IL est lui, l'Homme.

Son mal de vivre est le mien, et mon mal de vivre est le sien. Nos âmes se touchent, délicatement, tendrement avec respects et voluptés. Nos yeux dansent, suivent le rythme, parcourent nos parcours, on ressens ce qui fais mal chez l’autre, aucuns mots ne peut exprimer tout à fait ce qui se vis. Les regards s’entremêlent, cherche plus profondément chez l’autre qui il est, d’où il viens et où il iras avec tout cela, dans le temps. On comprend sans mots, qui est l’autre et avec des promesses sincères, attentives, honnêtes, on se promet aucuns mal à vivre entre nous. L’un voulant protégé l’autre et l’autre voulant à son tour assurer protection envers qui le regard se pose.
Des larmes apparaissent et disparaissent, on fais le parcours du temps de vie de chacun, comme un roman dont on ne se lasse de lire où un film qui dont la trame passe très finement, sans vitesses, très lentement mais dont on ne se lasse de regarder pour vouloir en connaître inlassablement la suite. La pluie dans les yeux confirment et affirment ce que nos deux regards projettent. Toute une vie se lit entre ses quatre yeux.
Nos âmes demandent, exigent et souhaitent réparations, renouveau, espoirs de croire. De cette vie où l’on y vois méfiance et peurs, on se laisse guider par ce regard absolument merveilleux. L’espace-temps confirme que « rien n’arrive pour rien ». La logique, les conventions, le sens innée en nous de protection laisse tomber ses gardes, ses barrières et on se donne entièrement, coule et se laisse glisser, entrer dans les yeux de l’autre.
Nos âmes exigent et veulent se toucher, on tremblent et ressens la force vitale de l’autre, ses ondes, fragments de parcours se laisse glisser dans le métaphysique, on sais très bien que quelque chose de grand se passe. L’aura, je suis capable de toucher son aura. C’est tout un cadeau que m’offre la vie, que m’offre Mon Père, que m’offres mes anges et les siens, les siens sont autant et aussi présent, important à ce moment dans le temps. On n’est plus en connexion avec les heures et les minutes du temps temporel, on est dans une sphère du temps tout à fait à part, le sien et le mien. Notre temps à nous et dont on sais que personne d’autres ne vivras ce moment.
À mes yeux, il est magnifiquement beau et à ce que j’y vois, je me sens beau. Aucuns complexes, réticences quelconques, aucuns préjugés ne me croisent l’esprit, c’est totalement épatant. Lui, je vais et je veux l’aimer. Il y a une de ces tendresses dont les mots me manquent, dont je ne sais comment décrire car cela seulement se vis, ne peut être dis ou écris. Seulement se vivre. De l’affection il en détient pleinement et de partout dans ses yeux, ses actes, sa gestuelle des mains. Il est tellement, tellement grand et beau à mes yeux.
Il est lui, il est l’Homme et je sais pertinemment bien ce que cela veut dire et implique. « Je l’aime ». Il est Lui, tout Lui et simplement Lui. Il est l’Homme. Il est Marin, en lui je remet les rivages de l’aube de mes journées et nuits. S'il le choisit.
0 Comments:
Publier un commentaire
<< Home