mercredi, mars 29, 2006

Que dois-je faire pour que tu m'aime ?

Je peux te tenir tout près de moi, en sécurité et au chaud contre la noirceur et le froid mais je ne peux tenir aucunes promesses. Je ferai en sorte de te démontré plus que des mots peuvent dire. Je pourrai rejoindre la lune et les étoiles et te les ramener peut importe ou tu te trouveras. Je pourrais tomber à genoux, je pourrais prier que tu m’appartiens mon ange.

Alors qu’est ce que je dois faire pour tu en viens à m’aimer, de la façon que moi je t’aime. Qu’est ce que je dois faire pour te faire sentir, de la façon que moi je te sens. Je te donnerais le monde si seulement tu pouvais être mon homme, sois mon homme. Alors dis-moi, que dois-je faire pour tu m’aime.

Je pourrais embrasser toutes tes larmes jusqu’à leurs disparition complète et faire apparaître le soleil dans une journée ou le ciel est voilé par les nuages. Je pourrais te donner les choses dont tu as besoin si seulement tu pouvais croire en moi.

Mais, je ne peux vivre, je ne peux continuer de vivre ainsi. Aimer que pour démontré les souffrances de mon cœur. Alors pourquoi, pourquoi ne vois tu rien? Pourquoi ne me vois tu pas ? Mon ange, je ferais n’importe quoi pour que tu en arrive à m’aimer.

dimanche, mars 26, 2006

Pourquoi alors voudrais-je de lui ?

Quand je me rappelle de ses mots d'adieu, mon esprit accepte son destin sinon je n'aurais qu'à me transporté loin d'ici, loin de tout cela. J'ai cru entendre dans la voix d'un petit oiseau frêle "l'homme n'a pas de choix quand il veut tout avoir ".

Je me porterai au dessus de la marée de couleur écarlate qui coule goûte à goûte à travers les montagnes et sépares les veufs d'entre des mariés.
L'homme vas au dessus de ses décisions, se fait prendre dans une boîte à ordures, un mecanisme comme un escrot sais ouvrir les serrures, comme un briseur sait tout briser sur son passage. Le noir de la nuit disparais lentement au lueurs de la levée du jour.
Pourquoi alors voudrais-je de lui juste pour le perdre à nouveau.

samedi, mars 25, 2006

Lettre à Garry, suite et fin.

Quand je pense à Ray, il m'apparait sous l'apparence d'un corbeau, tout noir et gluant. C'est ainsi que je le vois. J'aimerais en être délivré.

J'ai appris à croire que mes souffrances ont servis et servent à quelque chose. Qui sais ? C'est peut être pour te dire un jour, je suis revenu. À te revenir plus beau, plus grand, plus majestueux qu'avant, plus que jamais. Qui sais ? Tout ce que je sais avec assurances, c'est que je l'espère vraiment mon grand Amour.

Mon coeur ne cicatreriseras jamais, il y a eu trop de sang, trop de peines, trop de larmes. Tout ce que l'on a perdu ne nous reviendras jamais. Tout ce qu'il me reste à faire, je l'espère, c'est d'en arriver à faire la paix avec le passé et de continuer à en tirer de grandes leçons. Aide-moi, aide moi encore un peu, un tout petit peu.

Babe, il y a des jours où j'arrive à ne pas penser à toi. Si je ne pense pas à toi c'est que je me donne tellement, que je m'investis tellement qu'à mon retour tout ce que je veux savoir et voir est mon lit. Et que dès mon réveil, le lendemain matin et quelques fois; qu'à quelques heures plus tard, je recommence le rhytme infernal que je m'impose pour en arriver à oublier. Oublier quoi au juste, je veux oublier tout. C'est très simple, un seul mot, tout.
Je m'investis tellement dans le besoin des autres, que j'en arrive à m'oublier. Surtout quand le besoin des autres devient plus urgent que ceux de mon coeur. À l'approche de la saison nouvelle qui se présente, la vie recommence à déborder tellement de partout. Et je t'y retrouve dans tout ses aspects. Comme si tu trouvais une façon de revenir à ma rencontre. C'est ainsi, aussi, que je sais que tes pas, ici bas sur terre, avec moi, avec nous, n'ont pas été fait en vain. C'est comme cela aussi que je sais que tu m'aide, pas à pas, à grimper le long chemin de ma montagne.
Alors ce que je te demande Garry, c'est qu'après tant de nuages, et tant d'autres à venir, fais venir vers moi le soleil, mais le soleil durable. Celui qui repoussera, loin de moi, et pour un bon bout de temps, tout les nuages de mon ciel jusqu'à mon retour définitif à la maison.
With love and faith, your love, your «Mike» XXX

vendredi, mars 24, 2006

Lettre à Garry, suite 3.

Dans mon imaginaire, je te vois venir vers moi. À la première vue je ne te reconnais pas. Mais dès que tu me tourne le dos, je te reconnais. Pendant ce temps; tout ce temps, j'ai appris à barder de glace mon coeur. Comment le faire fondre à nouveau ? Dis-moi, dis le moi. Je pris que tu pense à moi souvent, même juste un peu serais suffisant. Tu est ce qui m'a empêché, tellement de fois, de sombrer dans le désespoir. Que j'en viens à me demander, bien souvent, comment se peut-il que tu sois si présent en moi ? Encore et encore. 27 mois à te connaître contre 84 mois d'absence bientôt.
Que tout ces moments vécus, de très nombreux moments, sont encore pour moi comme des diamants que je préserve précieusement dans une pochette. Que ces moments soit réels où pas présentement, ce n'est pas ce qui importe. Ce qui importe, c'est que je me rappelle encore la ligne de ton cou. Cela mon doux et bel ange, est très réel pour moi. Une autre chose de tout à fait aussi réel est de me rappeler ce que ressentais ton corps la toute première fois, sous l'emprise de mes mains, quand je t'ai attiré vers moi. Je me rappelle encore de tellement, tellement de moments. Mon coeur pleure "babe".
Et ton dernier baiser, le baiser, ce baiser qui dans mon esprit je revis jours après jours. Que j'ai vécu tout au long de mon parcours depuis ce fameux 3 Avril et que Dieu sait de combien je redoute la venue de cette date à nouveau et que depuis un jour après l'autre, je t'ai attendu, rêver de revoir ton doux et beau visage. Sachant pertinemment bien que cela ne pouvais se faire mais que je voulais dont braver, même à aller te rejoindre souvent entre nos deux mondes, dans cette dimension où nos deux âmes s'entremêlait à nouveau. On y est parvenu de nombreuse fois mais toujours avec moi me sentant plus perdant d'une fois à l'autre au retour dans ce monde.
Beauty, tu sais ce que je suis et peux voir au dedans de moi, à l'intérieur de moi. Pour les autres , qu'ils l'appellent comme ils le veulent, l'âme ou l'esprit. Sous cette facade que je présente, j'ai peur de ce que je vois, j'ai l'impression de devenir avec le temps une vrai loque. Tu le sais combien de fois, j'ai tenter de m'envoyer directement chez mon Père, chez le bon Dieu. Cela n'a jamais été mon heure. Alors j'ai abandonné. Des fois, des fois j'en arrive même à douter de l'existence de bonté en moi quand je pense a ce jour, ce fameux jour où Ray, s'il y en a eu, l'a assasiné et a assasiner mon existence dans le même parcour. Je doute de ma bonté, tellement que la rage viens m'habiter quand je pense à lui. Encore aujourd'hui, je suis incapable de lui pardonner véritablement. Alors dis-moi, comment après avoir vu ce que j'ai vu, vécu ce que j'ai vécu; dis-moi comment ton amoureux transi peut en arriver à s'ouvrir à nouveau, totalement et sans pudeur, sans chercher à assasiner ce qui se présente de bien devant lui d'une façon ou d'une autre??? Dis le moi.
Tu te rappelle, je te disais de ne jamais me dire bonne nuit. Que je ne voulais jamais entendre cela de toi. Que pour moi c'était plus beau, plus noble, plus vrai de dire où entendre " Je t'aime " ou " Merci " pour la journée que l'on a vécu et merci pour la nuit que l'on s'apprêtais à vivre. Un contre un, un à coté de l'un, un avec un partageant la même couche, le même lit pour reposer nos deux corps fatigués mais heureux d'être ensemble à l'unisson voilée par la même pénombre mais dont on pouvais très bien discerné la lumière de nos deux présences, un à côté de l'autre mais de combien ensemble. Mais ces temps, ces nuits me semble tellement devenir loin à présent.
Je me rappelle de ta pudeur, de la mienne aussi, en vrais de vrais anglos. Mais combien de fois encore, je vois dans ma tête, la beauté de chacuns de tes gestes doux quand tu te dévêtissais, un à un, doucement mais très doucement de chacunes de tes pièces de vêtements. Je me rappelle encore de la passion qui m'envahissait, la flamme qui me prenait au ventre, au centre. Tout à fait au centre de moi. Mais ces sentiments, ces impressions me semble si lointaine à présent. Quand je me rappelle, on dirais que tout cela se présente comme un parfait scénario de film, comme si tout cela n'est plus tangible à présent.

jeudi, mars 23, 2006

Lettre à Garry, suite 2.

Mais je te dois une fière chandelle. Avec toi, grâce à toi, j'ai connu ce que c'est la puissance, la magnificence du mot Amour, avec le grand A. Il y en aura pas un autre comme toi.
Mon amour pour toi est entrain de devenir, à cause du facteur temps, comme le feuillage dans le bois à l'automne. Il change avec le temps comme l'hiver change les arbres. Mais je rêve d'un amour qui ressemble au roc éternel qui se trouve sous mes pieds, sous la terre. Un qui offre moins où peu de délices mais que je sens essentiel de plus en plus à chaque jours qui passes. Un qui est à tout instant présent à mes côtés et pret à occuper mon esprit.
Mon amour décédé, je me sens seul, toujours seul. Je me contente de peu mon ange et tu le sais, mais si cela étais possible, j'aimerais, j'aimerais tant à nouveau connaître un semblant de passion. Vivre d'avoir à mes côtés, une âme étendu auprès de moi. Sans avoir besoin d'aller plus loin. Le temps, juste le temps qu'il faut pour me reposer, reposer mon âme blesser et en venir un jour à dire; j'aime, j'aime à nouveau quelqu'un et de beaucoup. Que je suis enfin parvenu à traverser le fleuve du Jourdain.
Aujourd'hui, je me trouvais à St-Eustache, il a neigé à nouveau, très peu mais assez pour me faire surprendre une fois de plus, à me faire caresser la joue par ces petites froideurs, comme si elles venaient de toi. Mon amour, où est-tu ? Sans le moindre espoir de te rejoindre, je t'écris. Je t'écris à nouveau, comme je l'ai fais plusieurs fois dans mon coeur, des milliers de fois déjà. Et comme je le fais toujours, moindrement que ma pensée me ramène vers toi.
Tu est mort et partis. Je m'en vais sur le chemin où tu ne peux me suivre, où tu n'a pas le droit de me suivre. Tel un oiseau, un pauvre et unique oiseau, je veux prendre à nouveau mon envol. Même si je porte encore dans mon coeur des traces de terreur de rencontrer sur mon chemin, sang et larmes à nouveau. Le sang de quelqu'un d'autre une fois de plus sur mes plumes. On dis souvent que même s'il y a des nuages sur nos têtes, le soleil se pointeras toujours à l'horizon. Mais ce que j'en vois est conneries. Même avec un soleil des plus apparant; un des plus radieux, il pleut des cordes mon ange. Il pleut et il pleut beaucoup. Faut que cesse les larmes, faut que cesse mes larmes.

mercredi, mars 22, 2006

Lettre à Garry, suite.

Ce que je crois, moi, c'est que c'est la beauté des lieux qui guéris. Mais j'arrive pas à guérir. Dieu doit en être à bout de m'entendre réciter les arguments de mon côté à ton sujet. Au delà des convenances, on sait aimer et je ne peux l'oublier.
Babe, j'ai longtemps dis que je t'attendrais, que j'attendrai. Pardonne-moi, j'ai besoin d'être aimer. Dans ma mémoire, je m'efforces à compter le nombre de mots que nous avons échangés ensemble. 27 mois d'échanges. Je pense encore à toi. Je t'aurais suivis n'importe où et tu le sais très bien. Maintes fois, j'ai essayé de tricher le temps et de te rejoindre là où tu est.
Des fois, les mots résonnent dans ma tête et je sais d'où elles proviennent. Et elles viennent de très loin et elles y font le chemin. Depuis ta disparition, ton départ, le temps se mesure en chapitres. Plutôt cruels, de vrais tragédies. Avec l'appréhension quotidienne d'apprendre, encore et encore, que quelqu'un d'autre, un autre est tombé. Dans cette affreuse guerre qui se vis sur le champ de bâtaille de la vie, elle est doublement perdu, d'après moi, pour ceux qui y restent. J'attend encore, comme je t'ai promis de le faire. Mais je me sens au bout de mes ressources, gêner de recevoir de ceux qui en ont le moin à donner. La seule chose qui me donne encore le courage de continuer est de croire encore en toi et de me persuader, sans cesse, que je te reverrai un jour.
Mais mon ange, je me présente devant toi, en ce moment précis, à te demander le plus honnêtement possible de comprendre. Je suis fatigué de me battre seul. Je rend les armes, je dépose mes armes. J'arrête de marcher au front. Laisse-moi, laisse-moi partir. Je te le demande. Je suis fatigué de rêver à ton retour, de le croire si fermement et à en pleurer, comme un pauvre fou, à mon réveil le matin, tout les matins. À me résigner, de nouveau, que je ne te reverrai plus dans cette vie. À part de voir ton fantôme, de temps à autres, à ma gauche où à ma droite. C'est plus une vie cela, c'est de la souffrance, de la vrai souffrance.
Si tu m'aimes vraiment, laisse moi partir. Abandonne momentannément l'emprise que tu exerce encore sur moi. Tel un oiseau en cage, ouvre moi la porte. Laisse moi me percher auprès d'un autre et sûrement mon ange, avec assurances, je te reviendrai.

Lettre à Garry

Cher ange, j'ai commencé par compter les jours, les jours devinrent des semaines, les semaines devinrent des mois et les mois devinrent des années. Je ne compe plus sur rien sauf sur mon espoir de te revoir et te revenir un jour. Je suis, cependant, habité d'une grande crainte. Que cette séparation, cette terrible et longue séparation. Nous aient, au cours de ces longues années, loin de l'un et de l'autre; changé au delà de tout ce qui peut être imaginer.

Je songe, au trop bref moment que nous avons partager ensemble. Et j'aimerais, aujourd'hui, réparer l'effet de mes gaucheries, qui sont dans ma nature, de ma nature, et te dire ce que je n'ai pas oser te dire depuis quelques années.

Bien sur que j'aimerais t'entendre me dire à nouveau "Je me battrai pour toi". Que tu en aurais pas assez d'une vie pour me connaître. Que les mots ne sortent pas de ta bouche comme tu le voudrais. Qu'il en serait assez, s'il pouvait être suffisant d'être là, sans avoir aucuns mots à dire. Que tu ne sais pas me décrire, voir le ciel là haut et m'en dire la couleur. Comment décrire où dire le vol d'un oiseau ? Où même comment dire, quand on se réveille le matin, que l'on a penser tellement fort à quelqu'un, que l'on en a les côtes meurtris. Comment dire cela ??

Je me rappelle avoir déjà parler avec toi, discuter avec toi. Et si tu mourrais, que je ne te reverrais plus jamais, qu'arriverais-t'il ? Tu m'a alors répondu, après quelques années, on oublis, tout simplement. Garry, il y a près de 7 ans à présent et je n'ai pas encore oublier, ces mots doux qui résonnent encore comme une symphonie dans mes oreilles. Garry-Henry Garman the 3 rd. Tu m'a déjà dis que ça portais chance un oiseau pris entre 4 murs. Désolé mon ange, ce n'est pas ce que j'ai connu étant jeune et ce n'est pas ce que j'ai connu avec toi.

dimanche, mars 19, 2006

C'est la même vieille chose, It's the same old thing.

Quand j’ai trouvé ce texte suite a la lecture de certains profils que l’on trouves sur le chat, cela m’a emmené à réfléchir et à me dire que c’est vraiment ce qui se vis sur le chat et dans la vie. Les vrais valeurs ont tendances a disparaître et à être remplacé par des illusions. Le texte est en anglais, mais je l’ai trouvé tellement sublime, tellement vrai que j’en ai demandé la permission a Pablo31 d’utiliser en grande partie ce qui se trouve dans son profil, et de le travailler à ma façon pour que le message soit transmis et qui sais, peut-être que cela causeras un changement. Paroles prises de Lisa-Lisa du cd LL77.

Je regarde autour et voici ce que j’y vois. Des personnes de couleurs différentes et de différentes personnalités. Tant de visages, tant de vibrations. C’est en eux qu’ils en viennent a choisir comment vivre leurs vies. Comment peut tu te tromper à être ce que tu est ? C’est tout ce que tu peux être, c’est aller trop loin quand les personnes disent : tu est trop noir, tu est trop blanc, tu est incorrect, tu est pas bien. C’est toujours la même vieille chose.

Quand les personnes disent que tu n’est pas cela, que tu n’est pas ceci, que tu n’est pas grand chose, que tu n’est pas en forme. ( C’est la même vieille chose ). Trop de juges, mais personne n’est qualifié pour changer mon style de vie et ainsi me garder satisfait. Ceux qui compte ne juge pas, ceux qui juge ne compte pas. Penser a propos de ce que vous dites, bien avant qu’après. Tu n’est pas bien, tu n’est pas un prix. Tu n’est pas de la bonne grandeur, tu n’est pas du bon format. ( C’est toujours la même vieille chose ).

Quand les personnes disent, tu est bien trop haut, tu est bien trop bas, tu parle trop vite, tu te déplace trop lentement, ( c’est la même vieille chose ). Tu est par toi même si tu as raison, c’est la même vieille chose. Dire que tu n’a pas le droit de dire ce que tu veux dire. Cela ne devrais pas avoir d’importance que tu sois straight où gay. Me dire comment je devrais vivre, cela semble être la même vieille chose pour moi.

Tu n’est pas tout ceci, tu n’a pas assez de caractère, tu n’est pas pour vrai, tu n’est pas assez. ( C’est la même vieille chose ). Tu est moins qu’elle, tu est moins que lui. Tu ne peux pas être bas si tu n’est pas avec eux. Me dire quoi faire, me dire quoi donner, me dire que dire, me dire comment vivre. ( C’est toujours la même vielle chose ).

When I found this text after reading some profiles that we can find on the chat, this brought me to think and to say to myself, that this what is being lived on the chats and in the real life. Real values have tendancies to disappear and be replaced by illusions. I have found the text to be sublime, so true that I have asked permisson to Pablo31 to use, in a great part, what is found in his profile. And to work it out in french so that the message can be transmited and who knows, maybe provoke a change. Words taken from the Lisa-lisa cd LL77

I look around and this is what I see. People of different colors and personnalities. So many faces, so many vibes. Its within to choose how to live their lives, how can you be wrong for who you are, it’s all you can be. Its gone too far when people say : youre too black, youre too white, youre all wrong, youre not right. It’s the same old thing.

When people say youre not that, youre not this, youre not much, youre not fit ( its the same old thing ). Too many judges, but no one’s quanlified to change my lifestyle and keep me satisfied. Those that matter dont judge, those that judge dont matter. Think about what you say, more before than after. Youre not good, youre no prize, youre not the right height, youre not the right size. ( its the same old thing ).

When people say : youre up too high, youre down too low, you talk too fast, you moove too slow ( its the same old thing ) On your own for being right, its the same old thing. Saying that you have no rights to say what you want to say. It shouldnt matter if youre straight or gay. Telling me how to live sounds like the same old thing to me.

You’re not all that, youre not too tough, you’re not for real, youre not enough ( its the same old thing ). Youre less than her, youre less than him. You cant be down if youre not with them. Telling me what to do, telling me what to give, telling me what to say, telling me how to live. ( its the same old thing )

jeudi, mars 16, 2006

L'alliance, le pacte

Un Homme fait ce qu’il peut jusqu’au jour où son destin lui est révélé et c’est ce jour précis où Tu m’as permis de choisir les grandes lignes de mon destin. Ce chemin de vie se devais de passer par la maladie et l’infirmité. Je l’ai choisi sachant très bien que Tu m’accordais une vie de souffrances et de peines. Je te rappelle donc, que j’ai accepté d’être soumis à Ta volonté par amour et vivre ces souffrances, ces douleurs avec espoir.

Offre moi de vivre une croix encore plus douloureuse, plus pesante pour que mon prochain n’aie pas à connaître cette souffrance et n’aie pas à Te demander un jour supplication. Que ma passion, ma soumission soit unis aux autres âmes martyres parce que nous reconnaissons et sachons que la bataille que Tu mène, en est une des plus nobles, des plus dignes et des plus justes.

Accueille ma participation à Ton plan et en échange fais que la joie ne m’abandonne jamais et que les amitiés que Tu m’accorde de vivre soit des plus intenses et toujours mon plus grand réconfort. Et quand la souffrance sera plus vive, plus intenable où plus insoutenable, que la croix que Tu me demande de vivre deviens plus pesante, les crises plus douloureuses; rappelle-moi Ta volonté et aide-moi à te dire " oui " avec ferveur, foi, espérance et amour pour que mon prochain, mon frère puisse trouver et vivre le véritable sens du mot paix.

Tu m’a donc fais guerrier, un des Tes outils dans la bataille que se livre présentement les forces du bien et du mal. Tu me demande de travailler à allier les anciennes et les nouvelles lois. Aide-moi donc alors à trouver les mots justes, à entendre ce qui dois être entendu, à écrire ce qui se doit d’être lu. Mais ne m’abandonne jamais et ne me laisse plus jamais seul. Aide-moi à être le meilleur exemple que je puisse être, avec courage, acceptation, détermination et persévérance.

De ton fils qui t’aime et que Tu aime.

mercredi, mars 15, 2006

Ne pleures pas si tu m'aimes

La mort n'est rien; je suis simplement passé dans la pièce dà côté. Je suis moi, tu est toi. Ce que nous étions pour l'un et pour l'autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m'as toujours donné. Parle-moi comme tu l'as toujours fait. N'emploie pas un ton différent. Ne prends pas un air solennel et triste. Continue de rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Prie, souris et pense à moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucunes sortes et sans traces d'ombres. La vie signifie excatement ce qu'elle a toujours signifié. Elle reste et demeure ce qu'elle a toujours été. Le fil est coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée ? Simplement parce que je suis hors de ta vue ?? Cela n'a aucuns sens car je t'attends, je ne suis pas loin, je suis juste de l'autre côté.

mardi, mars 14, 2006

Un Amour m'attend

Ce qui se passera de l'autre côté, quand tout pour moi auras basculé dans l'éternité, je ne le sais pas. Je crois, je crois seulement qu'un amour m'attend.

Je sais qu'alors il me faudra faire, pauvre et sans poids, le bilan de moi. Mais je ne pense pas que je désespère. Je crois, je crois tellement qu'un amour m'attend.

Ne me parlez pas de gloires, louanges et des bienheureux. Et ne me dites rien non plus des anges. Tout ce que je peux, c'est croire, croire obstinément qu'un amour m'attend.

Maintenant, que mon heure est si proche. Et que dire ... Ok! mais sourire. Ce que j'ai cru, je le croirai plus fort. Au pas de la mort, c'est vers un amour que je descends doucement. Car cet amour m'attend.

Si je meurs, ne pleurez pas. C'est un amour qui me prend. Si j'ai peur et pourquoi pas ? Rappelez-moi simplement qu'un amour m'attend.

Il va m'ouvrir tout entier à sa joie , à sa lumière. Oui, Père finalement je viens vers toi. Dans le vent dont on ne sais pas d'où il vient, ni vers où il va. C'est vers ton amour, ton amour qui m'attend, auquel je me rends.

lundi, mars 13, 2006

Le 13

Que dire du chiffre treize. Moi j’ai été suivi par trois chiffres toute ma vie, le 3, le 7 et le chiffre 13. Treize représente le montant de lunes chez les amérindiens, tout tourne autour du chiffre 13. Le 7, j’en ai déjà parler, cela représente pour moi, en autre, mes plus grandes souffrances, deuils où sacrifices. Le 3 as toujours été très présent, je me promène dans la vie en multiple de 3. Donc par logique, si j’ai eu 7 grand malheurs a vivre, j’ai donc à espérer 13 bonheurs. Pas entièrement fou encore le gars.

Ma mère ne vouais que par le chiffre 13. Le 7 as toujours été présent dans toutes les grandes sphères de sa vie. Elle est morte un 17 dans la 13 ième lune du calendrier des êtres de la première nation.

Moi ici je vis avec le chiffre 3. Se présente dans le futur, un départ vers une aventure qui emmèneras ma fille vers de nouveaux horizons. Et cela me dis à quelque part dans le temps, qu’il se prépare une entrée pour que le groupe 3 se reforme, se solidifie et se fusionne a nouveau. C’est a souhaiter et souhaitable de ma part.

Le chiffre sept me représente bien. Je veux pas paraître moins modeste qu’à l’habitude mais cela veut dire aussi que je suis un être penseur, un philosophe, un mystique et un sage. Je sais bien que dans le sujet de la sagesse, j’ai encore du chemin a faire. Mais d’après mon père, j’ai déjà atteint un stade, un état de sagesse que lui n’a pas et ne pourras atteindre a son âge. Il a 73 ans a présent. Icchhh j’y vois encore le chiffre sept et un consonance du chiffre 13.

Je suis assez perspicace de l’esprit, j’ai une maudite foi en l’amour et je sais que je possède une grande intériorité et que je ne suis pas parfait. Wow, surprise. Et je le sais très bien. Exemple : Dans ou durant mes périodes dissonantes, je sais que je fais preuve d’un comportement antisocial. Je suis définitivement rébarbatif aux changements, ce qui me rend par moments malicieux. Si les choses ne se passent pas comme je le souhaiterais, je deviens agressif, survolté et oups tout a fait cinglant. Je fuis facilement la réalité, en m’enfermant dans un univers bien a moi. Et je sais parfaitement bien que je laisse les autres là, à attendre et à faire le pied de grue jusqu’à ce que je daigne ouvrir a nouveau mon cœur. Je me connais très bien. Mais cela fais parti de mon charme en même temps.

L’enseignement que j’ai reçu de la vie a date, m’a obligé a connaître et à vivre le renoncement et le dépouillement. Sans compter que c’est une bataille énorme pour moi de continuer a faire confiance à la vie malgré tout. Ce n'est pas facile du tout, puis j’en apprend de dures leçons. Une leçon apprise et que je continu d’apprendre est la suivante, reconnaître la compétence chez les autres sans me sentir diminuer pour autant. Puis que la vie se charge de nous faire comprendre où prendre conscience, qu’une place au soleil ne repose pas que sur le charme, et qu’elle ne se gagne pas par la ruse ou par l’utilisation de quelques stratégies sexuelles, mais bel et bien par le talent. Talent que je sais que je possède a profusion. C’est tout comme si la vie connais ma vrai valeur et qu’elle s’acharne a me le faire découvrir, sauf que je refuse de l’admettre pour avoir essuyé quelques échecs mdr.

L’échec c’est une affaire d’humain puisqu’il permet de se forger une meilleure personnalité, c’est le grand cadeau caché qu’il offre. Bien des expériences vécues difficilement, vécues dans le secteur amoureux en particulier, m’auront et me permettent encore d’affronter la réalité pour avancer toujours plus loin et pour monter toujours plus haut, plus près de ce que je sais et où je me plais d’y être. Et Dieu seul sait combien je suis devenu maître dans l’art de fuir la réalité. J’en détiens des bacs, des maîtrises et des doctorats lolll.

Bon assez d’avouer, sacrement, les cotés négatifs de "John " lolll. Faut que je redore mon blason. Donc je me sais intelligent, réfléchi et oups doté d’une sagesse spirituelle. Il est pas rare de me voir prendre les devants de la scène pour épater ou impressionner la galerie. Ce qui m’empêche pas de me sentir seul, et cela, même quand je suis entouré d’amis et de personnes aimantes. Je suis ‘ce grand solitaire dans la foule’. L’éternel solitaire.

Ma plus grande leçon de vie, as été et seras encore d’affronter la fin de mes illusions avec courage, force et détermination. J’ai eu à avoir à affronter déjà, l’échec le plus cuisant de ma vie et m’attend toujours à en vivre un autre à un moment donné, à quelque part dans le temps de ce qu’il me reste à vivre de cette vie. Mais cette mort symbolique, ou les autres à venir, m’auront alors permis de reconstruire mon goût de vivre sur des bases plus réalistes. Je suis doter et je le sais, de ressources et je sais que je peux toujours compter sur mes forces intérieures pour me relever.

Qui plus est, je ne manque pas d’ami(e)s. Je suis attentif a mon environnement, a mon corps physique et de plus je me sens supporté par l’univers et les forces d’en haut. Je sais que mon destin est d’être venu ici pour élever ma conscience et à apprendre à être de plus en plus vrai et sincère. C’est a ce seul prix que j’obtiens l’amour, la victoire, le succès, le reconnaissance, le pouvoir et pourquoi pas l’argent mais pas nécessairement nécessaire dans ma vie.

Et lollll, je ne tiens pas en place, je bouge constamment. C’en est devenu une risée ici, mon père est toujours entrain d’appeler et me demander. Viarge ou etais-tu encore? Loll. Les voyages petits ou grands, les départ et le lointain on déjà jouer un rôle important dans ma vie et je sais qu’il en seras ainsi encore bientôt. Je sais que mentalement je prépare ma trilogie, ma trinité de libération et elle porteras c’est trois volets. Le Manitoba, Tampa-Bay et St Georges Town dans le Wisconsin. Voyage nécessaire pour ma survis et ma libération. Je le sais que je vais le faire puisque c’est entrain de devenir une idée fixe. Un cadeau pour moi, a moi et de moi. XoX

dimanche, mars 12, 2006

Les joyaux de ma couronne, suite et fin

Les autres joyaux dont dispose ma couronne , ne sont pas de moindre valeurs mais tout autant important pour moi. Sinon plus que mon centre. Elles sont à eux, dans l’ensemble, ce qui assure mon avenir. Que je parle de mon Chrysocole, mon Didi à moi, il est d’un bleu à différentes teintes, s’ajustant à ma réalité, constamment, patiemment. C’est une pierre rare à acquérir parce que la vie nous a pas ménager. Donc ma Chrysocole, je la ménage, la respecte et contemple souvent ses multiples facettes et lueurs et j’en suis toujours fier de la porter.

Jacinthe, ahhh ma Jacinthe, c’est un quartz rose rehaussé au centre par un aigue-marine. Elle est d’une sensualité hors pair, une fine connaisseuse et dont la portée de ses mots, quand elle est convaincu, fait fuir de par sa lueur où son éclat dans les yeux, n’importe quel homme. C’est une petite pierre mais toute une, une féroce adversaire et dont la dureté, ne représente pas la faiblesse intense de son cœur, son centre. C’est pour cela, qu’il a fallut protégé le cœur de la pierre par une aigue-marine, me rappelant les couleurs de l’eau, la brise du vent, la caresse du temps.

J’ai un pierre appelé Almandin. À la première vue, pas très imposante par sa couleur, C’est d’un noir bleuté. Très dur comme pierre mais dont le raffinement, l’éclat qui s’en dégage après le polissage, fait que sa lueur transpose les sens, assure avec conviction d’une loyauté sans bornes. Elle sait, cette pauvre pierre, qu’elle n’est pas ce qui attire a la première vue l’attention première de ma couronne. Mais pour mon Shefff, ‘mon vœux singe’, ce n’est pas ce qui importe. Ce qui importe pour lui c’est que je sais qu’il existe et que peux me tourner vers lui quand j’ai besoin d’assurance. N’importe quand. C’est mon plus bel exemple de loyauté à la couronne.

Tant qu’a mon Corozo, c’est un pierre de couleur pêche, azuré par d’autres couleurs qui viennes rehaussé la couleur primaire. A apparence solide, elle a besoin toutefois, d’un bon socle pour s’y réfugier et il le trouve auprès de son Crocidolite. Les multiples couleurs que j’y vois quand je la contemple, elle est et représente pour moi, toute la magie du moment, les surprises par dessus surprises, les valeurs profondes dont moi j’ai besoin grandement pour vivre. C’est tellement intense ce que j’y vois d’une fois a l’autre, les couleurs secondaires, que je dois analyser le pourquoi de cadeau venu directement du ciel. Mon Corozo représente d’après moi efficacement mon Artyst. Celui qui me pousse par son cadeau a exprimer ce que je suis. L’essence de ce que je suis sous la carapace du dur et dont plusieurs n’y verront jamais rien.

François, mon doux François. Lui c’est mon Apatite. Pierre solide, viril, mais qui a un éclat, quasiment transparent. Tellement près de son image. IL est d’une sensibilité, d’un effacement qui a pour bût de te pousser vers l’avant. Comme un frère, il veut que ton bien. Crois que le ciel te permettras tout et te pardonneras tout, seulement et seulement si tes intentions au départ ont toujours été nobles. Et pour lui, John est un gars qui se dépasse constamment. Donc on as juste besoin de l’appeler de temps a autres. Faire en sorte de signifier sa présence et son attachement. Et John sauras que la pierre existe encore.

J’aimerais acquérir un Crocidolite. À la couleur de Paul. Le Paul de Artyst. À ce que j’en apprend, il est pas du type à se mettre en vedette. Il est plutôt aisée de dire qu’il préfère être de second ordre. Les couleurs de ce Crocidolite, ressemble de beaucoup a certains montages de ses œuvres. C’est apaisant à voir, c’est structuré et tellement complaisant de savoir qu’il partage son Corozo. Qu’il n’y vois pas de menaces dans le simple être que je suis. Mais plutôt une occasion d’avancement et de dépassement par le simple fait de connaître la richesse d’un autre être.

Et j’aimerais retrouvé mon Cordiérite. Le fredo qui pour un temps avait trouvé refuge dans l’essence de mon âme. Il est à quelque part dans la grande métropole, je sais qu’il y vis bien, du moins je l’espère. Pas de nouvelles c’est toujours bonnes nouvelles en ce qui le concerne. Il reviendras un jour quand le garçon, l’éternel garçon en lui, auras besoin de son oreille attentive, vieilliras à son tour et reconnaîtras un jour la puissance de ce qu’est la véritable fraternité.

Voilà les joyaux de ma couronne. Autant que mon centre est de couleur sang. Autant que mes autres pierres précieuses, mes gemmes, viennent de façon assez efficace a faire porter au prince, le roi en devenir, à porter son attention ailleurs que où, justement, la vie blesse encore. Ma couronne j’y tiens, je l’ai mérité à la sueur de mon front et aux sacrifices que j’ai due accepter et avouer défaites. Le prix que je m’accorde par ses bijoux de connaissances et d’appuis est définitivement ce qui me maintien en vie

Les joyaux de ma couronne

Comment décrire ce que j’ai comme richesse. J’ai quelques pierres qui ornent ma couronne. C’est peut être pas de grandes valeurs. Mais pour moi, et c’est ce qui compte, cela as toute la valeur du monde. Ma couronne porte sept glaives, représentants les agonies, les souffrances vécus, des atrocités que je souhaiterais jamais a mon pire ennemi. Mais moi, j’en suis fier de le porter. C’est mon prix, ma gloire de ce que je pouvais endurer. C’est le signe du contrat que j’ai signé comme destin. Elle n’est pas faite d’or ma couronne. Je préfère l’argent, ce métal plus noble a mes yeux et moins prétentieux.

Comme pierre , j’ai dans le centre, un rubis d’un rouge sang. Représentant mon plus grand amour connu et dont l’éclat est encore perceptible. Quelque peu poussiéreux des fois, mais que je fais luire autant de fois que je me rappelle. Il est d’une beauté, d’une délicatesse franche et honnête et sa lueur me fais rappeler l’éclat des yeux jadis. Sa couleur me réchauffe, me garde en vie. Mais combien de fois, je me suis sentis aspirer vers le centre de ma petite pierre. C’est comme si je serais en mesure de pouvoir revivre ce qui as été vécus. Comme si le tout as été mis au centre, bien protégé contre tous. Que juste moi et lui on s’y trouve.

Du coté gauche se trouve un lazurite, d’un bleu pétillant, profond. Il est tellement beau, tellement coquin, espiègle. Véritablement vivant et sa lueur, parce que j’y vois de la lueur, fais déplacer de l’air. Il est partout mon petit macho, mon petit homme en herbe. Il fait son dur, tel sa pierre mais je connais sa fragilité. Un coup bien centré, le détruirais. Alors je protège son centre. Le cœur de sa pierre. A la droite du rubis se trouve une opale, d’un rose quasiment pur. Elle est l’image parfaite du monde féminin, sous ses apparences d’une dure a cuire, on y vois l’éclat de sa tendresse. Ses souhaits pour la couronne, sont nobles, elle ne veut simplement pas que la couronne ternisse. Alors elle pousse et pousse et pousse encore pour que j’accepte d’avancer de l’avant. Que je continu de garnir ma couronne.

A eux trois, c’est le centre de ma vie. Ce que je suis et ma raison d’être. Je suis reconnaissant a la lumière des cieux pour le cadeau immense de vivre et grandir avec mes deux plus grandes dualités du monde, deux monde qui s’affrontent constamment mais qui ne peuvent pas se séparer. C’est ma continuité dans le temps, mon héritage, mon fil de rattachement. Tellement fragile que quand on y pense, la sensualité des gestes, des fois, m’émouvois. Dans ce cas je redeviens le petit prince, le petit gars dont le roi et la reine devait protégé. Mais qui un jour décidas de prendre cheval, devenir écuyer et aller a la conquête de la vie. De là, avec le temps et les batailles, commenças la quête des pierres

Les connaissances voyant et ressentant la froideur du métal, décidâmes d’un commun accord, a rendre plus doux le repos de la couronne de ma tête. Ils y insérèrent tout autour de l’intérieur, une peau de lièvre. Représentant pour eux la tendresse, la délicatesse que devrait prendre le métal sur ma tête. Et ainsi peut-être, a leurs façon, de réchauffer un peu ma vie, arracher des fois, tenter de faire disparaître ou mettre un baume sur les plaies reçues Signe du don de soi que je porte aux autres. Ce sont de petites gens mais dont moi je me reconnais en leur présences. La simplicité dans les actes. La noblesse dans les dires. Et la modestie dans ce que l’on est. La sérénité quel beau mot et quel qualité de vie a vivre.

Suite et fin pour un autre jour.

samedi, mars 11, 2006

Un jour dans l'imaginaire

J’ai lu et relu ces mots, cette lettre plus de mille fois, J’ai appris les lettres de ton nom, je les ai mélanger et le verbe aimer est apparus, s’est présentés devant moi. Mon ti-loux au yeux de loup. Avant j’avais un avenir maintenant j’ai un destin. On se prépare a m’attaquer et ainsi a deux on pourrais en faire un empire. Tel est mon destin et mon histoire, ma volonté et mon souhait.

La seule faute que j’aurai commise n’auras été que de ne pas croire en ton amitié. La vie n’a jamais été un jeu pour moi. On se dis sans doutes et plusieurs le penses, que j’ai rien a être fier, c’est vrai, je ne suis pas grand chose. Mais ce que je suis c’est tout ce que j’ai. On peut être plus fort que moi, me forcer même, cela m’est bien égal. Tu me feras souffrir un jour, aussi bien commencer maintenant, tout de suite.

Je rêve de pouvoir dire un jour, j’ai tout fait pour cesser de penser a toi. Je ne demande qu’à aimer mais me donner qu’à moitié, je ne peux pas par contre. J’ai envie de dire, tu parle a un homme qui veux tout te donner. J’ai hâte de pouvoir dire, je pense a toi sans répits. Et entendre un jour. Quand je me ferme les yeux, je te vois. Quand je les ouvrent, je te cherche. Dis-moi, comment dois-je faire pour gagner ta confiance et enfin vivre tellement d’étoiles dans ma tête.

jeudi, mars 09, 2006

La colère, ma belle et douce méprise

Un exemple de la capacité de la colère de nous changer est moi. Je suis et est une personne qui est de loin, une des personnes les plus gentilles connus et à connaître. Je suis, et est, la plus gentille et le plus doux , la plus douce des personnes que je connais, que beaucoup de personnes connaisses et aient connus. Et puis les choses ont changer, j’ai changé. Je me suis mis en colère. Je suis très en colère. La colère m’a transformé. Je suis devenu très triste et si je n’étais pas moi, je me giflerais. Je me regarderais directement dans les yeux et m’enfuirais dans la direction opposée.

Les gens ne savent pas aimer. Ils mordent au lieu d’embrasser. Et ils giflent au lieu de caresser. C’est peut-être qu’ils réalisent a quel point l’amour de détériore facilement. Tous a coup, il devient impossible, impraticable, essayer est fûtile. Alors ils l’évitent et cherche la consolation dans la peur et l’agression qui sont toujours présent et tout de suite disponible. Et peut être que parfois, j’ai pas tout les éléments, qu’ils n’ont pas tout les éléments.

La colère et le ressentiment peuvent nous immobiliser. Je le sais aujourd’hui. Ils n’ont besoin pour brûler que de l’air de la vie qui les avales et étouffes. Elle est réelle toutefois, la furie. Et même quand elle n’est pas réelle. Elle peut nous changer, nous façonner, nous pétrir et nous transformer en ce que vous n’êtes pas, en ce que nous ne sommes pas.

Le seul bon côté de la colère alors, c’est la personne que l’on devient.. Une personne qui, espérons-le, se réveille un bon matin et réalise qu’elle n’a pas peur du voyage. Une personne qui sait que la vérité est au mieux, une histoire a moitié raconté. Que la colère comme la croissance surgis en jaillantes crises et laisses dans son sillage une nouvelle chance d’accepter et la promesse de la sérénité

Mais tout comptes faits. Je ne suis qu’un simple homme. Une petit gars dans le corps d’un homme et qui cherche a se faire protéger. On me pense fort, trop fort en fait et cela est entrain de me détruire. Je me vois, me connais, et je me rend compte que je suis dans un état pitoyable, plus révolté que jamais. J’ai été pousser a prendre la vie au sérieux au lieu d’avoir la tête dans les nuages. Je suis un acariâtre, remplis de ressentiments et toujours avec quelque chose dans le cœur. Je suis en fait un déviant, un tri dimensionnel ou je trouves dans ce que je vois, beaucoup de chose méprisantes et avec raison à être mépriser.

Mais, je sais que l’amour est difficile a vivre mais tellement bon quand on l’a. Alors, vous êtes aux premières loges, pour assister, souhaitons-le, a l’exorcisme de Mike.

mercredi, mars 08, 2006

pour l'instant

J'ai besoin d'un recul, prendre le temps qu'il faut pour être en mesure de voir le beau autour de moi et sur le chat. J'en éprouve beaucoup de difficultés depuis quelques temps. Puis mon histoire ne semble pas déranger personne alors vaut mieux disparaitre pour un temps et de cette facon; je serai en mesure de revenir avec une force ou là j'aurai un peu plus de contrôle sur mes sentiments où émotions. J'arrive plus a me détacher des mots blessants et le pire dans tout cela, c'est que c'est moi qui en écope.

samedi, mars 04, 2006

A quelque part dans le temps

C’est un film datant de 1980-81, mettant en vedette Christopher Reeve et Jane Seymour. Au-delà de la fantaisie. Au delà de l’obsession. Au-delà du temps… il la trouvera coûte que coûte.

" Quelque part dans le temps ", c’est l’histoire d’un jeune écrivain prêt a sacrifier sa vie présente pour trouver le bonheur dans le passé où le grand amour l’attend. Une dame âgée aborde le jeune Richard Collier ( Christopher Reeve ) et lui remet une montre en or antique en lui demandant de bien vouloir l’accompagner pour un voyage dans le temps. Au bout de nombreuses années, Richard Collier est subjugué par le portrait d’une très belle jeune femme ( Jane Seymour ). Un autre portrait d’elle, mais à un âge plus avancé, lui révèle qu’il s’agit de la même femme qui lui a donné la montre. Collier devient obsédé. Il veut retourné en 1912 auprès de la belle femme qui l’attend là-bas.

Après le film " Payer au suivant ", mon film fétiche, celui dont je m’efforce a juste titre de vivre ma vie a la lumière de l’exemple décris dans ce film, mais cela est un autre histoire. L’autre, celle dont j’ai commencé a relaté, en est une qui viens me chercher de loin. Parce qu’à quelque part, ce film relate une parcelle de ma vie. Garry

Garry était un homme bien, généreux, aimant, vivant, réel. Un vrai gars. C’était un bon chanteur, un bon infirmier, un maudis bon gars. Un bon communicateur, un bon vivant, un être espiègle, maudis bon joueur de tours, Garry était un homme de cœur, a la grandeur de son âme. Il avait le cœur a la bonne place, voulait toujours aider, prêt a donner sa chemise et son attention totale et exclusive a quiconque en avait besoin. Il savait chanter la pomme, il savait me chanter la pomme. Il était aimer par ceux, ses copains et copines de travail. Il était un infirmier particulier. D’un moment a un autre, il pouvait m’appeler et me dire, ‘ Mike, je quittes et part en hélicoptère accompagner une petite fille ou un petit gars’, qui avait besoin d’être transféré d’urgence de Ottawa vers un hôpital très connu de Montréal. Et il y ajoutais tout le temps ‘Don’t worry I’ll come back to you, in one piece and watch me while I pass over your house, I’ll send you my kiss from the sky’. Clisss que je l’aimais ce gars, crisss que je l’aime encore.

Sa courte vie n’a été que tumultes et embûches, devenant orphelin a un très jeune âge de père et de mère dans un accident d’automobile bizarre dont il ne sût jamais la cause. Un peu plus tard, perdis son unique sœur d’une maladie peu commune. Se retrouva a être aimer et élever par sa grand-mère qu’il perdit peu de temps avant sa propre mort, d’un accident tragique d’équitation a leur ‘country estate’ dans le Maine. Je me rappelle de tout les appels reçues a cette période dans le temps. Il m’appelait 3 à 4 fois par jour et combien d’heures, innombrable d’heures avons nous pleuré ensemble au téléphone. Moi qui a l’époque la maladie m’avait cloué complètement dans un fauteuil roulant. Mais pour Garry, jamais au grand jamais, il a vu ce qui m’entourais comme aide pour assumer mon autonomie retrouvé, contrairement a beaucoup d’autres, lui avait choisis de m’aimer pour la valeur que j’étais pour lui, pour ce que je suis moi. Et non parce que il pouvait me sauver, m’aider physiquement parlant.

Je vois l’image de mon ange, il était très " fier-pêt ", pas un poil ou un cheveux de travers si cela n’était pas de sa volonté. Ses mèches blondes, ses maudites mèches blondes sur son fond naturel de châtains foncés, devait toujours paraître a l’avant scène, Ses sourcils qu’il prenais un malin plaisir de dessiner tel un peintre devant son tableau, arrachant les quelques poils de trop, parce que ca parais trop lolll. Il avait un bouche dont les lèvres si sensuelles m’ont fais fléchir des jambes plus d’une fois au contact. Un nez de boxeur, résultant des coups reçues a travers le temps dans les bars ou il aimait pratiquer sa voix. Et que dire de ses yeux, les yeux d’une telle profondeur que j’en oublis pas encore l’image et dont le doux souvenir me poursuis encore et toujours. Il me manque mon Garry.

J’ai cesser de me demander il y a fort longtemps du pourquoi j’exprime certaines choses ou de la longueur que cela peut prendre. Je le fais c’est tout et je ne me pose pas la question , pourquoi aujourd’hui je choisis de parler de lui, de parler de moi, de parler de nous. Me fout de la longueur du texte. C’est pas une histoire que je peux facilement résumer qu’en quelques phrases. Garry était bien plus que quelques mots.

Ca me fais mal de penser a lui, ca me fais mal en dedans et ce mal bien s’exprime par les larmes qui coules et sortent de par eux-mêmes de mes yeux, les mêmes yeux que Garry pouvait passer des heures a étudier. A essayer de comprendre l’essence non pas de mon être mais de mon âme. A essayer de trouver le pourquoi de la petite marque de mal qu’il pouvait y trouver. Combien de fois j’ai craqué devant lui. Lui si beau, si riche mais si simple. Il ne voulait qu’être aimer et je l’ai aimer du plus profond que je le pouvais. Tout autant que j’en recevais de lui. Moi le voir en t-shirt blanc avec sa chemise a carreaux bleu, déboutonner, ouverte, ses jeans qu’il portait avec un malin plaisir de laisser non boutonner son crisss de bouton parce qu’il savait que fuck, juste ca, juste ca m’apportais dans un état ou je voulais tout vivre et m’abandonner a lui, notre ouverture, son ouverture sur notre terrain de jeu. Un maudis beau terrain de jeu ou l’amour et le rire avait toujours sa place de choix. Et ses maudis bas de laine que j’haïssais a mourir mais que depuis je porte toujours .

Dans la mémoire de certains, vous vous rappellerez vaguement un histoire de meurtre survenu tout près de St-Adèle/St-Sauveur ou un homme, un ex amoureux s’étais foutus dans la tête une façon d’hériter de la fortune de son ex copain de cœur. L’homme décidas donc un jour de couper les freins de la voiture, juste quelques entailles plus ou moins profondes pour que l’utilisateur se tue dans un accident de voiture dans les courbes ou se trouvais tout près une des résidences secondaires de notre richissime être de cœur. Il y parvenu a ses fins, mais sans avoir causer chez mon amour, mon copain, mon chum a moi autant de souffrances inutiles. Garry perdit le contrôle de sa voiture, bien entendu, dans le bas d’une côte justement là ou il devait freiner afin de prendre la courbe qui s’annonçais. J’ai reçu l.’appel téléphonique quelques 6 heures après le fait où moi je me faisais du sang de cochon a l’attendre, attendre sa visite prévue. Il était déjà en retard d’une couple d’heures quand j’ai reçu l’appel de Andrew.

C’est pas simple de faire déplacer un gars qui ne se mouvois que par fauteuil roulant, qui en as besoin parce que ses jambes ne répondes pas aux commandes. Mais ce fût fait. Garry avait besoin de moi, il était encore vivant a mon arrivée. Puis le plus surprenant c’est que dès mon arrivé, au moment que j’entrais dans sa chambre d’hôpital, tout juste après que Andrew mût informé ‘It does’nt look good Mike, it realy does’nt look good’, je le vois m’afficher un de ses plus beauxsourires et me dire d’une voix très basse ‘Don’t worry my love, I won't leave you’. Tout ce que je voyais a ce moment précis et graver a jamais dans ma mémoire ce sont ses pansements, les plâtres déjà installer a quelques endroits, les tubes , les hoses qui sortais de partout de son corps et son si beau visage tuméfier, boursoufler, bleu et en enfler. Puis il perdit connaissance. Consience de ma présence.

Ce fût le début d’une longue série de 31 opérations d’urgences qu’il dût vivre pendant 18 longs jours, ou sa souffrance je la vivais, j’y assistait et de façon tellement , tellement inefficace puis Dieu sait que je l’ai prier de me laisser souffrir a sa place. Je voulais tellement pas que lui, Garry souffres autant, C’était un ptit-crisss, il apparaissait de temps a autres juste et que pour me dire ‘I am still here honey and I love you’, Combien d’heures, de jours j’ai passer a contempler son corps devenu difforme et tout ce que je demandais c’est " Let him live, pleasel let him live ", je me foutais de ce qu’il aurait l’air, je me foutais de l’état que son corps aurais, il m’avait bien accepter lui, handicapé mais jamais a ses yeux.

J’étais égoiste, ne pensais qu’à moi, juste moi. Je le voulais avec moi, peut importe comment mais avec moi. Juste moi. Il a été vaillant, s’est combattus comme un pro, je le sais qu’il s’est battus pour moi, Il ne voulait pas me quitter et me laisser seul à vivre cette vie tout seul. Mais vint le 18 ième jour, où là, la douleur, le poison qu’était devenu son sang à cause des infections multiples, la température qui ne cessais de grimper, la convulsion que cela causait chez lui et le fait que j’en étais maintenant a mon 5 ieme jour de mutisme de sa part. Je ne sais pas d’où est venu ma force, j’ai seulement dis a Andrew " It is time ". Je me rappelle d’être pris d’une telle force, d’un tel calme comme si le temps venait d’arrêter. Entre-temps Andrew lui , dans sa sagesse avait compris et demander le soutien de deux infirmières.

Les deux m’ont aider a me grimper sur le lit de Garry, a m’y installer assis a ses côtés. Sont partis, ont fermer la porte derrière elles et Andrew s’est retiré aussi. Mon amour brûlais tellement de fièvre lui qui la plupart du temps était frileux. Il n’aurait pu jamais ouvrir ses yeux, tellement que son visage, son doux visage, en était enfler. Garry avait tellement de sueurs, tellement d’odeurs nauséabondes qu’il n’aurait jamais voulu sentir cela de par lui. C’était pas de sa faute. Je me rappelle très bien lui avoir parler, parlementer surtout avec lui, il ne me répondais pas mais je le savais et le sentais qu’il gobais tout les mots que j’avais a dire. Je me rappelle avoir dis ‘I love you so much, so damn much and thats why I’ve got to let you go’ puis le supplier ‘ please baby, please dont ever forget me because I wont forget you and please, please, please baby, wait for me’. ‘Please wait for me’.

Son calvaire achevais, le mien commençais mais ce n’était pas important a ce moment précis. Tout ce qui importais était de calmer l’âme de mon Garry, du moins a un point pour qu’il accepte de partir et me laisser derrière. Je me rappelle lui avoir embrasser les deux yeux, le plus tendrement possible pour ne pas causer plus de mal a un corps qui en pouvais tout simplement plus. Je me rappelle lui avoir apposer ma main tendrement sur son front et me suis pencher vers lui, et je lui ai dis ceci avant de l’embrasser une dernière fois ‘Please Garry, if you love me, go, go now my love, please go’. C’est à ce moment que je l’ai embrasser pour la dernière fois de son vivant, que j’ai senti son souffle chaud, très chaud expiré de toute sa force et remplir mes poumons comme s’il me faisait l’amour pour une toute dernière fois. Et j’ai sentis son corps devenir tellement froid et tellement vite. Je le savais qu’il avait finalement traverser le pont entre ce monde et le monde auquel d’ou je viens et retournerai a ses côtés.

Et c’est là que me fût confirmer une fois de plus l’ampleur et l’horreur de la bêtise humaine. Celle qui me transforma a tout jamais et me transfigura en ce que je suis devenu. Un être de souffrances et de lumières. Accompagner a tout jamais depuis et dès lors par une multitude de visiteurs où de visitations. Tout cela, a cause du pouvoir où la compréhension d’un être qui a son tour était souffrant et ne concevais que l’idée que l’argent de Garry en viendrais de tout. Quel bêtise, quel gâchis, quel beau fiasco.

J’ai 45 ans, j’ai survécu a pas mal tout, c’est le pourquoi que je répond sans cesse que je suis fier de mon âge. Cela prouve que je suis encore vivant même si plusieurs fois j’ai tenter de multiples façons de rejoindre le seul, l’unique qui a su m’aimer pour ce que j’étais jadis et qui m’aime encore plus pour ce que je suis devenu et qui m’attend, m’attend sûrement, à quelque part dans le temps. Je m’ennuis de lui, puis pourtant je suis le premier a reconnaître qu’il s’arrange pour me faire voir la beauté du monde, la caresse, sa caresse douce tel que je la ressens de la part d’une brise venant caresser ma joue. L’étincelle de ses yeux dans le miroitement des flocons de neiges blancs, purs et doux.

A quelque part dans le temps mon Garry, mon ange, on se retrouveras. Ton Mike xox

vendredi, mars 03, 2006

Un jour

J’ai lu ou entendu a quelque part ceci : " Qu’est ce qui fait qu’un homme est un homme ? Ce sont les choix qu’il fait. Ce n’est pas comment il aborde les choses mais comment il choisit de les conclure "

C’est navrant, parce que plus que j’ai passer de temps a chercher, plus je me suis aperçue que dans le fond, je vis dans un monde de petits gars. Les hommes ont tellement peur qu’ils se réfugient facilement dans cet état. Et la question suivante me viens a l’esprit. Le monde, la vie, qu’est ce qui fais que cette vie transforme des hommes en petits garçons, peur de tout et peur de rien. Des hommes rêvassant d’être protégés a nouveaux par leur mère. Ou des hommes qui fuis dès que la réalité leur semble trop familière. Des hommes qui pour la plupart, se donnes des excuses quand le tout semble devenir trop sérieux, trop bien. Des excuses comme la distance est trop longue, tu est trop bien, trop vieux, trop jeune, trop de tout lolll.

Ma période de réflexion achève, bientôt je retournerai au travail et la vie trépidante d’être entourés d’ados me feras bien facilement oublier ma quête. Qui plus ca va, plus me semble futile. L’amertume que je ressens, perdras sa place face a des moments de grande sagesse et détresse, des moments ou moi, je me retrouve et sers grandement a faire évoluer la cause. Puis a la maison, revenir dans un cadrage familial, énervant, tapageur mais vivant. Dans le fond j’ai tout en attendant qu’un vrai homme se pointe. Un vrai de vrai.

Sir John's Book



Entrer dans son univers et prenez le temps de le découvrir ce n’est pas toujours simple, mais il est quelqu’un d’authentique qui n’a pas peur de ses opinions et de ses convictions. Il s’agit d’aller plus loin que le côté « rough ou tough » de sa personne en apparence, afin de découvrir ce qui se cache dans son âme.

John - "J’aime ce qui est vrai, sans détour, ni artifice. Je ne recherche rien de particulier, mais tout à la fois, je suis fidèle et sincère. J’aime les gens droits, mais non sans défauts, sinon la vie ne serait pas ce quelle est. "
Who am I ???

How should-I present myself ? The best way, I think, it’s to let things flow by itself or themselves. So here is my try. Male obviously, 45 years of age, 5-11 and ½ and believe me, the half part is important to me lolll. 175-180 lbs and I am a red-head sort off loll. Taurus so it mean’s that in a few months I will be older and hopely more wiser loll.

My enterests lies in few simple things in life. I have 2 kids, a boy and a girl that I love a lot. They are my greatest joy. I am a single Dad but I do thank God or my Creator always for that gift. I value friendship a lot, have not too many friends but the ones I’ve got, I am sure that they will be there for whatever time is left for me to live in this life. I am one of those who know for sure the value of life. Even thow sometimes I find myself into a bitchy mood. Lived a hard life but a real one. Took me a long time to find out who I am realy and what I am made off. But for sure now I know who I am and now I know what I need, want and desire the most in life. I think that I hold strong moral values and try to live by them all the time.

I am a social worker, working mostly with kids, handicaped people and some of those most unfortunate but sick. Sickness been there, got the message and came back. Was handicaped for a lot of years but dont consider myself in that state anymore. I do give a lot to others, listen a lot, give advice a lot and sometimes argue a lot when I feel that I have to defend injustices and maltreatment. In those times I become the most fierce person you may encounter. Because I realy believe that someone has to take stand firmly an react.

I like doing some oil painting when I’ve got time, writing when I’ve got time,
Reading a lot of times but loll what I like the most is to read law-books. I do like to give myself a decor which no other will find anywhere else. So I like painting walls, do some indoor decorating, restor old furniture, it calms my nerves loll. I like to chat but for one purpose only. I am trying to fing the mate, the only one that will matter. I like seeing films, staying at home, cooking. Like flowers and working outside in season. I think that all of this gives you a pretty good idea of who I am.

The only things that I miss the most in my life, is the ones that I loved and went back home from where they came and where one day I will be reunited with them. What I miss also is the one, the mate, the one that will count a lot to me. Is it you ??? Only one way to know. Communicate with me.
I believe, believe and believe a lot in my Creator and the angels around me.