Mon bel aube

Mon bel aube, je cours après le temps à nouveau. Je pensais que je mourrais, un jour, en homme solitaire, dans un nuit qui n’en fini plus, devenu interminable.
Mais maintenant je suis tout joyeux, et cour au-dessus comme un fou furieux parmi les étoiles. Des fois il est difficile de croire que tu te rappelle de moi.
Beau matin du jour, je me moue parmi les étoiles à nouveau. Te rappelle-tu du jour quand commençais mon périple ? Te rappelleras-tu de la fin du temps?
Beau matin du jour, je me moue parmi les étoiles à nouveau. Te rappelle-tu du jour quand commençais mon périple ? Te rappelleras-tu de la fin du temps?
Bel aube de mes jours, tu ne fais qu’épater mon esprit. J’ai vraiment pensé que j’étais né pour une nuit sans fin jusqu’au moment où tu t’est mis à brillé.
De très haut maintenant, je vole parmi les étoiles librement. Des fois il est difficile de croire que tu me reconnais.
Sera-tu mon épaule quand je serai vieux et gris ? Me promettra tu, un jour, que demain commencera avec toi ?
Sera-tu mon épaule quand je serai vieux et gris ? Me promettra tu, un jour, que demain commencera avec toi ?
Je vole haut, fou, heureux tout en courant parmi les étoiles. Des fois il est difficile de croire que je peux être à toi.
17 Comments:
joli serais pas le mot <
combien de temps pour etre accroc de cet bel aube....
que dire magnifique moment ou magnifique et tendre moment ....seras passager ou vouloir éternité..ne pas emprisonner l aube car il respire a tout les matins.son coeur tendre doux,une merveille la 8ieme merveille.. ne pas briser se joalier ne pas briser cet merveille unique .....
ok Marie,
Voilà ma réponse,
Combien de temps, me demande-tu, avant de devenir accroc de cet bel aube ? je te répondrais par 32 ans, trente-deux années d’embûches et d’accrocs pour tenter de retrouver l’être qui possède l’âme. Je savais dès l’âge de mes 14 ans, que l’âme existait mais où ??? Ok, je ne te connais pas, ne sais aucunement qui tu est mais ce que j’ai lu de ton intervention viens me bouleverser un peu, me touche en tout cas énormément beaucoup. Alors je te traiterai en amie, et en amitié, j’essais de ne pas trop me censurer. Alors je te répondrai comme si la réponse ne sera lu que par toi et moi.
Ok, voici un histoire vrai, le prologue de tout ce que j’ai vécu et vis présentement. À L’âge que j’ai, j’ai connu donc l’école élémentaire dont les professeurs étaient encore des sœurs, les sœurs vivaient à même leurs quartiers qui se trouvais à l’extrémité de l’école, l’école en question est l’école Notre-Dame de Huntingdon. J’y ai suivi pendant de nombreuses années, des cours de piano classique. Finalement avec le temps, je suis devenu un jour un virtuose de ce mode de communication, mes émotions, mes sentiments passait plus par l’intonation que j’accordais « à ma musique, mon piano » que ce que je pouvais accorder en paroles. Mais cela est une autre histoire, ancienne même, appelons-le : jadis.
Pour en revenir au sujet; Sœur Thérèse était de beaucoup ma meilleure, elle prenait un temps fou à m’expliquer les choses, les vrais choses comme elle disait « venant directement du bon ciel, du paradis ». ok, je me rappelle très bien une très belle histoire qu’elle m’a raconté. Elle a dit un jour, (John) sais-tu que tu as un ange gardien, au moins un qui t’a été assigné depuis le jour de ta naissance et avant que je demande; comment le savoir vraiment ??? elle a répondu la preuve se trouve littéralement sous ton nez, sur ton propre visage, la petite enclave que tu as juste au dessus de tes lèvres, mon beau (John) est la preuve du toucher de ton ange.
Tout âme décide de venir, ou pas, faire un séjour sur terre, le fait que tu y est elle la preuve que tu as accepter de venir. Dieu dans son Infini Sagesse, Décida alors de me munir comme compagnon une âme, un ange dont sa mission est de veiller sur moi, tenter de m’aider. De me souffler à l’occasion, à l’oreille ce que je dois faire ou ne pas faire selon le cas.
Je me rappelle très bien lui avoir demandé, du haut de mes 7 ans, mais pourquoi une telle marque. Sa réponse fût « tout simplement parce-que quand on décide de venir sur terre, on y laisse de très, très bons amis et pour ne pas trop s’en ennuyer, dès que l’on rencontre l’ange qui nous est assigner le jour de notre naissance, bien l’ange nous explique que l’on doit oublier d’où on viens, avec qui, quels autres âmes nous, nous trouvions bien, plus que bien. De ne pas avoir peur, peut importe les difficultés, L’ange parlant dis : je serai toujours avec toi jusqu’au jour de ton retour à la maison. Qu’un jour tu reverras les âmes auquel tu étais très attachés et tu me reverras aussi.
Surement que quelque chose de particulier est arrivé, puisque dès l’âge de mes 14 ans, je me suis mis à pleurer presque tout les soirs, toutes mes nuits. À faire d’étranges rêves avec le sentiment profond qu’il me manquait quelque chose de grand, Tellement grand, tellement fort que cela me faisais littéralement mal en dedans. J’étais loin d’être un fou, loin d’imaginer des choses, le sentiment profond que je touchais à une des vérités en imaginant et cherchant mon frère. Pourtant j’en ai eu 3 frères de sang dans cette vie. Mais j’étais convaincu que moi, j’étais adopté, ne faisait pas partie de cette famille. Je voulais mon frère.
Plus tard j’ai compris et cela nous emmène à en 1992, faite le calcul, mes 32 ans. Où cette année particulière m’a emmené à vivre une difficulté tel que je ne le souhaite à personne. Hors donc sachant ceci, de 1992 à 1997. Moi, le moi en moi faisait parce que c’étais mon cadeau du ciel, mon apprentissage de la connaissance absolu des deux mondes, celui du présent et celui d’où on viens et retourneront le jour choisis de notre destinée. C’est dans ces années, où il a des écrits à ce sujet, à mon sujet que (John) est parmi ou parti en voyage. J’espère que tu comprend efficacement ce que j’essais de dire ? sincèrement je le souhaite! Dans tout les cas, C’est là que j’ai compris le vrai mot, le vrai mot n’est pas frère mais âme, mon âme-ami, mon âme-frère, mon âme-sœur. L’âme.
Alors ma réponse je la maintiens, cela as pris pour moi 32 ans pour en devenir accroc à nouveau de cet âme.
Que dire magnifique moment ou magnifique et tendre moment …. Je répond à ceci définitivement et sans aucuns doutes dans mon esprit « magnifique et tendre moment » que je n’oublierai jamais de tout de ce qui reste de ma vie temporelle. Ce qui me chagrine le plus présentement mais qu’en même temps je l’accepte, c’est que ce magnifique et tendre moment as été véritablement vécu par deux êtres dont leur âmes, pour un moment ou pour tout le temps, se sont retrouvés et vécurent ce que pour moi, je peux sans hontes dire, wow, du jamais connu, du jamais vécu, du vraiment unique. C’étais vraiment la danse de deux âmes, l’amour sans conditions, acceptant tout et voulant donner tout. Mais et voici le regret et dont j’accepterai le cas échéant, faut que les deux acceptent, si cela est trop pour une âme, je comprend alors le réticence et l’accepte ainsi, cela fera mal certes mais si tu aime comme j’aime alors tu ne dois pas, aucunement pas accaparé, ligoté ou mettre en cage ton oiseau, tu te dois de le laisser libre. Aimer inconditionnellement veut aussi dire ne pas être égoïste au point de te garder le joyaux.
Tu écris; sera passager ou éternité…. Je crois humblement avoir répondu à ce questionnement préalablement mais tout de même, au risque d’être redondant, je me répète. Éternel ma réponse est éternelle. Je la voudrais éternelle et ou tout ce que j’essais de t’expliquer depuis le tout début, prend tout son sens. Je ne vis pas totalement une vie temporelle, je vis avec la notion, l’apprentissage et la vérité que je sais vrai, que l’éternité existe et existera pour toujours. Donc ma réponse est Éternité.
Et tu poursuis; ne pas emprisonner l’aube car il respire à tout les matins….. Bien sur que je comprend ce que tu essais de me dire mais lis quelques lignes écrites plus haut et tu verras ce qu’est mon engagement. Oui en humain, je le voudrais tout le temps, en âme et en esprit je comprend que je dois laisser libre de respirer ma colombe, au risque même de la voir partir vers un autre ailleurs, un autre cieux. Alors ok, je prend le risque. Je libère ma colombe et si elle me reviens tant mieux, et je te jure que je ferai pour lui faire de meilleurs jours, des jours heureux car moi aussi je vis, et respire tout les matins. Du moins encore.
Son cœur tendre doux, une merveille, la 8 ième merveille. Oui je reconnais son cœur, tendre et doux car son cœur est comme mon cœur, sa vie est comme ma vie, ses souhaits sont tout comme mes souhaits, le mal vécu est semblable au mien, du moins malgré les différences, elles sont à la base, les mêmes. On se retrouve, reconnais en l’autre ce qu’il y a de définitivement semblable. Il est merveille car moi je sais aussi que je suis merveille.
Tu parle de 8 ième merveille, tu le compare au sept (7) merveilles du monde. Moi je répond qu’il est ma deuxième (2ième) merveille et j’explique. Je fais une grosse différence entre les merveilles du monde et celle des cieux. Celle du monde, je peux les voir mais elle ne seront ou ne ferons jamais partie de moi, quand on quitte ce monde, on le quitte seul et sans riens de matériel. Tandis que quand tu sais ce dont est fait la vérité, tu emmène donc avec toi ce qui est plus cher, de plus vrai avec toi car elle fait dorénavant, même si cela n’en restera qu’en un bref moment, car elle est en moi. Je parle de deuxième merveille car ma première est mon Père, mon Créateur, mon Sauveur. Lui seul peut être le premier. Garry deviens mon troisième. Lire au besoin les archives du mois de mars 2006.
Tu fini par : ne pas briser ce joalier ne pas briser cet merveille unique. Je comprend parfaitement et cela me frappe comme un mur de briques. Il est un joyaux de cieux, beaucoup ont tenter d’amoindrir sa lueur, éteindre sa clarté, sa pureté. Moi je vois tout cela, je vois la beauté, la lueur dans ses yeux, pas juste ses yeux. Je vois l’ensemble parce que je vois et sens très fort son esprit. Il est celui en tout cas tu sais ….. Ce joyaux doit pas être exposer, je veux dire par cela le contenir comme dans un enclot que seul certains pourraient le voir, dont moi. C’est loin d’être mon but, ma volonté. Ce que je veux et souhaite c’est que la beauté, ce joyaux fragile, j’aimerais mais cela sera selon sa volonté et non la mienne, mais s’il le choisit ainsi, j’aimerais le protégé et le faire briller à nouveau comme il était originalement. Moi aidant lui et lui aidant moi. L’amour ma chère, le véritable amour est simple et complexe en même temps.
Alors analyse, conseille-lui et il en sera ainsi et respecter ainsi par moi.
je peut lire
bien du chagrin beaucoup de peine
pendant un instant ferme tes yeux pensse au plus beau moment que tu as eu dans ta vie concentre toi bien et tu verras le sentiment de bien etre que tu retrouveras.
moi non plus je te connais pas mais
je sais analyser les sentiments que tu degage en ecriture ......s est beau s est doux mais aussi sa peu faire peur je te parle et je te dis mon opinion..s est beau te te lire.
Oui, en effet, on peut y lire, bien du chagrin, beaucoup de peines mais pas juste cela. Ont peut y lire aussi ce que j’en pense, comment cela m’a fais grandir et continue de me faire grandir. On peut y lire comment j’en suis venu à vivre le genre de vie que j’ai choisi de vivre. On peut y lire aussi ce que je suis et peux être pour un autre.
Alors oui, sans hésiter je sais quel moment particulier je veux me rappeler et peut importe « the outcome », en français peut importe ce qui en adviendra, je m’en rappellerai pour toujours, éternellement.
Cet image, cet instant que tu me demande de me ramener en mémoire, me rappeler, le bien-être que tu me demande de retrouver. J’en comprend le sens et à ceci je répond, pas un bien-être que je ressens mais une paix interne comme jamais avant espéré connaître. C’est ce qui compte le plus, je sais à présent qu’il existe ce que je cherchais, demandais, quémandais auprès de mon Créateur en échange de services rendus ou à faire encore.
Good pour l’analyse des sentiments que je dégage. Le but de mon blog est d’essayer avant tout de faire changer les choses. Ramener à ma petite façon ce qui dois être avant tout autre chose. Un questionnement profond de ce qui se passe dans ce monde terrestre et comment on peux y arriver, seul, à changer ce qui selon notre perception vas de travers dans ce monde. Alors on commence par soi avant de pouvoir emmener un changement dans son milieu, sa communauté.
Je comprend que cela peut faire peur, mais mes ami(e)s, mes vrais ami(e)s peuvent facilement comprendre ou s’ils perçoivent selon eux que je suis dans le champ, bien il font comme toi, demandent et reçoivent réponses à leurs questionnements. Cela doit en être ainsi peut importe quel relation tu vis. Que ce soit par l’écriture, la communication, l’aide, l’entraide que tu accorde aux autres; tu te dois de communiquer le plus efficacement possible. Dire les vrais choses selon la perception qui t’est propre.
Je paie au suivant, rien n’arrive pour rien.
Ce qui fais peur d’après moi, c’est le degré de sincérité qui est fort dans mes écrits, je raconte, écrits en tentant de ne pas me censurer. Être brut, ne pas se relire des fois parce que sinon tu tranche des bouts de vérités. Même si cela blesse au passage. C’est ce qui fais de moi, un être à part et si tu vois bien, ce que j’attire ce sont avant tout des êtres, âmes parfois semblables à la mienne mais dont on veut maintenir contact dans le but d’échanger le plus possible entre nous.
Attirer par une philosophie semblable, pas tout à fait partagé entre nous en parts égaux car je sais très bien que cela vas selon ton vécu, ton degré d’adaptation, ton évolution. Pas tous n’évolueront de la mienne manière ni ne donneront les mêmes effets. C’est ce que j’appelle être tolérant et ouvert envers la vérité des autres, quitte un jour à changer la mienne. Être tolérant n’est pas un terme péjoratif mais en fait un mot qui demande respect pour pouvoir être ouvert à ce que peux exprimer les autres.
Je ne suis pas parfait, loin de l’être mais tente à ma manière de m’y rendre le plus près possible.
Merci infiniment de ton échange, tes deux mêmes parce que cela me permet de percevoir des choses dont je ne veux aucunement avoir à regretter un jour. Et en amie, bonne et parfaite amie, comme les miens, on tentent de protégé les nôtres, c'est-à-dire ceux que l’on aime de ce que nous pouvons des fois percevoir comme mal potentiel. Parce que toi tu aime avant tout celui que tu aime. Et les miens bien font de même pour protégé qui je suis. On en a assez vécu de mal, n’est-ce-pas pour comprendre qu’il ne faut pas en faire aucunement à un autre, du moins intentionnellement parce que non-intentionnellement est questions de perceptions et des fois loin de la réalité actuelle. La seule façon d’éviter tout ceci est de communiquer, sans cesse communiquer et quand on ne comprend pas demander et redemander explications. Moi cela j’ai appris que par-dessus tout, dans cette vie, bien des conflits, biens des maux pourraient être autres s’il y avait eu à la base , une vrai et réelle volonté de communication.
Merci encore et de beaucoup pour la qualité de cet échange et le respect que tu me démontre. Espère sincèrement que tu perçois à ton tour mon respect envers toi.
Humm je m'excuse de te revenir avant un autre échange, si tu le voulais ainsi. Ta recommandation est bonne mais je ne peux pas la faire ainsi. Cela me ramènerais en arrière, c'est à dire avec Garry. J'ai eu une misère folle à revenir et vivre dans le monde des vivants. Je ne faisais que survivre en attendant de pouvoir aller le rejoindre. C'est pas une vie cela, c'est un enfer non nécessaire que tu t'impose. Mes amis, mes véritables amis m'ont ainsi aider à voir la vérité, dans tout son emsemble, et ainsi voir (John) revenir, plus grand, plus fort que jamais. Alors merci à la vie
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blogue.
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Linda, je te dois le même respect que Marie.
J'ai retiré ton commentaire délibérément parce que là wohh, cela deviens pas mal privé pour un blog qui deviens de nature publique. Je pense que vous êtes entrain de m'accorder pas mal plus d'importance que ce que je suis en réalité.
Là je dois avoué que je me sens attaqué de tout bords tout côtés et ce qui "est beau" deviens peu à peu "étais beau".
Moi, je et j'ai remercier le ciel pour l'avoir au moins vu et vécu. Ce matin, c'est le choc encore et cela est entrain de me ronger en dedans et me faire peur à moi.
Vous parlez de sa fragilité, vous parlez qu'il est bouleversé. Certes car je le suis aussi. Mais Là vous allez très et trop loin.
Vous dites que vous voyez en moi un genre de Allah. Allah pour tout un peuple c'est Dieu. Et Dieu pour moi est ma première merveille, la seule merveille qui compte au dessus des autres et je n'ai jamais oser prétendre de le remplacer, vous me dites comme un loup voulant attiré vers lui des disciples. Bien pardon, vous faites fausse route, tous et cela implique vraiment tous à présent.
Cela est attaqué qui je suis au plus profond de moi. Vous ne savez rien de moi et portez des jugements que vous dites durs, moi je les lis et je vous dit qu'ils ne sont pas durs, mais destructeurs. Très destructeurs même. Pour l'instant, je vais m'en tenir à ce que je viens d'écrire.
Mais quand je reviendrai plus tard, je répondrai et le bon sens, j'espère, s'il existe en vous. Vous allez me devoir toute une demande de pardon, vous excusez pour une telle démarche d'ou je comprend très bien votre sentiment de protéger votre protégé, mais pas en détruisant un autre, pas en me détruisant, pas en détruisant ce que je suis moi.
Je sens beaucoup de mal diriger vers moi quand moi je ne souhaitais que la paix autour de tout cela. À vous tous de réfléchir maintenant mais je vous promet une réponse en bonne et due forme où là je remettrai l'intégrale de votre commentaire au yeux et au sus de mes ami(e)s, ceux qui m'aiment et ceux qui cherchent à me protéger pour les mêmes raison que vous voulez protégez votre petit marin.
Et ainsi tous verront l’énorme injustice et l’énorme mal que vous dirigez vers moi. Cela pour moi ressemble plus à une guerre qui se trame plutôt que la volonté de vouloir essayer de comprendre ce qui est l’autre. Dans le fond, je ne vous en veux pas mais je me bat depuis de nombreuses années à essayer de changer le monde. La tolérance doit commencer par vous. En ce qui me concerne, la tolérance, moi, je la pratique de facon quotidienne et la met en application de facon quotidienne.
MOI DEMANDÉ PARDON TU RÊVES ET C EST PERMIS DE RÊVER.........CELUI ET CELLE A QUI JE DEVRAIS DEMANDER PARDON CE SONT QUI MONT DONNÉ LA VIE TOI TU ES UN GARS QUI A LES YEUX DUN ENSORCELEURS JE NE RETIRE RIEN DE MES PAROLES CAR SE SONT DES PAROLES PENSÉES ET BIEN DIT JE N ESSAIE PAS D AMADOUER MON PROCHAIN....................
Lynda,
La patience est une vertue.
J'ai bel et bien écris que vous aurez droit à une réponse absolu et honnête de ma part. Mais je ne me laisserai pas imposer quoi que ce soit par vous.
Je vous répondrai suite à ce qui prend du temps à écrire et après cela vous serez inviter à quitter mon monde mais avant vous lirez ce que vous avez fait de moi. la justice est quelque chose de fondamental chez moi.
J'accepterais même pas vos excuses présentement parce que vous ne possédez rien pour vous baser sur ce que je suis et mes motivations.
Et en même temps, la totalité de votre commentaire apparaîtras. Vous serezx en mesure de lire ce que vous avez écris et jeger ensuite s'il était valable d'âgir ainsi. L'attaque m'est destiné mais cela appartiens à moi à présent de prendre le temps nécessaire pour mettre en mots le mal que vous me faites.
Alors attendez votre tour, il viendra. J'en fais une promesse
lynda a dit...
Salut John
La deuxième merveille dont tu parles,elle est quoi pour toi.Il est ma merveille à moi aussi saura tu le partagé il ta parlé de moijai vu ta photo tes yeux m ont percé et sont révélateurs tu va chaercher le dedans de nous,tu sais comment t y prendre.Mais ce jeune marin comme tu dis,a beaucoup souffert dans sa vie malgré son jeune age je lui ai aidé a surmonté des épreuves je l aime comme mon fils et je n accepterai jamais qu on lui fasse mal a nouveau on dirait que tu veux dès maintenant l attacher à ta vie lui il a besoin de liberté de s envoler dans la vie comme un colombe qui cherche LIBERTÉ pas se sentir lié et étouffé tu es peu être un ^^etre super je ne peux te juger mais je ne vois pas mon jeune marin s envoler avec toi ,,,vous pouvez vivre des belles choses a l aurore comme a l aube mais cette jeune colombe a besoin de sentir vivre pas exister..........la premiere fois queje t ai vu en photo je lai dit il a les yeux d un prophète me suis-je tromper je le sais pas mais moi tu va dire je suis dure mais je suis directe tu as su aller chercher le dedans de son âme sensible...aujourd hui ce jeune oiseau est boulversé je sens que si lui s attache à toi il ne pourra guère se détaché de toi........il aura une crainte en lui.......ou trouvera -t-il le bonheur,,,,,,,,,car avant tout ........il mérite d être heureux en dedans de lui ,,,,,,,,,pas juste l aspect physique......le physique ce n est qu une image extérieure de nous........mais le dedans se doit d être beau aussi...je suis comme toi j adore les anges j en ai une collection,,,,,,,,,,mais ce n est pas pour ensorceler mon monde...je vois en toi un genre de allah qui essaie d apporter a lui ses disciples..........ne fais pas cela avec ce jeune oiseau il est cher à mon coeur ne le détruit pas ne lui fait pas a croire a tant de merveilles .......les merveilles de la vie sont ou.......c est nous qui devons foncé dans la vie et constuire notre destin on a un chemin de tracé.....ce jeune individu a besoin de se retrouvé pas de se faire dirigé,,,,,,,,,,je le connais trop pour le laisser foncé comme ca sans lendemain ce jeune individu veut etre autonome dans sa vie.............tu as un tel pouvoir ........combien de jeune louvetaux essais tu d approcher.........mon jeune protéger ........laisse le agir ........seul.... détruit pas sa vie intérieure....car la tu le brises en dedans de lui.....s.v.p. cherche une autre brebis égaré.......on l aime tel qui est.....
Salut et bonsoir Lynda,
Je choisis le mot salut, parce-que ce terme pour moi est un mot bien particulier, cela à mon avis je le donne aux gens de grands mérite. Sinon un simple bonjour ou bonsoir ca va. Vous comprendrez pourquoi je vous estime de beaucoup malgré ce que vous faites comme actes. Comme aurais dis ma mère, trop tard, c’est fait. Tu as le choix à présent de réparer ou oublier pour pouvoir avancer
Comme il est de coutume dans mon blog, mon monde. Je vais vous répondre le plus respectueusement possible. A froid comme vous me le demandiez, impossible pour moi parce-que les mots sortent tout croches et sont mal interprétés.
Donc après avoir mûris, en pleurant même, j’ai tenter de comprendre ce que vous vouliez me dire. J’ai lu et relu plusieurs fois et voici donc ma réponse promise.
La deuxième merveille dont je parle, elle est avoir rencontré, même toucher une âme plus que semblable au mien. En fait cela est la réponse à ce que j’ai toujours su en moi depuis l’âge de quatorze (14) ans. Il est un être très à part, une exception comme j’en suis une. Un charisme hors pair, des yeux à faire fondre qui ce soit autour et un sourire enjôleur mais franc. Du moins ce que je croyais jusqu’à présent. Et j’explique …
Vous dites qu’il est votre merveille à vous aussi, je le comprend parfaitement cela. Il m’a parlé de vous aussi et moi ce que j’ai vu en vous est ce que je reçois de Jacinthe, Réal, Claude et Jean. J’ai reconnu alors ce que cela voulais dire, toute l’importance que cela est et dois être dans une vie plus que difficile des fois. « Rien n’arrive pour rien ». Et si vous êtes son ami, il y a une raison pour cela. Donc à mes yeux vous méritez respects. Tout autant que Marie.
Vous me demandé. « sauras tu le partagé ». La réponse est évidente pour moi, bien sur, un être comme lui mérite de se faire connaître plus. On n’enferme pas personne de sa grandeur et je ne garde aucuns trophées. Je ne l’ai jamais fais et je ne le ferai jamais.
Vous parlé de mes yeux, vous dites qu’ils vous ont percé et sont révélateurs. Certes il en le cas et je le sais. Vous écrivez « tu va chercher le dedans de nous », je m’excuse mais est-ce de ma faute si je suis devenu ainsi. Est-ce de ma faute que vous avez choisis de voir ce que je suis. Vous écrivez ensuite « Tu sais comment t’y prendre ». Cela chère ami de lui, je le prend mal, très mal même. Je n’ai que le pouvoir de m’avoir trouvé une façon propre à moi de trouver ce qui est vrai du faux, ce qui est juste et injuste. Les yeux de tous me parlent, en disent longs de ce que vous êtes mais avec la gestuelle des mains, cela confirme ou affirme si je suis en présence de quelqu’un qui me veux du mal. Mes yeux, le pouvoir que vous dites que je possède arrête justement là. Rien de plus, mais en même temps, rien de moins.
J’ai pas à m’excuser à quiconque de ce que j’ai du devenir pour me protéger. Vous plus qui quiconque devriez être en mesure de comprendre ce que cela veut dire. Si et seulement si, vous avez bel et bien l’intention de partagé le joyaux ou la merveille. Si vous avez vraiment l’intention de présenté une ouverture d’esprit à ce que je suis. Prime abord je ne comprend pas comment vous voyez une menace en moi et j’ai le droit de l’exprimer.
Le jeune marin, je ne veux pas prétendre le connaître plus que vous, mais ses blessures, ses souffrances. Je les connais pour l’avoir vécus moi-même et surement que j’en aurai d’autres à vivre comme celle que je vis présentement.
Vous dites « je l’aime comme mon fils et je n’accepterai jamais qu’on lui fasse du mal à nouveau » Qu’est ce qui vous fais croire que c’est ce que je cherche, lui faire du mal. En ai-je pas assez vécu moi-même pour tenter de me tenir loin du mal ? En ai-je pas assez vécu moi-même pour savoir ce que fais le mal, ce que cela laisse comme cicatrices profondes sur ton âme ?? En ai-je pas assez connu pour comprendre la portée des mots et comment cela peut détruire autant qu’un coups de poing sur la gueule ??? En ai-je pas assez vécu d’après vous pour comprendre d’où il viens ????
Je suis un gars intense. Intense, je le suis devenu parce-que c’est tout ce que la vie m’a appris. Je vis chaque jours comme étant possiblement mon dernier. Je suis intense dans ce que je vis, intense dans ce que je fais comme travail, intense dans ce que je peux dire, intense dans ce que j’écris, intense finalement dans tout actes que je pose. Je suis ce que je suis. J’ai trimé dur pour devenir un âtre à part. Et je crois que personne n’a le droit de me juger sans avoir porté mes souliers. Seul celui qui m’a donné vie a le droit de me juger et son jugement est déjà bien assez à répondre.
Si vous avez l’impression que je veux l’attacher dès maintenant à ma vie. Détrompez vous et vite, c’est ce que je vous demande de faire. Et j’explique. Je ne veux personne d’attacher à moi, s’il y a un jour quelqu’un que je choisirai et permettez-moi de vous dire que je doute maintenant suite à cette journée et j’ai le droit de m’exprimer ainsi. Je reviens à mes moutons, si je choisis un jour quelqu’un pour accompagner ma vie, que je choisis quelqu’un pour partager ce que je suis. Bien prime abord chez-moi, faut comprendre que cela implique être deux et à ce que je sache, il y a pas eu de choix de fait. Oui, j’avoue que j’ai émis des commentaires, aimerais bien qu’il me choisis moi mais s’il ne le veux pas, je ne le forcerai point. Je l’ai trouvé. Ailleurs dans un autre monde, le monde plus juste que celui-ci et dont je vous dis, tous y ont droit. Je le retrouverai alors. Il comprendras alors ce que je suis et moi je serai heureux de le revoir parmi ceux que j’ai préféré de cette vie, ceux que j’ai aimé et qui m’ont aimé sincèrement. Il y en aura d’autres qui seront tout près, mais je vous le dis et cela pas méchamment, d’autres se trouverons tout près mais n’oserons pas m’approcher par honte de ce qu’ils ont fait et même temps honteux ( honteuse )
De ne pas avoir vu ce que je suis avant.
Ils regretteront d’avoir porté un si gros jugement sur quelqu’un qui ne le mérite mais vraiment pas. Ce que j’ai appris dans ma vie, c’est que les premières impressions sont souvent fausses. Je travaille dans le milieu où les jugements tu te dois de les mettre dehors sinon cela embrouille ce qui se présente et ce dont tu te dois de venir en aide et bien souvent je vous le jure que ce que j’apprend est très loin de la perception première que je me suis fait au départ. La misère existe partout et fais faire les pires choses à certains. Une chance des fois qu’ils y a des êtres qui se charge et donne leurs vies à aider, amoindrir le mal chez l’autre. Comprenez-vous vraiment ce que je dis ???
Vous écrivez « il a besoin de liberté de s’envoler comme une colombe qui cherche LIBERTÉ pas se sentir lié et étouffé ». Ok je répond de cette façon-ci pour essayer de vous faire comprendre le plus délicatement possible. Il est un homme sensible, doux et dont présente un amour sans bornes envers tout ce qui vis. Le fait qu’il met en cage ses oiseaux en est une preuve. Moi je préférerais les mettre en liberté totale mais cela bien sur les mettrais en danger réel. Voyez-vous la différence. On ne parle que d’animaux présentement.
Si j’en fais l’analogie avec un être humain à présent. Je vous demanderais ceci; qui a la droit de mettre en cage une vie, un être ? Qui a le droit d’enchaîner quiconque que Dieu a créé ? C’est comme pour les femmes voilés, as t’on le droit de leur faire cela ? Je répond que non, personne y a droit. À l’exemple de Dieu, Dieu aima tellement Lucifer qu’il lui a permis de se promener sans chaines et ainsi faire ce qu’il doit faire comme acte de destinée. Je répond encore que quand tu touche de près quelqu’un de bien et dont tu sais qu’il ne te feras jamais aucuns mal, est-ce si mal d’essayer de lui démontré son attachement, et cela je ne le dis pas de façon péjorative.
Par contre à date noté bien que je pense pas qu’il m’a fais du mal intentionnellement. Par contre non-intentionnellement, un certain mal est vécu de façon réelle parce qu’il a choisis à date, à ce que je vois, d’éviter de me dire ce qu’il pense vraiment. Ses craintes et ses peurs basé, sans aucuns doutes dans mon esprit, sur des choses vécus réellement que par lui. Mais encore là, ce que je vois, ce que je lis, je le perçois comme étant un manque flagrant de confiance en ce que je suis. Pourtant lui ai-je fais du mal. J’avais tellement peur de le toucher ne voulant faire aucuns mal de quelques façons que ce soit. Et cela je l’affirme sans hontes et le dis littéralement.
Vous écrivez « tu es peu être super je ne peux te juger » cela en soi est bien parce que vous détenez très peu de choses pour vous baser dur ce que je suis, qui je suis. Mais votre probation se termine ici. À partir des prochains mots tout change, je vous perçois de façon agressive même voir portant jugements faciles.
Suite dans un prochain texte.
Suite 1
Ok, savez vous qu’à date je n’ai répondu qu’a deux de vos questions mais j’ai répondu aussi à 8 perceptions et 2 jugements gratuits. Et j’ose encore continuer de vous répondre par courtoisie. Allons-y pour le second quart de lettre.
Vous écrivez et vous voyez bien que je ne déforme pas la nature de vos mots, je les prend littéralement tel que vous me l’avez fais parvenir. Alors vous écrivez « … mais je ne vois pas mon jeune marin s’envoler avec toi ». C’est de votre droit de penser ainsi, même honorable à mes yeux. Mais en même temps vous ajoutez « ,,. Vous pouvez vivre de belles choses a l’aurore comme a l aube mais cette jeune colombe a besoin de sentir vivre pas exister….. » Humm, je me demande si vous voyiez dans vos propres mots la grosse contradiction de ses mots et phrases qui se trouvent côté à cote.
Vivre je sais très bien ce que cela veut dire, je ne vis que depuis très peu de temps. Avant je ne faisais que survivre dans cette vie. Préférant de loin côtoyer le monde des morts que celui des vivants. Il y a eu beaucoup de travail de fait, d’embuches divers, de difficultés diverses pour faire revenir M….. à vivre au lieu de survivre grâce à son monde des morts. Exister, je vous demande la question suivante; d’après vous est-ce que j’en comprend le sens véridique, véritable de ce mot ??? À vous de me dire votre perception sur ce sujet.
Vous écrivez comme suite, « La première fois que je t’ai vu en photo je l’ai dit il a les yeux d’un prophète me suis-je trompé je ne le sais pas » Je vous répond que vous vous êtes totalement trompé sur le fait que je sois un prophète, je ne le suis pas et j’ai jamais eu la présence d’esprit de même y penser. Y penser pour moi serais un blasphème à faire. Mais je comprend parfaitement que vous, ne me connaissez point.
On est pas rendu à la moitié de la lettre que la méchanceté que je perçois frappe de pleins fouet. En vos mots, vous dites « … mais moi tu vas dire je suis dure mais je suis directe » Vous êtes pas dure, vous faites mal, vous me faites mal, directe si seulement il était de cela, je le comprendrais.
« tu as su aller chercher le dedans de son âme sensible… aujourd’hui ce jeune oiseau est bouleversé » Milles pardons d’être moi aussi une âme plus que sensible mais pourquoi dois-je m’expliquer ainsi, dois-je avoir honte d’avoir souffert aussi ? dois-je avoir honte de comprendre ce qu’il a vécu littéralement ?? Dois-je avoir honte de ce que je suis devenu à force de recevoir des coups de touts bords, tout cotés ???
Une chose qui m’inquiète à présent, vous parlez de lui comme étant très jeune. Certes il l’est, 34 ans à ce qu’il m’a dis c’est être jeune encore. Mais le comment vous l’exprimez, on dirais, selon ma perception bien sur; qu’il est beaucoup plus jeune qu’il l’a prétendu. Cela m’inquiet au plus haut niveau. Comprenez-vous ???
Vous continuez, « …je sens que si lui s’attache à toi il ne pourra guère se détaché de toi …. » Voilà en soi une vérité et une perception en même temps et j’explique : Qu’est ce qui dis que l’inverse n’existe pas ? Qu’est ce qui vous dis que cette phrase peut me faire bien du mal ou bien du bien ?? Qu’est ce qui vous dis que cela en soi est une peur morbide chez moi ??? Savez-vous d’où je viens avant d’émettre une telle opinion fausse de ce que je suis. Savez-vous combien d’abandons, de deuils que j’ai eu à vivre dans cette courte vie à date. Quoi que vous en pensez du 46 ans, c’est jeune pour reconnaître que tu vis en sursis et je n’ai pas à expliquer ceci à quiconque que ceux qui me sont chers, que ceux qui m’aiment que celui, si un jour je choisis sauras ce que cela veut dire.
Je précise choisir et redis à en être redondant, que je dois penser à ce que cela veut dire parce-que suite à tout ceci. 24 heures de paix suivi d’un 24 heures d’enfer. Je serai plutôt enclin à me tenir loin de toutes choses à présent et un peu plus loin dans ma réponse, vous allez comprendre.
Voyez-vous à date que je vous accorde le respect de la longueur du texte que vous m’avez écris, Vous qui avez tenter tantôt de me presser comme un citron. Voir votre impatience, votre manque d’indulgence à mon endroit. Vous n’avez pas su lire convenablement et cela n’est pas mon problème mais le vôtre. À vous de comprendre maintenant combien de temps cela prend pour rédiger une réponse de la sorte et cela j’espère mais en doute en même temps, que cela pour moi est très important de communiquer, dire les vrais choses sans plus, dans sa simplicité. Pour moi toutes questions mérites réponses et il y en a encore beaucoup dans votre communiqué.
Je continu alors. « …il aura un crainte en lui … » Cela je le sais, pour l’avoir perçu, l’avoir vécu. Ne pensez vous pas que je le sais cela ? Ne savez vous pas à qui vous vous adressez à présent ?? J’ai autant peur que lui, j’ai autant de craintes que lui sinon plus et cela vous ne pouvez le savoir.
Vous me demandez dans les termes suivants : « ….ou trouvera t’il le bonheur … » Vous me demandez cela à moi. Moi. Au lieu de croire que je pourrais être bon, vous avez déjà jeté jugements par-dessus jugements sur ce que je suis, et je suis très peu de choses alors … que dois-je répondre d’après vous ????
Vous poursuivez et nous en seront rendu à la moitié de la lettre. Alors vous dites « il mérite d’être heureux en dedans de lui… » Ahh ca oui c’est une autre vérité que je vous concède mais en même temps cela cache en même temps et de façon bien subtile de votre part un autre jugement. Que moi, je ne peux le rendre heureux et même plus en ce qui me concerne je n’ai pas le droit à cela non plus.
Nous avons atteint la moitié de la lettre et je viens de répondre à deux autres questions, 9 perceptions, deux jugements gratuits et deux vérités. Faites le calcul à présent.
Suite 2
Savez-vous à présent que j’en suis à 6 heures d’écriture pour tenter de vous répondre dans un délais convenable ???
Vous écrivez, « ….pas juste l’aspect physique…….le physique ce n’est qu’une image extérieure de nous…. mais le dedans se doit d’être beau aussi… » Sur ce point, je vous demande bien humblement de vous asseoir avec votre jeune parce que je dois l’appeler ainsi, ne sachant plus au juste son vrai âge parce-que plus loin dans la lettre vous revenez sur l’aspect âge. Je vous demande de vous asseoir et de lui demander ce qui importe pour moi. L’extérieur où l’intérieur. Je crois sincèrement que vous avez-vous-mêmes répondu à cette question vous- même dans les lignes précédentes.
Si vous vous en donniez la peine, vous verriez que je suis beau en dedans moi aussi.
J’ai plutôt droit à de la perversité dans les lignes qui vont suivre : Et cela, je en suis pas prêt de vous pardonnez de ci-tôt. Parce-que vous entré et exposé au monde ce qui est intime pour moi. Ce qui est ma place de choix pour recevoir bénédictions, pardons de mes fautes et le fais que je suis peu de choses, bien peu que vous le croyez ou me dépeignez. Vous exposez de façon perverses ce qui est pour moi l’endroit ou l’on me protège. Vous exposé mon intimité et cela vous ne pouvez le nier.
Alors j’embarque dans ce qui est le plus cher pour moi et allez, allez lire et essayez de comprendre le mal que vous avez fait dans le texte que j’ai pris la peine d’écrire en page principale.
«….je suis comme toi j’adore les anges j’en ai une collection….. mais ce n’est pas pour ensorceler le monde… » Demandé et vous recevrez, où se trouve mes anges, la collection que vous appeler. Ils ne sont pas partout, se trouve juste à un endroit précis et je crois à date avoir expliqué bien plus que convenablement le pourquoi je l’ai choisis ainsi. Mais au risque du ridicule je précise : Ils sont pour moi une image de ce que je ne peux plus voir, ceux que j’aime et qui sont déjà décédé, de retour à la maison. J’ai besoin de leurs présences, j’ai besoin d’eux, j’ai besoin d’une image d’eux, pour que je leur parlent, le démontre toujours et sans cesse mon attachement profond envers eux. Ceux qui ne me font plus mal.
Ensorceler est un bien gros mot, cela présume apparence de mal en moi. Comme vous le dites si bien, un disciple du mal, de Lucifer. Viarge suis-je si mal ??? Savez vous ce que vous faites. Vous m’accotez au pied du mure et vous m’injurier. Des coups madame, ca fais mal, des mots c’est encore plus douloureux. J’aimerais mieux que vous me donniez un bon coup sur la gueule que de lire ce que j’ai eu à lire.
Tant qu’à Allah, savez-vous que vous méprisez ainsi tout un peuple, je ne suis pas musulman mais j’ai respect par contre des autres croyances différentes des miennes et quand on lis ou se fais dire des passages de torah. N’importe quel êtres censés est capable de voir qu’il y a du bien dans ce qu’il croient eux-aussi. Ce sont des fanatiques qui font que tout deviens pervers, malade et que d’autres doivent en subir les conséquences de cet intolérance gratuite.
Tant qu’à mes disciples. J’ai longuement réfléchis à cela. Oui, j’en ai. J’en ai quatre (4) en fait. Leurs prénoms sont Jacinthe, Réal, Claude et Jean. En eux je retrouve stabilité, compréhension, acceptation, respect au point d’être direct comme vous avez exprimer ce mot, mais avant cela ils ont compris eux qu’il faut être doux avec M….. C’est la seule façon de l’approcher, cet être sauvage que je suis devenu par la multitude de blessures reçu Madame. Le vrai terme si vous ne le savez pas, cela ne s’appelle pas disciples parce-que je vous jure, et je sais qu’ils vont en rire quand ils vont le lire eux-aussi, qu’il ne me donnerais pas la bénédiction sans confession et je réalise ce que j’écris parfaitement. Mais eux, ont pris la peine d’essayer de comprendre ce qu’est M….., ce que je suis et démontre de la loyauté. Est-ce que cela fais de eux des êtres de mal comme vous dites que je suis ????
« …. ne fais pas cela avec ce jeune oiseau il est cher à mon cœur ne le détruit pas ne lui fait pas croire à tant de merveilles….. » Les merveilles selon mes yeux, ce que je vois en un autre, c’est moi qui le vois. Les merveilles que je vois dans cette vie, ne sont pas t’elles venu après une vie de misère ? Les merveilles que j’ai pu raconter et je raconte dans mon site où vous, vous êtes invité, je précise. Les merveilles que je raconte et vois maintenant. Combien d’efforts soutenus et de nombres d’années ont passés pour que j’en arrive un jour à voir la beauté dans le monde actuel malgré tout ce qui s’y passe ?? Devinez et je suis certain que vous allez être très loin du compte.
« … Les merveilles de la vie sont où ….. » Voilà une bonne question. Merci pour cette question, les merveilles se trouvent dans mon prochain. Je travaille dur et d’arrache pied et à contre-courant pour tenter et c’est là ma faute si vous m’accusez de façon juste, je vous en donne la clef. À ma façon, jamais assez et je le précise ainsi. Voilà ou justement je me sens rien, petit, incapable de faire plus que ce que je peux faire pour faire en sorte que le monde de demain soit meilleur que le jour présent. Et voilà ce que je demande pardon à mes anges. Donnez-moi ma sentence maintenant !!!
Payer au suivant, c’est une philosophie de vie que j’adopte, C’est exigeant, intolérable parfois ce que je dois endurer et donner mais moi j’ai foi. J’ai foi en les hommes et femmes de ce monde, j’ai même foi en vous.
Ceci termine le 3ième quart de la lettre, j’en suis maintenant à plus de huit heures d’écritures pour démontrer le respect que je donne à ceux qui entre en contact avec moi. Que ce soit positif ou négatif. Je répond mais il faut me donner le temps. Pas facile quand il y a tant à répondre.
Je viens de répondre maintenant à 3 valeurs, une affirmation de votre part, 3 perversités de grandes ampleurs, et 4 perceptions et une question.
Suite et fin,
Vous écrivez et je cite, « …. c’est nous qui devons foncé dans la vie et construire notre destin on a un chemin de tracé…. » Oui en parti, un grande vérité mais dans une autre une différence de croyance mais pas plus grave que cela. J’accepte les différences d’opinions. Par contre le jugement qui s’y cache est le suivant. Croyez-vous vraiment que je ne fonce pas ? Que j’avance pas ??
Que je cherche pas à construire mon chemin de vie ??? Que ne cherche pas à être selon ce qui est ma destinée ???? Que je ne cherche pas approbation de façon continuelle de la part de ceux qui m’approche et de mes anges de me confirmer si je suis dans le chemin ou dans le champs. Je désire avant tout être dans le droit chemin et vous n’avez pas le droit de porter jugement sans savoir ce que je fais, ce que je vis, ce que je change, ce que je peux faire mal mais attention non-intentionnellement. Faut le préciser ainsi.
Il y a une choses entre autres que j’aime de vous et de Marie. Vous avez oser écrire parce-que dans la vie ce que tu dis , bien souvent des mots disparaissent de ta mémoire mais par contre les écrits restent et demeurent. Cela me donne la chance de répondre en détails.
On entre dans le dernier quart du sprint. Là on joue dur, C’est là que tes efforts feront que tu te rend ou tu perd ton arrivé à la fin de course. Vous écrivez, «… ce jeune individu a besoin de se retrouvé pas de se faire dirigé … ». Bien bravo, comment avez-vous, comment êtes-vous arrivé à cette conclusion ?
Moi ce qui j’y vois me rend perplexe un peu. J’y vois du bien. Je me plais à croire que vous êtes une bonne mère. Et en bonne mère vous défendez votre petit. C’est louable et bien. Ce qui m’attriste par contre c’est que vous ne voyez pas dans les mots ce que vous m’accusez depuis tantôt être. L’oiseau que vous percevez moi mettre en cage, n’est ce pas ce que vous êtes entrain de faire. Le protégez de tout votre corps, de tout votre être comme des barreaux de cages. N’êtes vous pas par vos propres mots être le fer qui construit la cage ?? Être une amie, une bonne selon ma vision des choses, on est là certes, pour protégé mais conseillé, pas brimer. Être ami c’est savoir dire les choses, expliquer les choses, être patiente et au besoin recommencer. Expliquer à nouveau, donner des conseils, être vigilant, s’inquiéter, aimer mais tout cela en restant bien ouverte à ce qui peut se présenter pour lui. Vous êtes une amie, peut-être bonne pour lui mais définitivement pas pour moi. Ce que vous projeté face à moi ou envers moi est du mépris.
« …je le connais trop pour le laisser foncé comme ca sans lendemain ce jeune individu veut être autonome dans sa vie….. » Que de jugement et de mépris envers moi, vous dites sans lendemain, Qu’est-ce qui vous faire cela, grand Dieu ? vous dites qu’il veut être autonome, pas moi qui l’a écris mais vous, alors réfléchissez. Vous m’avez exprimé que vous êtes directe, bien moi je vous répond de façon cinglante comme vous l’exprimé en mots. Ca fais mal ce genre de jugement encore gratuit de votre part. Car la vérité réside dans le fais que je suis moi, que je ne suis pas les autres qui lui ont fais du mal. Êtes-vous capable d’en saisir la différence ??? Êtes-vous capable de voir ou vous, vous trompez sur mon sujet ??? Moi je suis moi, pas les autres, juste moi et unique en plus de cela. Alors fini et je n’accepte pas les allusions aux autres. Moi je suis moi, responsable de ce que je fais moi mais si vous choisissez de me faire portée le blâme collectif, bien cela est votre droit. Car en collectivité, je dois m’incliner et vous donner raison. Collectivement les hommes sont mal, ont mal et font mal. Je suis un homme donc responsable collectivement.
Bien que le fait que je fais tout pour rendre la vie de demain meilleur, cela importe peu dans la balance. Hein
«… tu as un tel pouvoir … » mais quel pouvoir. C’est du sarcasme que je fais à présent. C’est tout un pouvoir que j’ai, que je possède d’essayer d’aimer plus que soi-même son voisin, son prochain, l’humain. C’est tout un pouvoir que j’ai, que d’essayer de réparer ce qui vas mal dans cette vie. C’est tout un pouvoir que j’ai d’être réaliste et de voir que je suis incapable encore, de changer le monde. Le travail au préalable madame, je l’ai fais et je remet au centuple ce que j’ai reçu de façon très et tout à fait gratuit dans la vie. C’est cela être un homme d’honneur, de persévérance et d’actions.
Je remet plus que le trois fois usuel selon ma croyance. Je remet sept fois soixante dix-sept fois (7x77) ce que j’ai reçu, à la façon qu’il m’a été enseigné.
Comme on m’a enseigner aussi, quand on t’injurie à la droite de ton visage, présente la gauche après au même injurieux. Et c’est ce que je répond a vos mots tels que : « … combien de jeunes louveteaux essais tu d’approcher…. »
Vous écrivez par la suite « ….mon jeune protéger …. laisse le agir….seul…. » Ouin, qui possède qui dans ce cas. Lisez et réfléchissez, ce sont vos mots.
On arrive vers la fin, je me remercie mes anges de me supporter dans cet effort phénoménale et dont j’oublierai jamais le mal exprimé. « …détruit pas sa vie intérieure…car là tu le brises en dedans de lui…s.v.p.cherche une autre brebis égaré … » Ok, voici ce que j’ai à dire. La non sainte trinité, que vous me présentez, je le veux loin de moi. Comprenez-vous. Le mal que vous faites subir les trois, car il en fait partie de cette trinité. Le mal que vous me faites subir à vous de prendre du temps de bien lire les choses et disparaître de mon chemin. Avez-vous compris ???
En conclusion, vous écrivez; « ….on l’aime tel qui est…. » tout à fait vous l’aimez mais tellement de façon possessive que j’ai pas le droit d’y être. Car figurez la réponse qui suis, je l’aime tel qu’il est.
Un jour dans l’autre monde vous comprendrez tout le mal que vous venez de m’accorder, vous ne voudrez point m’approcher mais je vous prédis ceci, moi je vous aime car moi je vous pardonnerez, qui que vous soyez.
J’ai perdu le compte des absurdités, des abus et de la non-tolérance. Je m’en fout à présent. Ce qui importe est ce que j’ai tenté de vous démontrez l’immensité de votre erreur, mais je suis curieux tout de même de savoir son âge.
fucké en christ ... un commentaire et un retour de 3 pages ... WOW
Tu l'as pris où ces paroles ... si on lis les autres pages on voit bien que ca viens pas de toi!
Pensez ce que vous voulez, de toute façon vous m'avez déjà accuser et jugez coupable alors .....
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