Leçon tirer d'un profil
Avec sa permission, je travaille à partir d’un texte qui est venu me toucher de près suite à diverses situations vécus. On a tous un vécu, certain plus simple que d’autre et d’autre dont le parcours fût un peu plus nébuleux, plus ardue et dont les marques laisse au passage certaines cicatrices profondes sur nôtre âme. Mais quoi qu’il en soit, rien n’arrive pour rien, on apprend à partir de tout et tous.
« ….. je n’ai aucunes tolérance pour la boisson, les drogues, la concupiscence, les mesquineries et le snobisme. À part de ça, je rêve d’un monde meilleur tout en continuant à le saccager parfois, un peu comme tout le monde. Je m’entend mieux avec des gars aux revenus modestes et qui sont casaniers. Je crois être devenu marginal, mais j’ai trouvé mon équilibre, je serai tjrs un rêveur, c’est ce qu’un être cher m’a dit en s’éteignant le sourire dans les yeux. » texte-profil de silverdaddies.
Je lui ai demandé la permission d’utiliser une partie de son texte mais j’ai quasiment tout pris pour expliquer ce qu'est et fais, en fait la philosophie derrière « Payer au suivant ».
Pour moi, la boisson et les drogues sont des moyens utilisés pour échapper à un mal être intérieur, l’âme souffre. Souffre de quoi au juste ??? Seulement les personnes vivant de cette condition pourraient répondre plus adéquatement que moi sur cette question. Mais d’après moi, toute personne censée sont en mesure de comprendre le mal qui se vis à l’intérieur d’un être sans à avoir à accepter la condition pour autant. Ceci n’est pas un blâme envers l’être ou l’individu mais une affirmation des fois que nous sommes incapable, et des fois avec raisons, de venir en aide efficacement, apporté un apport évolutif envers une personne qui souffre. Pourtant le film en question a comme source de départ, de réception d’aide sans conditions, une personne vivant avec une telle condition.
La concupiscence ou le penchant à jouir des biens terrestres voir même le désir maladif de vivre des plaisirs charnels, sensuels bien éphémères. La mesquinerie ou méchanceté par manque de grandeur, manque de générosité, des actes d’extrêmes petitesses voir médiocres. Le snobisme qui voue une admiration pour tout ce qui est en vogue dans des milieux tenus pour distingués. Sont d’autres exemples, pris du même texte et qui démontre un manque, une faiblesse, une blessure, une non-acceptation, un mal être de certaines âmes encore.
À bien y penser, plusieurs âmes ou êtres souffrent dans cette vie, et je ne suis pas différent des autres.
Appeler moi rêveur moi aussi, idéaliste et jeter moi la pierre quand vous trouvez que je suis complètement disjoncter, hors du commun ou complètement irréel dans ce que je pense où fait de ma vie. Le problème résidera tout de même dans le fait que j’y crois en ce monde meilleur, que je crois sincèrement que je fais de mon mieux pour changer ce monde. Et qu’à certaines occasions, moi aussi est coupable de saccager le monde. Bien que non-intentionnellement quand cela arrive, le fait réside qu’à la base il y a de la bonne volonté et c’est tout ce qui compte pour moi, agir de mon mieux et que si au passage je fais mal, bien cela confirme que je suis bel et bien humain et faillible aussi. Je me pardonne donc pour cela et en même temps heureux de me savoir faisant partie prenante du monde humain.
J’ai déjà été riche, puissant et on disait alors que John réussis bien sa vie. Quoiqu’il en soit, reflétant le parcours, le chemin de ma vie, le regard que j'accorde à cette période de vie quand je daigne vouloir réfléchir, il y a des choses où moi, je suis honteux de certains actes posés mais que j’ai appris avec le temps à me pardonner et comprendre le fond du mal qui résidais en moi. Le pire juge dans la vie est soi. On se juge beaucoup plus durement que les autres.
Vivre de façon modeste, c’est ce que je fais, c’est ce que je suis et c’est où je trouve ma valeur, mon moi, mon équilibre. En bas de tout, en bas de tout échelle, on y trouve la vérité cru et nu. On y trouve vraiment les valeurs profondes, celles qui comptent vraiment. On vois plus clairement la détresse, le mal des autres quand avant je m’en foutais éperdument. On ne peux plus se nier, nier les autres et on en arrive à se dire, il y a plus de sens dans ce que je vois. Et ainsi en arrive un jour, à évoluer, grandir, devenir fort et confronter le visage du mal. Tu change pour changer le monde. Il est de beaucoup mieux tenter de faire quelque chose que de demeurer inerte. L’inertie est un fléau selon ma perception des choses dans et de cette vie.
Être marginal n’est pas un tare mais une bénédiction pour moi.
Et si jamais vous avez la chance, le privilège ultime d’aimer assez pour accompagner un mourant et y voir la sincérité, l’éclair dans les yeux, l’approbation aussi de ce que tu est, le sourire comme le texte original dis. Cela ne peut que changer le cours de ta vie. Et si jamais tu as le droit, l’intimité ultime d’enlever le dernier souffle de vie d’un être cher et aimer. Tu en viens à vivre non plus seul car ce souffle t’envahis et fais partie de toi, de tout ton être jusqu’à la fin de ton temps. Il y a toute une leçon de vie réelle dont tu ne peux nier l’existence.
Alors, merci à Silver de m’avoir permis d’utiliser son texte pour mon inspiration et y ajouter mes propos. xox
« ….. je n’ai aucunes tolérance pour la boisson, les drogues, la concupiscence, les mesquineries et le snobisme. À part de ça, je rêve d’un monde meilleur tout en continuant à le saccager parfois, un peu comme tout le monde. Je m’entend mieux avec des gars aux revenus modestes et qui sont casaniers. Je crois être devenu marginal, mais j’ai trouvé mon équilibre, je serai tjrs un rêveur, c’est ce qu’un être cher m’a dit en s’éteignant le sourire dans les yeux. » texte-profil de silverdaddies.
Je lui ai demandé la permission d’utiliser une partie de son texte mais j’ai quasiment tout pris pour expliquer ce qu'est et fais, en fait la philosophie derrière « Payer au suivant ».
Pour moi, la boisson et les drogues sont des moyens utilisés pour échapper à un mal être intérieur, l’âme souffre. Souffre de quoi au juste ??? Seulement les personnes vivant de cette condition pourraient répondre plus adéquatement que moi sur cette question. Mais d’après moi, toute personne censée sont en mesure de comprendre le mal qui se vis à l’intérieur d’un être sans à avoir à accepter la condition pour autant. Ceci n’est pas un blâme envers l’être ou l’individu mais une affirmation des fois que nous sommes incapable, et des fois avec raisons, de venir en aide efficacement, apporté un apport évolutif envers une personne qui souffre. Pourtant le film en question a comme source de départ, de réception d’aide sans conditions, une personne vivant avec une telle condition.
La concupiscence ou le penchant à jouir des biens terrestres voir même le désir maladif de vivre des plaisirs charnels, sensuels bien éphémères. La mesquinerie ou méchanceté par manque de grandeur, manque de générosité, des actes d’extrêmes petitesses voir médiocres. Le snobisme qui voue une admiration pour tout ce qui est en vogue dans des milieux tenus pour distingués. Sont d’autres exemples, pris du même texte et qui démontre un manque, une faiblesse, une blessure, une non-acceptation, un mal être de certaines âmes encore.
À bien y penser, plusieurs âmes ou êtres souffrent dans cette vie, et je ne suis pas différent des autres.
Appeler moi rêveur moi aussi, idéaliste et jeter moi la pierre quand vous trouvez que je suis complètement disjoncter, hors du commun ou complètement irréel dans ce que je pense où fait de ma vie. Le problème résidera tout de même dans le fait que j’y crois en ce monde meilleur, que je crois sincèrement que je fais de mon mieux pour changer ce monde. Et qu’à certaines occasions, moi aussi est coupable de saccager le monde. Bien que non-intentionnellement quand cela arrive, le fait réside qu’à la base il y a de la bonne volonté et c’est tout ce qui compte pour moi, agir de mon mieux et que si au passage je fais mal, bien cela confirme que je suis bel et bien humain et faillible aussi. Je me pardonne donc pour cela et en même temps heureux de me savoir faisant partie prenante du monde humain.
J’ai déjà été riche, puissant et on disait alors que John réussis bien sa vie. Quoiqu’il en soit, reflétant le parcours, le chemin de ma vie, le regard que j'accorde à cette période de vie quand je daigne vouloir réfléchir, il y a des choses où moi, je suis honteux de certains actes posés mais que j’ai appris avec le temps à me pardonner et comprendre le fond du mal qui résidais en moi. Le pire juge dans la vie est soi. On se juge beaucoup plus durement que les autres.
Vivre de façon modeste, c’est ce que je fais, c’est ce que je suis et c’est où je trouve ma valeur, mon moi, mon équilibre. En bas de tout, en bas de tout échelle, on y trouve la vérité cru et nu. On y trouve vraiment les valeurs profondes, celles qui comptent vraiment. On vois plus clairement la détresse, le mal des autres quand avant je m’en foutais éperdument. On ne peux plus se nier, nier les autres et on en arrive à se dire, il y a plus de sens dans ce que je vois. Et ainsi en arrive un jour, à évoluer, grandir, devenir fort et confronter le visage du mal. Tu change pour changer le monde. Il est de beaucoup mieux tenter de faire quelque chose que de demeurer inerte. L’inertie est un fléau selon ma perception des choses dans et de cette vie.
Être marginal n’est pas un tare mais une bénédiction pour moi.
Et si jamais vous avez la chance, le privilège ultime d’aimer assez pour accompagner un mourant et y voir la sincérité, l’éclair dans les yeux, l’approbation aussi de ce que tu est, le sourire comme le texte original dis. Cela ne peut que changer le cours de ta vie. Et si jamais tu as le droit, l’intimité ultime d’enlever le dernier souffle de vie d’un être cher et aimer. Tu en viens à vivre non plus seul car ce souffle t’envahis et fais partie de toi, de tout ton être jusqu’à la fin de ton temps. Il y a toute une leçon de vie réelle dont tu ne peux nier l’existence.
Alors, merci à Silver de m’avoir permis d’utiliser son texte pour mon inspiration et y ajouter mes propos. xox
3 Comments:
Selon moi, tu signes ici ton plus beau texte John. Que de vérités inspirées par un profil. J'ai eu le privilège d'accompagner un mourant et cela a changé ma vie. Félicitations John.
Merci C2, oui tu vois à ton tour ce qu'un profil et dont l'immensité de la permission accordé m'a inspiré comme détails supplémentaires. À chacun sa perception, sa vision des choses. Je suis ce que je suis, avec le vécu et la maturité acquise avec l'expérience de ce vécu plus que particulier. Que l'on me lance la pierre des fois, cela ne me touche presque point à part quand le tout se fait méchamment sans savoir et avoir porté les souliers que je chausse. Il y a beaucoup de choses que l'on enferme en soi et qui peuvent bien des fois si l'on se donne la peine de questionner et vouloir vraiment comprendre qui est l'autre. Des âmes au grand coeur et vivant ou enfermant en elles des choses plus que partilucières, il y en a beaucoup de ces êtres. J'ai juste mis ma touche à moi à partir d'un texte court mais de comment essentiel à avoir été exprimé ainsi. En lui, en autre, je comprend et le comprend. Tant mieux si à ton tour, cela te fais par un certain lien entré dans le même monde interne et intense. Celui que l'on enferme en soi et partage que très peu souvent.
Je dois dire que je suis épaté par ce texte (long comme d'habitude, mais très inspiré). Avec le temps j'espère que tu deviendras sage (rire) .. ;-P héhé!! xxxx
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