Lettre à Garry
Je songe, au trop bref moment que nous avons partager ensemble. Et j'aimerais, aujourd'hui, réparer l'effet de mes gaucheries, qui sont dans ma nature, de ma nature, et te dire ce que je n'ai pas oser te dire depuis quelques années.
Bien sur que j'aimerais t'entendre me dire à nouveau "Je me battrai pour toi". Que tu en aurais pas assez d'une vie pour me connaître. Que les mots ne sortent pas de ta bouche comme tu le voudrais. Qu'il en serait assez, s'il pouvait être suffisant d'être là, sans avoir aucuns mots à dire. Que tu ne sais pas me décrire, voir le ciel là haut et m'en dire la couleur. Comment décrire où dire le vol d'un oiseau ? Où même comment dire, quand on se réveille le matin, que l'on a penser tellement fort à quelqu'un, que l'on en a les côtes meurtris. Comment dire cela ??
Je me rappelle avoir déjà parler avec toi, discuter avec toi. Et si tu mourrais, que je ne te reverrais plus jamais, qu'arriverais-t'il ? Tu m'a alors répondu, après quelques années, on oublis, tout simplement. Garry, il y a près de 7 ans à présent et je n'ai pas encore oublier, ces mots doux qui résonnent encore comme une symphonie dans mes oreilles. Garry-Henry Garman the 3 rd. Tu m'a déjà dis que ça portais chance un oiseau pris entre 4 murs. Désolé mon ange, ce n'est pas ce que j'ai connu étant jeune et ce n'est pas ce que j'ai connu avec toi.
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