L'histoire qui nous mèneras vers la bénédiction des cieux

Ce que je raconte ou écris sonne pour moi comme une prière, maintes et maintes fois demandé, supplié, marchandé où des transactions de part et d’autres, entre moi et mon Créateur ont été convenus. Et qui je sais me sera exaucé. La prière, j’en connais les tenants et les aboutissants et ainsi va le sens de ma vérité.
L’homme, le mien, viendras ou apparaîtras et elle seras vu par l’autre âme humaine à qui il est destiné. Ils se trouveront, se reconnaîtrons. Les deux destins ne feront plus qu’un et cet amalgame sera vu et reconnu comme étant leur vaisseau. Ce vaisseau qui de par son exemple changera à sa façon le cour d’une vie tout en changeant la nôtre. Inspireras espoir où tellement d’autres l’ont perdus. Vaisseau qui après avoir parcouru le sillon de leurs deux vies ne faisant plus qu’une, les ramènera tout deux à la maison, un entrainant l’autre pour qu’aucun ne puisse connaître une séparation trop longue. Le vaisseau, qui s’envoleras un jour comme sur les ailes d’un ange les rapporteras à bon port. Celui qui, tout deux se mériterons.
Sens-tu une sensation d’éveil malgré nos tendances à êtres vieux-jeux Moi si. L’éveil de l’élu. Je me sens comme un ado faisant face pour la toute première fois à l’éventualité de vivre son premier amour, celui qui importe et que l’on ne veut jamais oublier. Tout me paraît clair, limpide et ainsi je vogue vers ce qui doit être.
La vie, qui effraie parfois, fait de ton apparition une sensation de bien-être. Comme si tu est le protecteur, mon protecteur jusqu’à ce que je sois rassasié de ton assurance. Et encore après cela, tu y sera pour mes moindres besoins captant au passage chacune de nos deux énergie vitales.
Personne ne nous dis qui ont est, ont l’apprend, le devine, le deviens ou on nous l’insuffle doucement, tendrement à notre oreille. J’ignore en fait qui tu est mais tout me porte à croire que tu est une personne de très grande importance puisque tu inspire en moi, l’inspiration de la renaissance et s’il en est ainsi, je suis donc blanc, tout est nouveau, tout est à vivre, tout recommence à neuf et plus rien d’avant ne compte à part ce que je suis devenu, ce qui fais la fibre de mon moi. Ce qui fera la différence chez toi.
Le charme dans tout cela est que tu est un être qui écrit et ce que tu écris est de grandes importance car tu sais incarner les mots. Tu écris magnifiquement. Tu te raconte d’une façon étonnamment honnête et franche, explique qui tu est, la visions des choses. Ta vision propre sans fuir les mots.
Moi je parle des problèmes du monde, l’iniquité entre les cultures qui sont à la fois tellement différentes, dérangeantes mais de combien enrichissantes. Je parle de ce que je pense des dirigeants de ce monde. Ce que je raconte parfois, à ma façon est très triste et j’ai même oser raconter la nuit/le jour, le jour/la nuit où j’ai perdu toutes notions de la raison. Le jour ou je me suis permis de ne plus croire au bonheur, arrêter d’être heureux. Je suis devenu une âme noire, disons pour employer les nuances de ma fille, un âme d’une variance de gris foncé. Je voulais que d’autres sentent ma douleur, ma souffrance mais j’y arrivais pas. J’avais envaler les sons parce-que si j’émettais ne serais-ce qu’un cris, je le savais que je ne m’arrêterais plus. Alors je me suis tue.
Ok, le temps a passer et tu te dis que toi aussi tu as le droit de vivre un amour, un autre. Cherchant et acceptant tout ce qui s’offre. D’une fois à l’autre ne comprenant pas pourquoi on étais si injuste avec moi. Que la vie était injuste, que Dieu m’avait abandonner. Je savais que dans le monde extérieur, rien ne paraissais, j’étais devenu maître du jeu dans l’art de dissimuler, cacher, extraire. Oui j’ai aidé, croyant à torts et à travers que cela me procurais un sens, parce-que j’en voyais des changements, minimes, mineurs et des fois presque imperceptibles. Convaincu que j’avais trouvé le moyen de déjoué mon Créateur, de faire à ma tête et de lui tenir tête de m’avoir trahis. C’est qu’à ce moment, je ne connaissais pas ce que voulais dire le mot « destiné ». Tout ce que je connaissais était le mot « destin ».
Notre savant dictionnaire dis et je cite « la destinée est une puissance souveraine considéré comme réglant d’avance tout ce qui doit être; destin. » Ou l’on peut choisir de la définir ainsi : « Ensemble des événements composant la vie d’un être, considérés comme déterminés d’une façon irrévocable et indépendante de sa volonté ». Humm, il y a du vrai dans cette définition mais j’ai évolué, grandis, compris que ce n’est pas vrai. J’ai choisis ma destinée, l’a accueillis bien avant de mettre mon pied sur cette terre. Toi tu le sais, moi je le sais.
Le destin tant qu’à lui semble vouloir dire « loi supérieure qui semble mener le cours des événements vers une certaine fin; voir même fatalité ». Ou si l’on parle de l’existence humaine, mon savant dictionnaire dicte « L’existence humaine, en tant qu’elle semble prédéterminée » comme ayant en elle « avoir un destin tragique ». J’aborde pas dans ce sens, je refuse ce sens, je le refuse pour moi car autrement je ne ferais que airer ici et là comme une loque humaine, et je suis loin d’être cela. Il y manque le mot espoir et c’est ce qui d’après moi fait toute la différence entre les deux mots.
Des cadeaux, j’en reçois à profusion depuis moins de un an. Moi qui croyait ne détenir aucunes valeurs, n’avoir aucunes valeurs. J’ai même cru que ma vie n’avait aucuns sens et aucunes raisons d’être. Pourtant j’ai appris à aider les gens qui vivent ici, qui forment ma communauté en me disant souvent que n’importe qui peut faire ce métier, ce boulot. C’est cela une âme vide, une âme qui lui manque sa moitié.
Depuis moins de un an, ce que je faisais en tout cas moi; percevais le faire de façon bien mécanique me confirme que tout les humains ont une raison d’être. Puis il y eu le blog, que j’appelle affectueusement mon blog. Cadeau de Réal. Un autre ange qui a perçu chez moi ce que j’avais peines à voir. Cela m’a permis de me délivrer, me permet de verbaliser ma raison d’être, mon raisonnement. Tout est et étais préparation à quelque chose de plus grand. J’avais rendez-vous avec ma destinée.
Tout est Amour. Sans le savoir, on me préparais pour le grand miracle et je serai très heureux quand on se sera vu, reconnu, et se vivre, apprendre à apprendre de toi, reconnaître l’odeur qui se dois être accompagnatrice, calmante parce que reposante de toutes mes tribulations. Le guerrier est fatigué mais ne cessera pas de combattre, du moins pour le moment présent, n’est pas prêt à rendre ses armes. Doit continuer de se battre pour son monde meilleur.
Je trouve que tes mots sont magnifiques. Ton cœur est immense et je ne me lasse pas de lire et relire, encore et encore. J’ai besoin, j’ai ce besoin immense de boire à la coupe de ton âme et je sais que je manque de pudeur écrivant ainsi mon état d’âme d’une façon qui peut devenir de nature publique.
Tu commence à me connaître, j’écris et essais de ne plus me censurer. Il y a cette notion de guilde. L’importance de ce mot pour moi est grand et c’est ainsi que je demande l’aide des êtres qui m’aime et des êtres qui t’aime. Les heures passent et je laisse glisser mes doigts sur le clavier, formant, assemblant des lettres, des mots puis pourtant tu m’a laissé te parler des heures durant, hier.
Des fois la vie te griffe et permet au poison de s’emparer de ton corps. Mais l’esprit, l’âme trouve toujours une façon de te guérir, de me guérir.
Tu n’est pas apparition, fantôme, vision, chimère, simulacre; tu est bel et bien réel. J’ignore encore beaucoup de qui tu est. Mais ce que je peux dire, C’est tu m’a grandement ébranlé, affecté. Mes idées, tout est devenu clair, tout devient clairs. Les craintes qui freinaient mes idées se sont en aller. J’entend enfin ma voix. Je rêve à nouveau, à présent.
Je rêve de me trouvé à genoux devant toi à entendre de ta bouche, la prédiction de mon avenir, de ce que je serai, de ce que l’on sera. L’inspiration de la renaissance.
Je ne serai jamais un grand écrivain, ni un grand orateur même si je le fais. Mais ce que je souhaite c’est que mes mots, mes idées, celles que j’ai en tête et met sur papier et deviens réalité puisse un jour inspirer le cour d’une vie et qui sais, par ondes de choc, peut être changer le concept d’un grand dirigeant de pays, de ce monde, de mon monde. Et qu’il à son tour en fait un monde meilleur avec des moyens plus grands, plus puissant que ce que je possède. En attendant, je sais que juste un petit geste peut changer tout, inspirés des idées ou moi je faillis.
On a tous des pouvoirs spéciaux. Moi le symboliste, toi le gardien, moi l’interprète, toi le guérisseur. Toi et moi, tes mots et les miens, de chacun nos façons respective de le faire avec la guilde des gens, des êtres, des âmes qui nous souhaite que du bien, y croit tout autant que nous et qui au besoin nous appuierons, nous conseilleront, nous guideront pour ce qui est et sera béni des cieux ne puisse se défaire mais nous montrer comment en arriver à réussir aussi bien qu’eux. Tel est mon souhait, telle est ma demande. Tout cet ensemble, le cadeau que m’offre la vie, c’est bien plus que je demandais mais je l’accepte avec une confiance totale.
Je me sens riche, voulu, choisi, élu, aimé, désiré, respecté.
La guilde qui a le pouvoir de se réunir au besoin nous viendras en aide. Et toi mon guérisseur, continu d’insuffler en moi le pouvoir de guérir toutes choses.
Notre rythme incontournable mais essentiel qui peut sembler bizarre pour certains, mais nous on sait que tout cela a sa place et fais sa propre sonorité tel la voix des anges.
Présentement, tout ce que je réalise est la longueur du texte, qui peux présenter des choses dites et redites voir redondants. Tout cela pour dire que le tout me semble comme un conte, un conte auquel ma grand-mère ou ma mère me racontais jadis. Mais où pour une fois j’y joue un rôle direct, que tu y joue un rôle direct, la métamorphose de la purification, du renouveau et où pour moi, je n’y vois pas de fin.
Tout cela pour te dire « Je t’aime ».
0 Comments:
Publier un commentaire
<< Home