que l’on aime.

En quel lieu les heures nous déportent-elles sans retour? Villes, paysages, milles noms pour un seul écho, une éternité qui repose au fond des jours.

La ruine délivre un passé sans contraire. La terre se retourne dans le très vaste silence de nos corps qui éprouvent le passage.

jeudi, janvier 04, 2007

Lentement .....

Peut-être la mémoire est-elle, comme un paysage, une multitude d'événements contigus, d'images simultanées.

Des paysages se croisent, basculent à la limite de l’horizon. C’est là que nous étions, que nous sommes, -état de vide et de trop plein d’un corps adossé à la terre.

Patiemment nous veillons sur une blessure qui ne guérit pas, cherchant un passage parmi les ruines d’une humanité obscurcie, retenus sans l’être par quelques cellules exiguës.

Angles, parois, brèches : toute chose se heurte à une autre, se dérobe et revient, un peu plus sombre, un peu plus tremblante. Certains roues sont promises à la perte, à cet instant irréparable ou l’on referme la porte derrière soi.

Depuis la colline, on peut apercevoir une ville que seul le regard atteint encore. Une lumière grise perce ma peau. Je n’ai plus d’autre souffle que celui d’un vent, plus d’autre appui que la terre. Vues de haut, les ruines instruisent de la beauté d’une pierre élimée, d’un chemin éclairci par le temps.

Le regard se déplace, comme si un battement d’ailes renversait soudain l’espace entier, découvrait mon visage, Quelque chose en moi se déchire, -peut-être la certitude de mon humanité, de ce qui chaque fois s’écarte, disparaît devant la vie. L’étendue demande qu’on s’y perdre, qu’on y laisse un peu de soi-même.

Je ferme les yeux et aussitôt la colline m’enferme en elle. Villes, chambres dispersées çà et là. Je me penche sur ce qui surgit en même temps qu’un paysage, en même temps qu’une absence.

Lentement, quelque ruines, le pari recommencé de ce que nous sommes. Tu inventes des rues semblables à nos corps, rues cernées de désirs, -aube versée dans les veines du temps, dans les veines de mon temps.

Nous avons franchi un pont tendu depuis toujours au-dessus de nos manques sans fond. Qui retenait la nuit de venir? Car nous avons marché plus loin que nous, sans jamais dériver de ce qui sépare et réunit.

Ce que je n’ai su dire, peut-être l’écrirai-je, maintenant que reparaît la mer, maintenant que reparaissent la distance et la perte, ces traits d’un paysage enfoui en nous. Ce que je n’ai su te dire s’écrit dans une nuit qui te rappelle encore, comme si mon ombre s’amplifiait de te savoir ailleurs. Quelque chose n’aura jamais lieu, que tu est pourtant posé sur ma vie.

De très loin, une pierre cherche le sillage d’une autre. Parfois on avance ainsi, parmi les éclats d’éternité, jamais rassasié de la douceur que ramène une voix, du trouble d’un regard, de la légèreté d’un geste. Vents, sables, rochers, -tout se jette sur ton absence, sans l’ensevelir, sans qu’elle cesse de se dresser en moi.

Ce que l’on sait nommer nous contient. Une ruelle, un carrefour, la colline. –Mon amour. Et tu reparais comme une ligne de l’étendue, son bord insoutenable.

Chaque fois, je suis ici empêché de commencer. Je descends dans cette vie qui a chaviré en moi. La répétition des choses, un reflet naissant, une phrase immobile; la seconde vers laquelle je vais se met à vaciller. Fragile et proche, tu te penches sur le silence.

À travers nous, les mondes est touché par la douleur, la solitude, la désolation.

Quelqu’un passe, qui ne reviendra pas. On croit comprendre. On imagine qu’il n’y a ni commencement ni fin, et que l’amour est trop grand pour nous. Tôt ou tard reparaîtra cette déchirure, ce même état de perte auquel nous ne sommes jamais préparés.

Arête de l’horizon devenue une entaille. Quelque-fois on ne peut plus aller vers la disparition. Et pourtant il faut encore se maintenir dans al dérive, poursuivre dans l’effleurement du vide, s’instruire de ce qui cède brusquement en nous : beauté qui, croyait-on, ne manquerai jamais.

Je pense à mes critiques, donc met un arrêt au texte ici et donnerai suite surement demain.

Paix, le fruit de la fraternité.

Et le Verbe est devenu chair… avec le temps

Les années qui passe la fin du mois de décembre mais débute à nouveau le premier janvier. Elles passent en portant en elles une certaine comparaison de la pleineté venant du Créateur. Elles passent sous le regard de l’éternité et du Verbe.

Au commencement de la nouvelle année, on désire relire le message de la paix et les profondeurs de son mystère. Un message qui pour certains à été révélé une fois pour pour tout dans une nuit à Bethlehem : paix aux hommes de bonnes volontés! Paix sur terre!

Toute l’humanité désire ardemment la paix et vois dans la guerre un des plus grands périls à son existence terrestre. Toutes les religions sont totalement consciente de ces désirs et, par le même fait, des craintes et peurs troublant toutes personnes, manifestant de ces sentiments spécialement au commencement de la nouvelle année.

Qu’est ce que la paix ? Qu’est ce que la paix sur terre peut bien être, paix entre individus et peuples ? Qu’est ce que cela peut être sinon le fruit de la fraternité, se démontrant elle-même d’être plus grande , plus forte de ce qui peux diviser les hommes et qui les met en conflit les uns contre les autres?

St-Paul parle d’une telle fraternité quand il écrit aux Galatiens, « vous êtes fils. » et, si fils vous êtes, vous êtes fils de Dieu, alors vous êtes aussi tous apparentés.

Et il continu d’écrire, « vous n’êtes plus des esclaves, un esclave, mais des fils, un fils ». Et dans le contexte du thème du message…le sens appartiens à « de sauver la paix, c’est respecté la liberté. »

mercredi, janvier 03, 2007

Pour être des bâtisseurs de la Paix.

Aujourd’hui, maintenant il est à vous d’aller et d’annoncer l’évangile de la paix. Vous êtes actuellement les élus, le évangélistes de la paix, les promoteurs du travail pour la paix, ceux qui détiennent les mots et les bonnes actions de la paix, ou des exemples vivants d’actes explicite de paix, en tout conséquent du but de votre existence.

Il vous est demandé d’être persuasif que la paix est l’autre nom que nous accordons à la vie, que la vie et la paix possède le même nom, sont du même mot. Il est attendu de vous; d’avoir ou posséder la conviction que d’annoncer la paix veut dire concrètement prendre historiquement l’homme comme étant le point de départ. Ensemble avec la fibre de son existence depuis le tout début, la fibre des ses relations avec son environnement et bien sur avec les autres.

La paix est un service à la vie et en fait la promotion de celle-ci, en assure son développement et progression pour les uns et pour tous. Dire « oui » à la paix deviens donc une extension de dire « oui » à la vie.

Pourquoi vouloir dissimuler ceci de tout ceux qui sont capable de l’entendre ? C’est au front de la paix que quelqu’un s’engage soi-même dans les croyances de la vie. Il est illusoire et, à la fin, contradictoire d’affirmer que nous voulons la paix et ensuite faire déshonneur à chaque vie humaine qui nait sur terre.

D’après moi, c’est exactement là ou les problèmes de niveau local, national et international sont inter-reliés entre eux et que la perspective de paix deviens un vecteur de transformation radicale. C’est à ce point précis que diverses organisations humanitaires ou cultures humatériennes devrait s’assoir ensemble face à face et décidé d’un commun accord et imprimer au mouvement des cœurs travaillant à l’unisson pour la paix, une paix durable et pour toujours.

« Les aspirations de l’esprit – nous nous devons de ne pas l’oublier – mène à la vie et à la paix. »

mardi, janvier 02, 2007

Mon cadeau de la nouvelle année.

mardi 2 janvier 2007
Hommage Particulier

Avant de poursuivre plus loin, j'aimerais dédier ce poème à un être vraiment charmant John 46 alias Michel.


D'hier à aujourd'hui, bien que la vie a sû t'apporter ses joies et ses peines, tu as toujours sû te relever et en tirer profit.


A travers les orages du temps, tu as sû garder tes yeux d'enfant fait de douceur et de tendresse. De par ta passion, ton métier, tu es le soleil dans l'orage pour plusieurs.


Ceci est pour toi


Un hommage à Michel !


Qui peut semer la paix dans ce monde troublé

Où l'homme se sent seul, incompris, misérable,

Dans ce monde ennemi d'entente favorable,

Ce vide très profond, qui pourrait le combler?


Qui peut semer bonheur dans ce monde qui souffre

Où la rivalité divise les humains,

Dans ce monde où l'on craint ce que sera demain,

Qui construira un pont au-dessus de ce gouffre?


Qui peut semer l'espoir dans ce monde gavé

Où l'homme vit amer, malheureux et morose

Dans ce monde où l'on veut sans épines les roses,

Qui donc pourrait offrir ce dont on a rêvé?


Qui peut semer la foi dans ce monde qui doute

Où l'on ne sait plus bien ce qui est mal ou pas,

Dans ce monde où si tôt l'on se rend à trépas,

Qui peut redonner Dieu à ce peuple en déroute?


Qui peut semer l'amour dans ce monde assoiffé

Où tant de mal aimés ont besoin de tendresse,

Dans ce monde où l'on voit la haine, la détresse,

Qui de l'intimité, un jour peut triompher?


Qui demain scellera au sein de notre monde

Entre tous les humains pacte d'unité

Dans ce monde jadis créé pour la fraternité,

Qui peut faire régner la concorde profonde?


Michel c'est toi!

Par tes gestes quotidiens envers les plus démunis.... et la générosité que tu nous accordes. Ta détermination et ton courage ne peuvent pas passer sous silence!


Yves Auger

À propos des anges, interprétation.

Dieu a mis ses anges en charge de vous, afin de vous gardez dans tous vos chemins. Que les anges vous apportes donc forces en toutes choses.

Interprétation du spaume 91.11
John 45

Peux importe ...

la maladie, l'handicap, l'infirmité est si limité ...

Qu’elle ne peut paralyser l’Amour
Qu’elle ne peut ruiner l’Espoir
Qu’elle ne peut corroder la Foi
Qu’elle ne peut détruire la Paix
Qu’elle ne peut tuer l’Amitié
Qu’elle ne peut supprimer les Souvenirs
Qu’elle ne peut réduire au silence le Courage
Qu’elle ne peut envahir l’Âme
Qu’elle ne peut voler la Vie Éternelle
Qu’elle ne peut conquérir l’Esprit

Pour être en paix

Je désire indiquer un nombre de lignes auquel le mot engagement nous accorde certains privilèges. Vous devez avant tout autres choses recherchez la paix, l’harmonie et la cohésion dans votre vie personnelle, vos structures vitales : que la paix soit en vous, le fruit de vos batailles internes, de sincère engagement à une vie qui vas de pair avec insistance avec votre foi, un effort constant pour restaurer l’intégrité de l’homme, son harmonie, la beauté de son origine divine.

Oui, il y a matière à travailler, avec insistance tel que nous fumes chaste et pure en cohérence avec son soi et les responsabilités de chacun, sans toutefois obscurcir quoi que ce soit au passage. Et, dans la paix, accepter la vocation que Dieu nous a assigné, peut importe ce qu’elle soit, même celles des plus demandantes.

Vous devez « dans la mesure être en communion avec vos forces intérieures, pour être en paix avec tout et tous », en commençant par le couple, la famille, et graduellement étendre notre initiative de paix au degré personnel d’un groupe et d’une association .

Vous plus que quiconque, avez à surmonter, triompher le mal de par le bien, même le plus pernicieux, le plus invétéré voir même le plus incurable des maux, le plus endurcis. Pour vous-mêmes, en ce qui vous concerne, ouvrez des brèches dans le mur la haine, ne vous permettez pas d’y être attiré, d’y être incorporé. Faite la promotion à surmonter toutes les sortes de rancœurs, rivalités et envies.

À partir de vous, faites que la paix existe dans toutes les sphères de culture qui sont abriter, entretenu dans le cœur de l’humanité. De plus, vraiment espéré une fin, finalité à la violence, laissez vous recevoir et avoir le courage assez pour désarmé toutes haines idéologiques et prendre recul sans cesse pour réviser la ou les volontés de chacun, ses visés personnelles pour l’accomplissement d’un effort de paix.

Vous devez aussi travailler pour que la paix s’accomplisses dans une sphère plus internationale, plus globale. Et non seulement par raison de l’inévitable lien entre les initiatives personnelles et communautaires mais spécifiquement pour une action qui est possible pour vous tous.

La pensée du jour

On ne consent pas à ramer quand une force intérieure nous pousse à voler.

Helen Keller

lundi, janvier 01, 2007

À la façon de Jean-Paul II, implorons la paix en nous et pour nous

La maternité de Marie… est comme un message final de l’octave de la nativité du seigneur.

La naissance parle toujours de la mère, de celle qui donne la vie… La première journée de la nouvelle année est le jour de la mère. Il n’y a pas d’image, plus grande, plus belle et qui exprime mieux le mystère de la naissance du seigneur que celle de l’image de la mère tenant son enfant Jésus dans ses bras

Cette image ne représente t’elle pas la source de notre singulière confidence ?

Mais il y existe une autre image de la mère avec son fils dans ses bras : la « Pietà », Marie tenant Jésus descendu de la croix. Ce fils, son fils, qui expire devant ses yeux… et qui après vint sa mort. Il est retourner dans ces mêmes bras dans lequel à Bethlehem Il a été offert comme étant le Sauveur du monde.

Je vais alors me joindre aux prières pour la paix avec l’aide de ces deux images; Mère, qui vous savez ce que c’est que de tenir le cadavre de votre fils dans vos bras.. épargnez toutes les mères de la terre de la mort de leurs fils, tourments, esclavage, la destruction de par les guerres, persécutions, les camps de concentrations! Préservez la joie de la naissance en elles, du nourrissement et du développement de l’homme et de sa vie.

Implorez en nous la paix d’ensemble, avec toute la beauté et la majesté de votre maternité. Nous vous implorons, soyez avec nous à tout moment. Faites de cette nouvelle année, une année de paix et de vertu à l’exemple de la naissance et de la mort de votre fils. Amen

À ceux que j'aime, à ceux qui m'aime et à tout les autres que je n'ai pas le privilège d'apprendre à aimer

En ce jour de l’an 2007, j’aimerais à ma façon exprimer mes vœux de bonheur, prospérité, santé mais surtout et avant tout amour que je vous souhaite émané de partout et venir de partout.

À tout ces mal-aimés de la terre, je souhaite que le monde dans lequel nous vivons deviens plus vrai, plus fraternel, moins égoïste, plus tolérant. Ainsi vous aussi aurez droit à ce que l’amour émane de partout, tant d’amour que vous en saurai très bien quoi faire avec.

Ce message est court mais à mon avis exprime à sa juste valeur ce que vous êtes pour moi, des êtres exceptionnels auquel la vie m’accorde le grand privilège de vous connaître, croître et évoluer avec vous. Ceci n’a pas de prix, on ne peux mettre une valeur monétaire, matérielle sur une amitié. Certains diront que l’amitié est comme de l’or en barre, je répond que l’amitié pour moi est une partie de mon âme, la perdre, en prendre une partie feras de moi un être inaccomplis, un bout de casse-tête disparu à tout jamais.

J’ai l’énorme privilège d’échanger des fois avec des êtres auquel leur âme se manifeste bien au-delà de leur enveloppe corporelle ou charnelle, Ils savent ce qu’ils sont, le font très bien et l’exprime très bien. À vous, mes êtres d’exceptions je n’ai rien de plus à vous dire que je vous aime vraiment et énormément et que l’esprit de Dieu, l’esprit du Créateur soit toujours avec vous. Aimez vous les uns et les autres , comme je vous ai aimez et comme je vous aimes.

« Merci » et « je t’aime » sont les deux expression qui me sont les plus valables, les plus importantes à dire à tout les jours à ceux que j’aime mais aussi à tout ceux qui peuvent croisé le chemin de ma destinée. Comme j’ai exprimé préalablement ce que je pouvais dire avec le « je t’aime » il ne me reste plus qu’a vous remerciez pour ce que vous êtes, pour ce que vous me permettez de vivre, de vous dire merci tout simplement d’être là.

Sir John's Book



Entrer dans son univers et prenez le temps de le découvrir ce n’est pas toujours simple, mais il est quelqu’un d’authentique qui n’a pas peur de ses opinions et de ses convictions. Il s’agit d’aller plus loin que le côté « rough ou tough » de sa personne en apparence, afin de découvrir ce qui se cache dans son âme.

John - "J’aime ce qui est vrai, sans détour, ni artifice. Je ne recherche rien de particulier, mais tout à la fois, je suis fidèle et sincère. J’aime les gens droits, mais non sans défauts, sinon la vie ne serait pas ce quelle est. "
Who am I ???

How should-I present myself ? The best way, I think, it’s to let things flow by itself or themselves. So here is my try. Male obviously, 45 years of age, 5-11 and ½ and believe me, the half part is important to me lolll. 175-180 lbs and I am a red-head sort off loll. Taurus so it mean’s that in a few months I will be older and hopely more wiser loll.

My enterests lies in few simple things in life. I have 2 kids, a boy and a girl that I love a lot. They are my greatest joy. I am a single Dad but I do thank God or my Creator always for that gift. I value friendship a lot, have not too many friends but the ones I’ve got, I am sure that they will be there for whatever time is left for me to live in this life. I am one of those who know for sure the value of life. Even thow sometimes I find myself into a bitchy mood. Lived a hard life but a real one. Took me a long time to find out who I am realy and what I am made off. But for sure now I know who I am and now I know what I need, want and desire the most in life. I think that I hold strong moral values and try to live by them all the time.

I am a social worker, working mostly with kids, handicaped people and some of those most unfortunate but sick. Sickness been there, got the message and came back. Was handicaped for a lot of years but dont consider myself in that state anymore. I do give a lot to others, listen a lot, give advice a lot and sometimes argue a lot when I feel that I have to defend injustices and maltreatment. In those times I become the most fierce person you may encounter. Because I realy believe that someone has to take stand firmly an react.

I like doing some oil painting when I’ve got time, writing when I’ve got time,
Reading a lot of times but loll what I like the most is to read law-books. I do like to give myself a decor which no other will find anywhere else. So I like painting walls, do some indoor decorating, restor old furniture, it calms my nerves loll. I like to chat but for one purpose only. I am trying to fing the mate, the only one that will matter. I like seeing films, staying at home, cooking. Like flowers and working outside in season. I think that all of this gives you a pretty good idea of who I am.

The only things that I miss the most in my life, is the ones that I loved and went back home from where they came and where one day I will be reunited with them. What I miss also is the one, the mate, the one that will count a lot to me. Is it you ??? Only one way to know. Communicate with me.
I believe, believe and believe a lot in my Creator and the angels around me.