dimanche, décembre 31, 2006
samedi, décembre 30, 2006
La pensée du Jour.
Démontré un esprit critique est de ne pas prendre tout pour acquis, en présenté une certaine ouverture d'esprit jusqu'à en détruire sa propre conception.
John 45
vendredi, décembre 29, 2006
Sujet à débât, de l'aide pour John 46
Comme je voudrais et souhaiterais que mon blog deviens un sujet à débats, d’échanges d’idées, d’explication de vision réciproque. Je propose que vous m’accordiez le privilège de me répondre en vous demandant de réagir à trois mots qui d’après certains prédis ce que seras mon année 2007. Voici les trois mots où cartes selon vos concepts :
1- Empereur, 2- Pape, 3- Maison du ciel
Pour quelques jours, je n’ajouterai rien de plus à mon blog que des pensée du jour et ce de façon courte, vous laissant ainsi le temps nécessaire de me revenir avec vos concepts, explications et autres.
Après tout cela, je vous expliquerai ce que pour moi cela veut dire selon ma vision d’ensemble, de ce que je suis, serai et seras. Ma vison à moi.
1- Empereur, 2- Pape, 3- Maison du ciel
Pour quelques jours, je n’ajouterai rien de plus à mon blog que des pensée du jour et ce de façon courte, vous laissant ainsi le temps nécessaire de me revenir avec vos concepts, explications et autres.
Après tout cela, je vous expliquerai ce que pour moi cela veut dire selon ma vision d’ensemble, de ce que je suis, serai et seras. Ma vison à moi.
Merci, John 46
Je crois que je peux voler.

Si je peux le voir, donc je peux le faire. Si je ne fais que y croire, donc il y a rien l’a et tout peut se faire.
Je crois que je peux voler. Je crois que je peux toucher le ciel. Je ne pense qu’à cela tout les soirs et tout les jours. Étendre mes ailes et m’envoler au loin. Je crois que peux m’élever, m’élancer très haut dans le ciel. Je me vois courir à travers la porte toute grande ouverte. Parce-que je crois que je peux voler, je crois que je peux voler, je peux voler.
J’étais sur le point de m’effondrer. Des fois le silence peut paraître si fort comme son. Il y a des miracles dans la vie que je dois accomplir. Mais en premier je sais que tout cela débute en moi, au plus profond de moi. Parce-que je crois en moi.
Si je peux le voir, donc je peut l’être. Si j’y crois, donc il y a rien l’a et je peux tout faire. Tant que je peux y croire, y croire vraiment donc je peux m’envoler et volerai très haut dans le ciel, dans mon ciel.
La pensée du jour
La vie et de plus en plus claire à mesure que nous avançons et la raison de chaque chose apparait plus évidente.
Paul Valéry
Paul Valéry
jeudi, décembre 28, 2006
Voyage au pays de l'intolérance.

Alors les guerres politiques, religieuses et idéologiques deviennent en un tournemain chose du passé. Le musulman peut cohabiter avec le chrétien, et même l’athée a son mot à dire. Chacun suit sa route et apprend à se respecter et à respecter l’autre. Tout homme voit en son prochain une parcelle divine tentant de se frayer un chemin vers un certain bonheur, une certaine connaissance, un certain but commun à tous : l’Amour.
Tout homme, sans exception, qu’il s’agisse du pire des truands ou du plus grand des sages est à la recherche de cet Amour. Au fond de lui-même, il est mû par un désir souvent inavoué d’être aimé.
Avec la tolérance, tout prend un sens élargi et nouveau. Plus rien arrive à nous scandaliser. La tolérance permet de comprendre le bien-fondé de toute chose et rend inutile et incohérent le « jugement » des autres, de soi et des événements.
L’homme qui pratique la tolérance ne dit plus aux autres ce qu’ils doivent faire, il explique plutôt les lignes de pensée qui l’ont amené vers sa sagesse, qui lui permet où ont permis de faire grandir son bonheur. N’oublions jamais que l’homme qui tend à devenir sage est avant tout un être heureux. C’est d’ailleurs son but premier.
On peut rencontrer de grands sages dans toutes les couches de la société. Même et ils me viens des « nicks » en mémoire, dans tout les forums de discussions et de chat cybernétique. Bien souvent ceux-ci s’ignorent et de toute façon n’oseraient se proclamer « sage ».
Donc, en se respectant soi-même dans ses croyances, en y demeurant le plus fidèle possible, et en acceptant celles des autres, on devient de plus en plus tolérant. On n’a plus rien à prouver et on ne perd plus d’énergie à démontrer que l’on détient la Vérité. On La devient, c’est tout, pou l’émaner par son état d’être!
La pensée du jour
À partir de maintenant, je vois en chaque être une parcelle divine à la recherche de sa propre vérité. Je laisse à chacun le loisir d'emprunter sa propre voie. Je suis de plus en plus tolérant et respecte les choix de chacun.
John 45
John 45
mercredi, décembre 27, 2006
La sagesse versus l'intolérance de la croyance d'autrui.

Pour ceux qui me connaissent, vous savez que 2 fois l’an, je donne des conférences dans le bût d’amasser de l’argent pour une de mes fondations. J’y parle de moi, de mon vécu, de mes malheurs et bonheurs sans être pudique. Cela en est même drôle comment j’arrive à me livrer si facilement devant autant de personnes et que j’ai autant de difficultés à le faire dans ma vie privé, dans mon intimité.
Quoiqu’il en soit, un jour que je donnais une de mes conférences sur ma conception de la vie, de la mort et même de la réincarnation. Chose que j’avais dis quelques années auparavant ne pas croire et que au cas où que cela existe, je demande à Dieu, mon Dieu de ne pas revenir mdr. Mais cela est une tout autre histoire et qui démontre hors de tout doutes que seuls les fous ne peuvent pas changer d’idée comme ma mère disait dans le temps.
En tout cas, un jour que je donnais ma conférence, un scientifique me déclara très honnêtement qu’il trouvait un peu simpliste ma façon de voir les choses et qu’il préférait des explications plus rationnelles. Je lui ai alors répondis que je ne pouvais malheureusement pas lui en fournir et qu’il n’était vraiment pas obligé de me croire si son cœur lui dictait le contraire.
Le fait qu’il soit sûr que sa vision des choses était la meilleure, et qu’il ait le courage de le clamer devant tout le monde, prouvait effectivement qu’il ne devait pas la changer pour l’instant. Je lui demandai alors seulement de garder l’esprit ouvert au cas où il aurait besoin d’éléments supplémentaires, éléments que ce précieux rationnel ne pouvait résoudre.
Pour cet homme, toute explication à quelque phénomène que ce soit devait d’abord passer par l’intellect et la démonstration scientifique. Ma conception de l’âme qui revient vie après vie connaître diverses expériences dans de différents corps, à travers la maladie et les infirmités, dans le but d’atteindre la perfection lui semblait trop simple pour être « vrai ».
Pour lui, l’évolution de l’âme à travers un corps malade relevait de la pure fiction. Après toutes ces années de recherches, de questionnements intérieur, je me suis finalement rendu compte que tout était d’une incroyable simplicité, que tout est question de perceptions, mais que nous avions le don de tout compliquer, de se compliquer la vie, sa vie.
L’HOMME EST CORPS ET ESPRIT, RATIONNEL ET INTUITIF; LE MARIAGE DES DEUX DONNE NAISSANCE À LA SAGESSE.
Il ne s’agit pas non plus de subir et de tolérer sans dire mot! Il est même de notre devoir d’affirmer notre point de vue avec détermination et force, s’il le faut des fois, afin de réveiller ceux qui dorment au bout de leur route et qui ne demandent, bien inconsciemment, qu’un coup de pouce pour s’élancer à leur tour vers de nouveaux horizons plus lumineux.
Jésus, ce Grand Sage, n’a-t-il pas réagi avec vigueur en certaines occasions pour éveiller la conscience de ceux qui s’enlisaient dans leurs vieilles habitudes?
Quand on dis « tolérer », on veut dire tout simplement « accepter » que certaines personnes puissent penser autrement que nous et soient sur un chemin d’évolution différent, quoique tout aussi valable que le nôtre. C’est la position que devront emprunter les grandes religions si elles veulent survivre à cette ère où tant de changements intérieurs et extérieurs se produisent.
Dernière de cette série prévu pour demain…..
L'intolerance et les croyances

À partir de ce moment, je cessais de gaspiller mes énergies à essayer de prouver la véracité de certains de mes points de vue aux autres et je me contentai de répondre aux questions qui m’étaient posées. Je constatai que le simple fait de croire ou non n’avait aucune importance, que l’essentiel était que cette croyance nous apporte quelque chose de positif, de vivifiant.
Je me rendis compte que la meilleure façon de trouver ma propre voie spirituelle était d’aller vers ce qui me semblait tout simplement le plus plausible et de l’approfondir sans idée préconçue. On a souvent tendance à laisser ses préjugés décider de la justesse de telle et telle croyance.
Durant une grande partie de ma vie, je me suis contenté de croire aveuglément en la religion catholique et de ne pas me poser de questions sur la profondeur de la spiritualité. Cette période au cours de laquelle je me vis entre autres confiné dans un encadrement sévère mais en même temps une étape fructueuse qui me permit d’établir les bases d’une certaines démarches spirituelle, limitées bien sur, mais nécessaire.
Quelques années plus tard, le fait de croire à la réincarnation, du moins ma vision de celle-ci, me fit voir la vie sous un autre jour, un autre angle et m’ouvrit la voie à des horizons nouveaux dont je pouvais maintenant en assumer les conséquences.
À mon humble avis, il en est ainsi pour toutes les religions, de tous les groupements et de toutes les idéologies quelles qu’elles soient. Chacun peut y trouver sa voie à une certaine période de sa vie. Le seul danger est de s’y complaire et d’y stagner alors qu’il serait sans doute préférable de franchir une autre étape, d’aller vers autre chose, d’élargir ses horizons. C’est ainsi que l’on découvre le véritable apprentissage, Chacun doit savoir prendre en toute chose, en toute situation, ce qui fait son affaire et se servir de son intuition pour discerner ce qui est bon ou non pour soi.
Personne ne doit se sentir obliger d’acheter une croyance qu’elle soit transmise par une personne, une religion ou un groupement. Par contre, il faut se sentir bien à l’aise de chercher dans diverses sources tels que livres, conférences etc. Afin d’identifier ce qui fait son bonheur, ce qui conviens à ce moment précis du cheminement.
Quand un être réussit à se faire suffisamment confiance pour mettre en pratique ce principe de recherche et de discernement, il devient tolérant envers lui-même et, par conséquent, envers tout les hommes n’ayant pas les mêmes lignées de pensée que lui. Il ne succombe plus à la tentation de toujours chercher à prouver qu’il a raison, qu’Il détient la Vérité, que sa voie est la Voie, celle qui doit être suivie par le reste du monde….
Vous avez sûrement déjà remarqué que ceux qui tentaient constamment de prouver leur point de vue n’en étaient souvent pas convaincus eux-mêmes! Ce qu’ils essaient de prouver aux autres, c’est en réalité à eux qu’ils veulent le faire croire en cherchant à obtenir l’assentiment de leurs interlocuteurs. Qunad on est réellement convaincu d’une chose, elle devient par le fait Même une partie de soi et on n’éprouve plus le besoin de prouver son existence, car on le fait transparaître.
Sujet passionnant pour moi, donc à suivre….
La pensée du jour
On ne s'aperçoit pas toujours que l'on parcoure chaque jour un nouveau chemin.
Paulo Coelho, extrait de l'alchimiste
Paulo Coelho, extrait de l'alchimiste
mardi, décembre 26, 2006
Aucunes bravoures, dose de réalité, Il est venu

Frères reposant dans de tombes peu profondes, pères perdus avec aucunes traces. Une nation perdu dans la disgrâce. Depuis qu’il est venu ici.
Demeures bruler et détruite au delà de toutes réparations, l’odeur de la mort est dans l’air ambiant. Une femme pleurant de désespoir dis, il a été ici.
Bombes traceuses illumine le ciel, c’est un autre famille qui est appelé à mourir. Un enfant ayant si peur de pleurer dis, il a été ici.
Il y a des enfants qui se tiennent ici, les bras déployés vers les cieux. Mais personne ne demande pourquoi, pourquoi a-t’il été ici ?
De vieilles personnes s’agenouillent pour accepter leurs destinées. Femme et fille dépecer et violer. Une génération empreinte de haine, disent il a été ici.
Je ne vois aucunes bravoures, plus jamais aucunes bravoures dans tes yeux, que de la tristesse.
lundi, décembre 25, 2006
Pour le temps que je vivrai

Pour tout le temps que je vivrai, je témoignerai l’amour, je serai un témoin que dans les sciences, les mots ne sont pas assez, que la science ne sait pas tout. Avec chacun des souffles que je prendrai, je donnerai, accorderai milles mercis aux cieux, au dessus, à Dieu. Tant que je vivrai, je témoignerai de l’amour
Des montagnes jusqu’au vallées, des rivières jusqu’à la mer. Toutes mains qui se tendent, toutes mains qui se tendent pour offrir la paix. Tout simple acte de compassion, toutes les marches, efforts jusqu’à ce que viens le royaume des cieux. Tout les soubresaut de tout et dans tout les cœurs parleront et doivent parler de ce l’amour a fait. De ce que l’amour fait.
Pour tout le temps que je vivrai, je témoignerai l’Amour.
La pensée du jour
Sans émotions, il est impossible de transformer les ténèbres en lumière et l'apathie en mouvement.
Carl Gustav Jung
Carl Gustav Jung
dimanche, décembre 24, 2006
L'intolérance ( le respect du choix de vie de chacun )

Par exemple, le fait d’adhérer à une religion peut être très bénéfique pour certains mais totalement nuisibles pour d’autres. L’encadrement dogmatique dans lequel cette religion placera la personne en question pourra même retarder son évolution, car elle lui déconseillera ou lui interdira rigoureusement d’aller au-delà de ce qu’elle qualifie de « mystère », terrain qu’elle estime trop hasardeux pour s’y aventurer.
Chaque personne a sa façon propre de comprendre les choses, de vivre ses expériences, d’absorber goutte à goutte ses parcelles de vérité, et ce de façon bien précise à des moments déterminés de sa vie, comme si tout était orchestré spécialement pour elle ou lui.
Je me souviens, il y a quelques années, lorsque j’étais au tout début de mon questionnement intérieur, de mon transfert de la vie égoïste, égocentrique à la vie spirituelle que je mène à présent, du moins la quête , ma quête de celle-ci. À cette époque, je ne croyais pas du tout en la réincarnation. À mes yeux, cette notion était illogique, sans aucuns fondement scientifique valable et, par conséquent, totalement inconsistante.
Il faut dire que je n’avais pas encore pris la peine de l’étudier en profondeur, ouvrir mon âme à la possibilité, de cette parcelle de vérité que l’on retrouve dans chacun de nous et qui fait que si tu met tout bout-à-bout tu te rapproche ainsi de la vérité suprême. Ce que l’autre t’exprime comme vérité, tu te dois d’avoir au moins le respect de le considéré.
Mais peut importe, je n’avais pas encore pris la peine de l’étudier en profondeur et d’en examiner les principes de bases. Je croyais posséder la vérité et j’étais en outre persuadé que tous ceux qui adhéraient à cette théorie sur la réincarnation étaient des »illuminés irréalistes » vivant le plus souvent dans les nuages, et par surcroit…. Dans l’erreur.
Quelques années plus tard, après avoir vécu de nombreuses expériences de »projection astrales » (appelés également »sorties hors du corps », « voyages astraux » ou dé corporations), je pris vraiment conscience de l’existence concrète de l’âme, ainsi que son processus de détachement du corps au moment du sommeil, comme pour la mort.
Je me suis mis à examiner, m’ouvrir à la possibilité de plus près cette notion de vie après la mort et au retour cyclique de l’âme dans un nouveau corps physique, dans le but de poursuivre son évolution. J’y crois tellement à présent que je couvre toutes mes angles, j’ai demander à mon créateur de m’oublier pour quelques passages au cas où ceci serais la vérité. Comme vous le voyez, j’y crois mais le doute persiste tout de même. Probablement des résidus de mon évolution antérieure judéo-chrétienne.
Malgré tout, à ma grande surprise, je vous l’avoue, J’y ai tout de même trouvé des réponses qui me parurent logiques, et qui soulevaient le voile sur des centaines de questions existentielles, questions qui me préoccupait depuis ma plus tendre enfance, tels l’injustice, les inégalités sociales, les différences entre les races, le fait qu’un enfant de cinq ans puisse écrire une symphonie alors que son voisin ne sait même pas écrire son nom, etc.
Après mûres réflexions, je dus admettre mon penchant favorable envers cette nouvelle philosophie. Hélas faut faire attention, ne pas tomber dans le piège de croire que l’on détient la vérité car cela emmène de l’intolérance, que si quelqu’un ou tous ne sont pas en accord avec ce que je crois, cela ne veut aucunement dire qu’ils sont des êtres bornés, limités, qui ne peuvent aller plus loin dans leur évolution.
Ce qui est à retenir est que tout ce qui vas à l’encontre de ma vision qui me semble des fois être la Grande Vérité universelle, je le dis et répète, je ne suis pas le détenteur de cette Vérité. Donc j’évite d’être intolérant. Pour avoir traversé des étapes d’intolérance « chronique », je fis une autre découverte qui changea complètement ma façon de voir les autres. Je pris conscience de cette novelle vérité à la fois simple mais primordiale : peu importe nos croyances, l'important c,est qu'elles répondent à nos questions, et que nous soyons heureux.
La pensée du jour
La résilience, c'est l'art de naviguer dans les torrents
Boris Cyrulnik
(Extrait d'un interview avec Antoine Spire- Lemonde de l'éducation-Mai 2001)
Boris Cyrulnik
(Extrait d'un interview avec Antoine Spire- Lemonde de l'éducation-Mai 2001)
samedi, décembre 23, 2006
Parce-que je ne le sais pas encore.

Voyager dans l’étrangeté d’u paysage, d’une rue, d’un continent ou celle d’un visage dessiné par l’amour et sa disparition. Comment m’élever jusqu’à être vraiment humain, laisser venir à moi chaque signe d’une présence écrite, comme une regard qui ne me quitterais plus. Je ne le sais pas encore.
Ce que je sais est poser ma main sur une vérité de vivre, respirer légèrement à la lisière des saisons.
Je ne sais pas encore, quel est ce trouble qui commence avec les mots les plus communs parmi ceux que j’écris pour toi comme une route où l’on marcherait loin devant nous.
Je ne sais pas encore où j’en suis avec les minutes qui basculent en moi, ni où tu en est avec ces événements souvent banals qui font l’histoire et ne la font pas.
Je ne sais pas encore, pourquoi se perd l’évidence de quelques gestes; par exemple se lier aux secondes qui égrènent une vie entière. Sentir simplement ce qui est là, cette tranquillité maintenue comme un rebord du temps. Ni pourquoi ne répond à ces voix contraires qui évident le monde. – nos commencements toujours recommencés.
Je ne sais pas encore passer à travers une ombre, comme on passe dans une chambre d’hôtel, une salle d’attente. – ces liens minuscules du silence enfoui en nous.
Je ne sais pas encore me perdre dans ce qui vient et ne reviendra pas. Aller parmi ces jours sans nom, ces heures où l’on ne trouve rien. À poser à nous-mêmes mais dont nos mains gardent trace comme d’inutile déchirures.
Je ne sais pas encore donner ni recevoir cette beauté qui reparaît en nous, pour un instant, une éternité que l’on sait périssable. Prendre au ciel ce qu’il contient de notre âme, cet état de gravité, d’apesanteur où l’on perd pied et le redonner à l’aube, à la nuit à chaque chose affaiblie par le vide.
Je ne sais pas encore m’appuyer sur le temps qui décide de ce qui nous reste, au bout d’une allée pour en éclairer une autre. Devenir un arbre qui attend qu’en lui se retire un peu de vie, comme dans un espace donné à la vie qui se dénoue là où elle s’achève.
Sans le dire, sans jamais l’écrire, ce besoin de toi. Des heures qui réparent la faille et où l’on sait ce qu’est aimer, être aimer, traverser nos questions sans réponse. Ces Instants où rien ne se dérobe à ce que nous sommes. Où l’on fait qu’un avec la beauté qui borde l’émotion et chaque fois joue ses possibles à travers nous.
Je ne sais pas encore à qui je parle, ni à ce qui m’échappe de mon âme et vas respirer en ton âme. Par quel chemin entrons-nous dans le désastre à travers celui d’un arbre érodé par la pluie, ébranlé par une secousse de la terre qui ne peut fuir. Nos cruautés, ce visage humain débarrassé de lui-même. Par quel chemin les fleuves, l’herbe, l’oiseau que nous sommes. As t’on cessé de veiller sur soi-même, as t’on cessé de veiller sur les autres. Avez-vous cessez de veiller sur vous-mêmes ? ont-ils tous cessé de veiller sur les uns et les autres ? Sur eux-mêmes.
Je ne sais pas encore qui était et n’est plus derrière nos regards qui nous sauvait de nous-mêmes et ne nous sauve plus. Si la vie n’est pas ce vers quoi nous ne pouvons ne retourner : s’il y a consolation pour la tristesse qui revient comme une alerte, la marque visible de ce qui lentement se défait en chacun de nous. Je ne sais pas encore pourquoi le monde cherche sa beauté et s’il devrait éviter la douleur.
Je ne sais pas encore pourquoi cette ombre, ce silence versés dans nos mains. Ces manques insaisissables; au fond de l’air, un oiseau déploie ses ailes et s’il devrait éviter la douleur. Car je ne le sais pas encore.
Aurons-nous le temps d’aller très loin, de traverser les carrefours, les mers, les nuages. D’habiter ce monde qui va parmi nos pas d’un infini secret à l’autre. Pourrons-nous écouter le remuement des corps à travers le sable; aurons nous le temps de tout nous dire et d’arrêter d’être effrayés, par nos tendresses, nos chutes communes. Pourrons-nous tout écrire, d’un passage du vent sur nos visages, ces murmures de l’univers, ces éclats d’immensité. Aurons-nous le temps de trouver un mètre carré de terre et d’y vivre ce qui nous échappe.
Je le demande parce-que je ne le sais pas encore.
La pensée du jour
Quoique tu rêves d'entreprendre, commence le car l'audace a du pouvoir, du génie et de la magie.
Goethe
Goethe
vendredi, décembre 22, 2006
Vous et les assauts de la vie.

Cette nuit, l’attente est une mémoire suspendue au-dessus de ce que j’ai été, de ce que jamais je n’ai été. Un vent revient. Près de moi ce mot, -perte, dont rien nous préserve. C’est toujours avec un même tourment que j’écris et que j’aime mon prochain.
Comment trouvé ce qui parfois manque à tout?
Fêlures, craquements de notes qui tentent de s’arracher au provisoire. Fausse dates, oublis, retards. Où vais-je et qui m’attend? Je regarde le jour; je ne peux venir que de lui.
Lettres, terriblement semblables à nos pas, qui mêlent détresse et apaisement, doute et certitude.
Ce que j’écris interroge nos éternités passagères. Aimer ne se recommence pas. Devant moi ces quelques balises; la posture d’un arbre, les ondulations d’un brouillard, une route accrochée au temps, à une lettre.
Matin de tremblement. Sous une pluie mêlée de glace, votre voix, trop lointaine pour que s’entendent les mots. Mais sans cesse un murmure perce mon âme. Au dehors une pluie mêlée de glace et, sur la table, une lettre impraticable comme le sont quelquefois le silence, la vie, votre regard.
Rien ne dit ce qui est nécessaire ou le deviendra. En somme, ce que l’on tait n’existe peut-être pas.
Quand j’écris, que je vous écris; je ne comble rien. Un train s’en va encore et me laisse avec des milliers de solitudes resserrées en une seule.
Quelqu’un me demande ce qui reste des dépars et des arrivées, des appels persistants au fond de nous, de nos désirs tourmentés. Je revois l’immuable poussée d’une saison sur une autre, le glissement d’un avion sur le vide, un désert sous chaque pas, et partout votre visage comme une lumière sur mon chemin.
Lettre, encore. Impasse et retours, éclats de nos vies qui se touchent. Un point sur la terre se joint à une autre, s’y enfouit, cherche et trouve une origine. Une lettre encore, témoin de nos recommencements.
Ets-ce pour regarder, entendre, archer près de vous, que je descelle chaque phrase avec la mémoire de mon amour? Ets-ce pour l’inconnu vers lequel je serai, comme à chaque fois, reconduite? Est-ce pour des mots, -trouble, infini, splendeur? – ou pour la distance que suspend mon nom affluant de vos veines?
Des villes, des paysages, sans autre contour que celui du temps, comme les fragments d’une même histoire. Une voiture, un écho, la poussière, -tout va et vient, arrive et repart. On ne sait certaines chose que trop tard et alors on n’en parle plus, sinon quelques rares fois, avec peine.
Au dehors une pluie mêlée de froid. Le froid, l’expérience de la vie, de la fin.
J’aurais voulu traverser nos obscurités, me délivrer de l’achèvement, aller plus loin que cette seconde qui me regarde trembler. Rien qui puisses arrêter la blessure de s’enfoncer. À travers nous, quelque chose va vers la douleur. On sait que s’entassent nos pertes, et que vivre, c’est rester là, privé d’appui. On sait. Pourtant on cherche encore : amour, lumière, consolation. Et parfois je cherche ce qui est là, à mes côtés, -lueur qui est déjà la clarté. On ne sait pas.
Pertes et connivences, traversées; vous lire et vous écrire ramènent cette part indéracinable de ce que je suis.
Parlez-moi, oui, cela seul, comme une tonalité de vivre, un regard dérobé au réel et qui me sera redonné. Parlez-moi comme un vent soutient l’oiseau, le pousse derrière l’horizon. Parlez-moi, car le temps nous recouvre, et demain il fera un autre temps, un autre amour.
Certaines lettres plus que d’autres nous demeurent illisibles, se dressent entre des voix contraires, cherchent sans l’atteindre une origine. Ainsi cette phrase, enfermée dans des milliers d’enveloppes, des lettres cybernétiques auquel je garde ou fais disparaître dans le cyber espace des fois. _Je vous aime, dédiée à la folie, au désastre, à un train qui s’éloigne. De telles phrases, répétées à l’infini,
Je veille sur le vent, des résidus de silence, un oiseau qui a cessé de battre des ailes. Rien ne me préserve de cette vie, -la consolation ne viendra pas. Je ferme les yeux devant vous. Je ne prétends pas trouver place dans la durée d’un amour. Je ne comprend que peu de choses.
Une ombre sur le visage maintient la lumière. Mais on ne sait pas. Et j’ai perdu ce que je cherchais : vous.
jamais répétées.
Comme des questions posées au monde, quelques mots, les simples toujours, séjournent au fond des lettres, attendent qu’on les saisisse doucement.
jeudi, décembre 21, 2006
La pensée du jour
Comme le chêne dans le gland, quelque chose d'infiniment grand sommeille dans tout homme.
Maurice Carême
Maurice Carême
Constat et questionnement, autre exemple de dualité chez John
Beaucoup de prophètes prêchent sur leurs genoux plier. Beaucoup de cléricaux gaspillent du vin. À travers ces drap souillés de sang et sur les routes faites de carton., j’y ai perdu mon temps. Existe-t-il vraiment des rives d’argent au paradis ? Est-ce je peux y entré pour contrer le froid ? J’ai tué un homme dans un pays fort lointain, un ennemi non-dit. Peut importe ce que je fais ou dis, le message ne passe pas. Il demeure toujours et encore incompris. Et tu écoute le son, le bruit de mon cœur brisé. Est-ce qu’un pauvre homme est riche de solitude ? ou quand mère terre se lamente, se plaint qu’elle est devenu malade. Est-ce que le mendiant prie pour une journée ensoleillée ou une journée pluvieuse ? Ils disent que des millions de personnes se penchent et crient devant une effigie fait d’or. Et c’est de cette façon que la vie débute et que l’on se retrouve sur ce bateau actuel. Une histoire encore ou à peine raconté.
lundi, décembre 18, 2006
La pensée du jour
Nos plus beaux fruits, nos plus belles fleurs peuvent naître d'une souffrance, d'une blessure.
Marcel Caron
Marcel Caron
L'énigme, Amour-Dévotion-Sentiments-Émotions
N'ayez pas peur d'être faible. Ne soyez pas fier d'être fort. La seconde du battement crucial de ton coeur, mon ami, serait le retour de toi, de ton toi-même, le retour à l'innocence, de ton innocence. Si tu le souhaites, souris et ris à coeur déployé, si tu le souhaites et même si tu n'en a pas le choix, tu peux même t'accorder de pleurer. L'important, c'est de croire en la destinée. Ne crains pas ce que les autres diront, suis ton propre chemin mais prend une chance et reviens à l'innocence, reviens à ton innnocence. Ceci n'est pas le début de la fin mais le début de la nouvelle ère, le début de l'innocence, le début de ce qui importe.
La symbolique de Noël 2

À cette occasion, vous n’avez rien à perdre à tenter l’expérience. Peu importe que vous soyez ou non pratiquant. La magie est là pour tous et le miracle se produit du moment qu’on lui ouvre son cœur. Vivez ce moment dans notre pureté et votre simplicité d’enfant. Ne vous laissez pas distraire par le faste qu’on se plaît parfois à y mettre. Soyez là, entier, tout simplement!
Durant la célébration, ouvrez vos mains, captez cette énergie par vos dix merveilleuses antennes, visualisez que vous aspirez ce fluide christique par le bout de vos doigts et qu’il envahit une à une toutes les cellules de votre corps. Laissez ensuite se poursuivre le miracle en vous. Souvent, dans le domaine spirituel et matériel, j’ai pu constater qu’il suffisait de mettre des choses en marche et de les laisser ensuite tout simplement aller. L’univers et ses guides s’occupent du reste.
Pour profiter au maximum de cette célébration de noël, il est également très important de nous préparer à recevoir cette énergie divine. Nous pouvons le faire facilement, entre autres, en réduisant notre consommation d’alcool et de tabac quelque heures avant l’événement, car plus notre taux vibratoire sera élevé et notre paix intérieure grande, plus nous serons apte à recevoir cette lumière, plus la paille de notre crèche intérieure sera chaude pour accueillir cet « enfant », pour accueillir l’enfant en nous.
Revenons donc à nos moutons et prenons conscience que si on veut profiter au maximum de cette ouverture du ciel, il est très important de savoir préparer son terrain de façon à recevoir le plus beau cadeau du monde.
Allez et vivez un de vos plus beaux Noël de votre vie. xxx
samedi, décembre 16, 2006
La pensée du jour
Pour combien de temps n'importe quel homme peut-il se battre contre les forces du mal avant qu'il ne les trouvent en lui. La plus grande bataille est en soi.
tiré du film Superman 3
tiré du film Superman 3
jeudi, décembre 14, 2006
La pensée du jour en ce jeudi
L'idéal est pour nous ce qu'est une étoile pour le marin. Il ne peut être atteint mais il demeure tout de même un guide.
Albert Schweitzer
Albert Schweitzer
La symbolique de Noël 1

Ce petit être a choisi de naître dans la plus grande simplicité, en pleine nature, loin des grandes villes, près de ses meilleurs amis et serviteurs, les animaux (le bœuf, l’âne, les brebis). Ceux-ci représentent le dévouement total de la race animale qui ne demande en retour que le respect des humains.
La seule façon de nous préparer à la venue du Christ en nous est de redevenir ce petit enfant que nous avons tous été, celui qui s’émerveillait devant une fleur ou un papillon multicolore, celui qui caressait un chien ou un chat sans rien demander en échange, celui qui voyait en tout homme ou toute femme une ami, une amie, celui dont la naïveté lui défendait de croire en la tromperie chez les autres, celui qui ne voyait que pureté en tout, car il était lui-même pureté. Alors pour connaître ou recevoir à nouveau cet influx christique, faisons revivre en nous, l’enfant que nous sommes
Noël est la période propice pour accueillir en nous, ne serait-ce qu’un instant, une partie de cette énergie christique. La cordialité des relations humaines qui se fait sentir durant cette période de l’année permet d’ouvrir bien des cœurs qui normalement restent hermétiques à toute expression d’amour véritable.
Combien de mots tendres, qu’on n’oserait jamais prononcer en d’autres occasions, laisse t’on échapper durant ces jours de grande joie? Combien de baisers sont-ils donnée, même du bout des lèvres, véhiculant une certaine parcelle d’amour vers l’autre?
C’est à mon humble avis de cette façon qu’il faut préparer la venue du Christ; briser notre carapace, ouvrir les volets de notre cœur et laisser entrer la lumière que nous projette les autres. Les habitants d’une maison dont les volets seraient constamment fermés n’imagineraient jamais qu’à l’extérieur il puis faire beau.
Si nous nous efforçons de partager, chacun à notre façon, cette étincelle d’Amour durant la période de Noël, nous préparerons ainsi notre terrain intérieur à quelque chose d’extraordinaire. Certains le feront par des cadeaux, d’autres par une simple visite, d’autres par un repas en famille. D’autres en aidant les plus démunis. Peu importe les moyens utilisés, il faut profiter au maximum de ce partage.
Suite à venir définitivement demain.
mercredi, décembre 13, 2006
La venue d'un sauveur
Bon, changement de cap ou de sujet et je vous préviens que je ne suis pas curé ni ne possède de base en théologie. Je ne parle que ce que je crois être ma vérité. En ce temps de l’an que beaucoup craigne, je me donne l’occasion de faire introspection de ce que cela veut dire pour moi.
Nombreux sont ceux qui attendent la venue du Christ, d’un nouveau Sauveur. Ils espèrent passivement qu’une nouvelle incarnation de Dieu viendra pour une seconde fois régler leurs problèmes et ceux de la terre qui les porte ( ou plutôt qui les supporte ), pour qu’ils puissent ensuite se remettre à patauger candidement dans la vie comme avant, dans al pollution continuelle de leur corps, de leur esprit et de leur environnement.
Je serais plutôt enclin à croire que le Christ tant attendu, l’état christique pour être plus précis doit d’abord trouver sa place en nous. Chacun de nous aurait grand avantage à employer dès maintenant toutes ses énergies à la purification de sa « terre intérieure », afin de pouvoir un jour y recevoir le germe christique et savoir l’entretenir suffisamment pour que s’épanouisse enfin cette merveilleuse fleur de Lumière qui sauvera le monde.
La terre doit redevenir un jardin constitué de toutes les fleurs que les hommes auront laissé pousser pour eux. N’oublions pas que chaque fleur porte en elle sa propre semence et qu’avec un peu de vent celle-ci peut se répandre et produire d’autres fleurs tout aussi colorées. Voilà en bref ce que je fais de ma vie quotidiennement. Je sème et répand la semence.
C’est en nous que la venue du Christ doit d’abord se faire. Même si un tel être tel Jésus ou Bouddha devait apparaître un jour au seuil de notre porte, pourrions-nous premièrement le reconnaître ? Pourrions-nous supporter la force christique de dégageant de sa simple présence ? Je crois sincèrement que peu d’entre nous pourraient le faire et c’est pourquoi il serait doublement approprié pour ceux et celles qui attendent un sauveur de commencer sans tarder ce travail de purification intérieure, labeur qui ne peut se faire que dans un climat de tolérance et de respect mutuel et total des croyances des autres.
Je crois sincèrement que tous possède en soi, une trace, un morceau de la vérité suprême.
Nombreux sont ceux qui attendent la venue du Christ, d’un nouveau Sauveur. Ils espèrent passivement qu’une nouvelle incarnation de Dieu viendra pour une seconde fois régler leurs problèmes et ceux de la terre qui les porte ( ou plutôt qui les supporte ), pour qu’ils puissent ensuite se remettre à patauger candidement dans la vie comme avant, dans al pollution continuelle de leur corps, de leur esprit et de leur environnement.
Je serais plutôt enclin à croire que le Christ tant attendu, l’état christique pour être plus précis doit d’abord trouver sa place en nous. Chacun de nous aurait grand avantage à employer dès maintenant toutes ses énergies à la purification de sa « terre intérieure », afin de pouvoir un jour y recevoir le germe christique et savoir l’entretenir suffisamment pour que s’épanouisse enfin cette merveilleuse fleur de Lumière qui sauvera le monde.
La terre doit redevenir un jardin constitué de toutes les fleurs que les hommes auront laissé pousser pour eux. N’oublions pas que chaque fleur porte en elle sa propre semence et qu’avec un peu de vent celle-ci peut se répandre et produire d’autres fleurs tout aussi colorées. Voilà en bref ce que je fais de ma vie quotidiennement. Je sème et répand la semence.
C’est en nous que la venue du Christ doit d’abord se faire. Même si un tel être tel Jésus ou Bouddha devait apparaître un jour au seuil de notre porte, pourrions-nous premièrement le reconnaître ? Pourrions-nous supporter la force christique de dégageant de sa simple présence ? Je crois sincèrement que peu d’entre nous pourraient le faire et c’est pourquoi il serait doublement approprié pour ceux et celles qui attendent un sauveur de commencer sans tarder ce travail de purification intérieure, labeur qui ne peut se faire que dans un climat de tolérance et de respect mutuel et total des croyances des autres.
Je crois sincèrement que tous possède en soi, une trace, un morceau de la vérité suprême.
mardi, décembre 12, 2006
Ma pensée du jour en ce Mercredi
Chaque situation nouvelle, chaque problème à résoudre amène avec lui l'opportunité rare d'apprendre quelque chose de nouveau.
Olivier Lockert
Olivier Lockert
John 45
Définitivement James Blunt sais raconter une infime partie de mon histoire
En voici un autre adaptation à la française
Est-ce que je t’ai désappointer ou t’est je laissé tomber?
Est ce que je devrais me sentir coupable ou laisser les juges froncer de leurs sourcils?
Parce que j’ai vu la fin bien avant que le tout débute
Oui j’ai vu que tu étais aveuglé et j’ai su que je venais de gagner
Donc j’ai pris ce qui était mien par droit éternel
J’ai pris ton âme et l’ai trainé dans la nuit
Cela peut être fini mais cela ne se termineras pas ainsi
Je serai ici pour toi si au moins tu t’en souciais
Tu as touché mon cœur et touché mon esprit
Tu as changé ma vie et tout mes buts
Et l’amour est aveugle et c’est ainsi que j’ai su
Que mon cœur était aveuglé par toi
J’ai embrassé tes lèvres et partager ton lit
Je connais très bien, je reconnais ton odeur
Je suis devenu dépendant de toi
Au revoir mon amant
Au revoir mon ami
Tu as été l’unique
Tu as été le bon pour moi
Je suis un rêveur et lorsque je me réveille
Tu ne peux briser mon âme, ce sont mes rêves que tu prend
Et quand tu continueras ton chemin, rappelle toi de moi
Rappelle toi de nous et ce que nous avons déjà été
Je t’ai vu pleuré, je t’ai vu sourire
Je t’ai regarder dormir pour un moment
Je serais ton père, ton frère
Je passerais ma vie avec toi
Je connais tes peurs et tu connais les miennes
On a eu nos doutes mais maintenant on vas mieux
Et je t’aime, je te jure que cela est vrai
Je ne peux vivre sans toi
Et je continu à tenir ta main dans la mienne
Dans la mienne lorsque je dors
Et je pourrai enterré mon âme avec le temps
Quand je me trouverai à genoux devant tes pieds
Au revoir mon Amour
Au revoir mon ami
Tu as été le bon
Tu as été le seul pour moi
En voici un autre adaptation à la française
Est-ce que je t’ai désappointer ou t’est je laissé tomber?
Est ce que je devrais me sentir coupable ou laisser les juges froncer de leurs sourcils?
Parce que j’ai vu la fin bien avant que le tout débute
Oui j’ai vu que tu étais aveuglé et j’ai su que je venais de gagner
Donc j’ai pris ce qui était mien par droit éternel
J’ai pris ton âme et l’ai trainé dans la nuit
Cela peut être fini mais cela ne se termineras pas ainsi
Je serai ici pour toi si au moins tu t’en souciais
Tu as touché mon cœur et touché mon esprit
Tu as changé ma vie et tout mes buts
Et l’amour est aveugle et c’est ainsi que j’ai su
Que mon cœur était aveuglé par toi
J’ai embrassé tes lèvres et partager ton lit
Je connais très bien, je reconnais ton odeur
Je suis devenu dépendant de toi
Au revoir mon amant
Au revoir mon ami
Tu as été l’unique
Tu as été le bon pour moi
Je suis un rêveur et lorsque je me réveille
Tu ne peux briser mon âme, ce sont mes rêves que tu prend
Et quand tu continueras ton chemin, rappelle toi de moi
Rappelle toi de nous et ce que nous avons déjà été
Je t’ai vu pleuré, je t’ai vu sourire
Je t’ai regarder dormir pour un moment
Je serais ton père, ton frère
Je passerais ma vie avec toi
Je connais tes peurs et tu connais les miennes
On a eu nos doutes mais maintenant on vas mieux
Et je t’aime, je te jure que cela est vrai
Je ne peux vivre sans toi
Et je continu à tenir ta main dans la mienne
Dans la mienne lorsque je dors
Et je pourrai enterré mon âme avec le temps
Quand je me trouverai à genoux devant tes pieds
Au revoir mon Amour
Au revoir mon ami
Tu as été le bon
Tu as été le seul pour moi
Tu est beau
Comme hier, voici un autre démonstration comment James Blunt en viens à faire vibrer ce que je suis
Ma vie est brillante
Mon amour est pur
J’ai vu un ange
De cela, j’en suis certain
Il m’a sourit du trottoir
Il était avec un autre homme
Mais je ne perdrai pas de sommeil pour autant
« Parce que j’ai un plan »
Tu est beau, tu est très beau
Ta beauté est vrai
J’ai vu ton visage parmi la foule
Et je ne sais pas quoi faire
Parce que je ne serai jamais avec toi
Oui, ton attention a attiré mon regard
Juste au moment que tu passais
Tu pouvais même y voir dans mon visage que je
volais de très haut
Et je ne sais pas si je te reverrai
Mais on a partagé un moment qui dureras jusqu’à la fin
Tu est beau, tu est très beau
Ta beauté est vrai
Il doit y avoir un ange avec un sourire sur son visage
Quand il a penser que je devrais être avec toi
Mais il est temps de faire face à la vérité
Je ne serai jamais avec toi.
Mon amour est pur
J’ai vu un ange
De cela, j’en suis certain
Il m’a sourit du trottoir
Il était avec un autre homme
Mais je ne perdrai pas de sommeil pour autant
« Parce que j’ai un plan »
Tu est beau, tu est très beau
Ta beauté est vrai
J’ai vu ton visage parmi la foule
Et je ne sais pas quoi faire
Parce que je ne serai jamais avec toi
Oui, ton attention a attiré mon regard
Juste au moment que tu passais
Tu pouvais même y voir dans mon visage que je
volais de très haut
Et je ne sais pas si je te reverrai
Mais on a partagé un moment qui dureras jusqu’à la fin
Tu est beau, tu est très beau
Ta beauté est vrai
Il doit y avoir un ange avec un sourire sur son visage
Quand il a penser que je devrais être avec toi
Mais il est temps de faire face à la vérité
Je ne serai jamais avec toi.
Ma pensée du jour
N'essayez pas de devenir un homme qui a du succès. Essayez de devenir un homme qui a de la valeur
Albert Einstein
Albert Einstein
Le sujet de mon âme 2
Faisant suite à ce que j’ai écris hier,
Le désir d’évolution de l’âme attire donc celle-ci dans un long processus, au début duquel elle fixera les objectifs de sa prochaine incarnation, c’est-à-dire ce qu’elle désire expérimenter, vivre et améliorer durant sa prochaine « vie ». Ce que certains autre interprète exercer son libre-arbitre ( Ceci est un tout autre sujet en soi parce-que cela importe qu’il faudrait être ouvert à ce que l’on argumenter avec Dieu).
Donc, pour en revenir au sujet principal. L’âme se choisiras un caractère de base avec lequel elle devra composer pour atteindre ses buts fixés, Ce caractère sera imprégné en elle grâce, entre autres, à la position des astres au moment précis de sa naissance, qui aura lieu en un endroit et un moment bien et très déterminés. Ce dont traite l’astrologie.
L’âme choisit aussi le nom qu’elle portera car celui-ci, de par les vibrations des lettres qui le composent, influencera le comportement de la personne au cours de sa vie. Certains diront que c’est grâce à la numérologie qu’on peut découvrir l’essentiel des tendances que dégage votre nom. Moi je crois plutôt que la spiritualité de l’âme feras en sorte qui tu deviendras au cours de ta vie. Le débat est donc lancé sur la question.
Par la suite, ce nom seras transmis aux futurs parents par le biais de leur intuition. C’est ce qui fait dire instinctivement à certaines femmes, dès qu’elles se savent enceintes ou durant leur grossesse, qu’elles appelleront leur futur bébé de tel ou tel prénom, sans que rien ne puisse les faire changer d’idée. Pour la majorité des cas, ce que je viens d’exprimer est le cas, mais comme je n’ai jamais été simple. Je peux vous raconter facilement qui a donné le prénom de chacun de mes enfants et la magie du moment qui entourait justement ce moment très précis.
Dans un autre temps, et c’est là une étape cruciale, l’âme choisit ses futurs parents par affinité… Elle choisit les êtres qui seront les plus aptes à l’aider durant sa démarche terrestre pour accomplir avec succès SON PLAN DE VIE. Ainsi seront déterminés l’endroit et les conditions dans lesquelles elle viendra au monde : son environnement, sa famille, ses futurs voisins, amis etc. Donc en résumé, ont choisit sa vie, ses difficultés, ses maladies et, dans certains cas, son handicap dans le but de faire grandir son âme.
Certains seront souvent portés à croire que tout ceci n’est que pure fabulation. Ce que j’ai à répondre c’est que ce sont les mêmes qui affirment que la vie est composée d’une suite incohérente d’événements sans aucuns liens entre eux. Je suis personnellement convaincu que le hasard n’existe tout simplement pas. L’univers, ayant été modelé à l’image de son Créateur, est trop bien organisé pour laisser ses éléments se faire balloter au gré du vent dans un monde qui n’aurait aucuns sens.
Suite à venir probablement demain.
Le désir d’évolution de l’âme attire donc celle-ci dans un long processus, au début duquel elle fixera les objectifs de sa prochaine incarnation, c’est-à-dire ce qu’elle désire expérimenter, vivre et améliorer durant sa prochaine « vie ». Ce que certains autre interprète exercer son libre-arbitre ( Ceci est un tout autre sujet en soi parce-que cela importe qu’il faudrait être ouvert à ce que l’on argumenter avec Dieu).
Donc, pour en revenir au sujet principal. L’âme se choisiras un caractère de base avec lequel elle devra composer pour atteindre ses buts fixés, Ce caractère sera imprégné en elle grâce, entre autres, à la position des astres au moment précis de sa naissance, qui aura lieu en un endroit et un moment bien et très déterminés. Ce dont traite l’astrologie.
L’âme choisit aussi le nom qu’elle portera car celui-ci, de par les vibrations des lettres qui le composent, influencera le comportement de la personne au cours de sa vie. Certains diront que c’est grâce à la numérologie qu’on peut découvrir l’essentiel des tendances que dégage votre nom. Moi je crois plutôt que la spiritualité de l’âme feras en sorte qui tu deviendras au cours de ta vie. Le débat est donc lancé sur la question.
Par la suite, ce nom seras transmis aux futurs parents par le biais de leur intuition. C’est ce qui fait dire instinctivement à certaines femmes, dès qu’elles se savent enceintes ou durant leur grossesse, qu’elles appelleront leur futur bébé de tel ou tel prénom, sans que rien ne puisse les faire changer d’idée. Pour la majorité des cas, ce que je viens d’exprimer est le cas, mais comme je n’ai jamais été simple. Je peux vous raconter facilement qui a donné le prénom de chacun de mes enfants et la magie du moment qui entourait justement ce moment très précis.
Dans un autre temps, et c’est là une étape cruciale, l’âme choisit ses futurs parents par affinité… Elle choisit les êtres qui seront les plus aptes à l’aider durant sa démarche terrestre pour accomplir avec succès SON PLAN DE VIE. Ainsi seront déterminés l’endroit et les conditions dans lesquelles elle viendra au monde : son environnement, sa famille, ses futurs voisins, amis etc. Donc en résumé, ont choisit sa vie, ses difficultés, ses maladies et, dans certains cas, son handicap dans le but de faire grandir son âme.
Certains seront souvent portés à croire que tout ceci n’est que pure fabulation. Ce que j’ai à répondre c’est que ce sont les mêmes qui affirment que la vie est composée d’une suite incohérente d’événements sans aucuns liens entre eux. Je suis personnellement convaincu que le hasard n’existe tout simplement pas. L’univers, ayant été modelé à l’image de son Créateur, est trop bien organisé pour laisser ses éléments se faire balloter au gré du vent dans un monde qui n’aurait aucuns sens.
Suite à venir probablement demain.
lundi, décembre 11, 2006
Pleurs et pluies
Il y a de ces chansonniers qui de par leurs chansons en viennent à faire vibrer totalement mon âme, en voici donc une adaptation de l'une d'entre elles.
Comme j’aimerais savoir comment me départir de mon âme
Me débarrasser des vêtements qui font ma peau
Voir le menteur qui brûle dans mon besoin
Comme j’aimerais pouvoir choisir entre la noirceur et le froid
Comme aussi j’aurais aimer crier à voix haute
Autrement, à date, ce que j’ai trouvé n’a aucuns sens
Comme j’aimerais pouvoir marcher à travers les portes de ma mémoire
Détenir certaines mémoires proches et dans ma main
M’aider à comprendre les années, mes années
Comme j’aimerais pouvoir choisir entre le ciel et l’enfer
Comme j’aurais aussi aimer pouvoir sauver mon âme
J’ai tellement froid de la peur
Je crois qu’il est temps que je cours, prendre fuite au très loin
Prendre fuite au plus loin
Trouver confort dans la douleur
Tout les plaisirs sont les mêmes
Ils ne font que me garder loin des troubles
Cachant ainsi mon véritable état
J’ai entendu ce qu’ils ont dis
Et je ne suis pas ici pour causer du mal, le mal
Ceci est plus que des mots
Loin, loin au plus loin, trouver confort dans la douleur
Tout les plaisirs sont et seront les mêmes
Le but et de me tenir loin des désagréments, des troubles
Ceci est plus que des mots
Ce sont pleurs et pluies
Comme j’aimerais savoir comment me départir de mon âme
Me débarrasser des vêtements qui font ma peau
Voir le menteur qui brûle dans mon besoin
Comme j’aimerais pouvoir choisir entre la noirceur et le froid
Comme aussi j’aurais aimer crier à voix haute
Autrement, à date, ce que j’ai trouvé n’a aucuns sens
Comme j’aimerais pouvoir marcher à travers les portes de ma mémoire
Détenir certaines mémoires proches et dans ma main
M’aider à comprendre les années, mes années
Comme j’aimerais pouvoir choisir entre le ciel et l’enfer
Comme j’aurais aussi aimer pouvoir sauver mon âme
J’ai tellement froid de la peur
Je crois qu’il est temps que je cours, prendre fuite au très loin
Prendre fuite au plus loin
Trouver confort dans la douleur
Tout les plaisirs sont les mêmes
Ils ne font que me garder loin des troubles
Cachant ainsi mon véritable état
J’ai entendu ce qu’ils ont dis
Et je ne suis pas ici pour causer du mal, le mal
Ceci est plus que des mots
Loin, loin au plus loin, trouver confort dans la douleur
Tout les plaisirs sont et seront les mêmes
Le but et de me tenir loin des désagréments, des troubles
Ceci est plus que des mots
Ce sont pleurs et pluies
Adaptation faites à partir de « James Blunt lyrics »
Ma pensée du jour en ce lundi
Nos plus beaux fruits, nos plus belles fleurs peuvent naître d'une souffrance, d'une blessure
Marcel Caron
Marcel Caron
Le sujet de mon âme
Bon, ok, ce qui vas suivre se retrouveras à être lu en plusieurs étapes, car John comme on le connais quand il raconte une histoire ou un fait, cela peut être très long dans certains cas. Tout dépend de la passion du sujet pour John.
Ce qui suivras ne seras pas adopter par tous, mais c’est une façon pour moi d’exprimer la vérité que j’ai connu, que bien des fois je n’adhère pas complètement à la philosophie exprimé, mais comme je crois que tous porte en soi une part de la vérité suprême, bien alors je me dois d’être ouvert à toutes les possibilités.
Mon unique but n’est pas de porter un jugement, mais d’informer des différentes étapes par lesquelles, je crois, doit passer l’âme avant de faire son entrée sur le plan terrestre. Chacun pourras donc alors se faire une opinion et même rejeter le tout comme étant diffamatoire. Ce que j’écris, je les offre comme réflexions. Il appartient à chacun de tirer ses propres conclusions.
L’aventure de l’âme commence bien avant la conception proprement dite de l’enfant. L’âme est en quelque sorte « en vacances » depuis sa dernière rentrée dans l’au-delà. Lui est présenté à un moment dans le temps, une nouvelle mission, un nouveau but à atteindre et donc après un certain temps de se réincarner afin de poursuivre son évolution. Bien entendu que la réincarnation ne peut que dans un corps physique.
Ce désir est pour l’âme à la fois instinctif et primordial. Il y a un dicton qui dit qu’au plus profond de son âme, tout homme est à la recherche de l’Amour. Ce besoin est effectivement à la base de tout développement spirituel.
Chaque personne est inconsciemment poussée à y aspirer, quels que soient les moyens employés.
Comme ont m’a demandé déjà, et que j’écoute parfois, les critiques constructives émanant de la part de autres âmes sensibles comme la mienne. Bien je termine ici, pour aujourd’hui. Suite à venir, surement demain. Prenai donc grands soins de vous entre-temps.
Ce qui suivras ne seras pas adopter par tous, mais c’est une façon pour moi d’exprimer la vérité que j’ai connu, que bien des fois je n’adhère pas complètement à la philosophie exprimé, mais comme je crois que tous porte en soi une part de la vérité suprême, bien alors je me dois d’être ouvert à toutes les possibilités.
Mon unique but n’est pas de porter un jugement, mais d’informer des différentes étapes par lesquelles, je crois, doit passer l’âme avant de faire son entrée sur le plan terrestre. Chacun pourras donc alors se faire une opinion et même rejeter le tout comme étant diffamatoire. Ce que j’écris, je les offre comme réflexions. Il appartient à chacun de tirer ses propres conclusions.
L’aventure de l’âme commence bien avant la conception proprement dite de l’enfant. L’âme est en quelque sorte « en vacances » depuis sa dernière rentrée dans l’au-delà. Lui est présenté à un moment dans le temps, une nouvelle mission, un nouveau but à atteindre et donc après un certain temps de se réincarner afin de poursuivre son évolution. Bien entendu que la réincarnation ne peut que dans un corps physique.
Ce désir est pour l’âme à la fois instinctif et primordial. Il y a un dicton qui dit qu’au plus profond de son âme, tout homme est à la recherche de l’Amour. Ce besoin est effectivement à la base de tout développement spirituel.
Chaque personne est inconsciemment poussée à y aspirer, quels que soient les moyens employés.
Comme ont m’a demandé déjà, et que j’écoute parfois, les critiques constructives émanant de la part de autres âmes sensibles comme la mienne. Bien je termine ici, pour aujourd’hui. Suite à venir, surement demain. Prenai donc grands soins de vous entre-temps.
dimanche, décembre 10, 2006
Ma pensée du jour en ce beau jour de dimanche
Si tu est loin de toi-même, comment peut tu être près des autres et par la suite être près de Dieu.
Saint-Augustin
Saint-Augustin
Mon "ying" et mon "yang"
Mon côté masculin et viril versus mon côté féminin. En autres mots, la dualité existante dans le corps de John.
Ce que je crois et me laisse guider ainsi. C’est qu’en tout homme il y a un côté féminin qui sommeille et ne demande qu’à s’exprimer, non pas pour se traduire en des airs efféminés, mais pour lui apporter entre autres la puissance de l’intuition et le désir de la beauté intérieure et extérieure.
Pendant tout le temps les loups se sont dévorés entre eux. Mon côté féminin se contentait de préparer un terrain favorable à l’élaboration de son plan intuitif pour le printemps qui allait venir.
Mon côté intuitif, donc féminin, mue par un désir profond de trouver des moyens pour faire émerger de la pénombre un monde meilleur et des plus harmonieux, commençâmes alors déjà à planter les petites graines de sagesse que j’avais bien pris soin d’amasser pendant mon temps de sècheresse.
En ce printemps de mon humanité nouvelle, on me vois projeter autour de moi mon savoir et ma richesse spirituelle. Ma féminité en soi, conseille subtilement mon côté masculin, et m’entraîne à aller plus loin, encore et encore, peu à peu sur la route de ma destiné.
Je sais ou je m’en vais et c’est pourquoi personne ne pourra m’arrêter. À force de consolider ma puissance intérieure par une insatiable soif de comprendre le fond des choses et d’engendrer continuellement la beauté, et cet effet ne pourra qu’entraîner l’humanité vers ce fameux âge d’or que l’on entend et nous promet depuis des siècles.
Mon yang devient peu à peu la source de ma connaissance et de tout espoir de paix sur cette terre et entre les hommes. Apporter la paix est mon ultime but et j’y parviendrai si je persévère et devient conscient quotidiennement de l’importance de ma mission.
Quand l’homme, le côté masculin, le « ying » sera rendu au fond du cul-de-sac dans lequel il s’affaire, depuis tant de siècles, à conduire la race humaine, il n’aura pas d’autres choix que de s’abreuver à sa source féminine et enfin écouter de qu’à à dire la femme et pourquoi pas le « yang » en soit.
Quel beau moyen que la vie nous accordes pour devenir en quelque sorte un élève et cheminé avec notre féminité en soi.
Ce que je crois et me laisse guider ainsi. C’est qu’en tout homme il y a un côté féminin qui sommeille et ne demande qu’à s’exprimer, non pas pour se traduire en des airs efféminés, mais pour lui apporter entre autres la puissance de l’intuition et le désir de la beauté intérieure et extérieure.
Pendant tout le temps les loups se sont dévorés entre eux. Mon côté féminin se contentait de préparer un terrain favorable à l’élaboration de son plan intuitif pour le printemps qui allait venir.
Mon côté intuitif, donc féminin, mue par un désir profond de trouver des moyens pour faire émerger de la pénombre un monde meilleur et des plus harmonieux, commençâmes alors déjà à planter les petites graines de sagesse que j’avais bien pris soin d’amasser pendant mon temps de sècheresse.
En ce printemps de mon humanité nouvelle, on me vois projeter autour de moi mon savoir et ma richesse spirituelle. Ma féminité en soi, conseille subtilement mon côté masculin, et m’entraîne à aller plus loin, encore et encore, peu à peu sur la route de ma destiné.
Je sais ou je m’en vais et c’est pourquoi personne ne pourra m’arrêter. À force de consolider ma puissance intérieure par une insatiable soif de comprendre le fond des choses et d’engendrer continuellement la beauté, et cet effet ne pourra qu’entraîner l’humanité vers ce fameux âge d’or que l’on entend et nous promet depuis des siècles.
Mon yang devient peu à peu la source de ma connaissance et de tout espoir de paix sur cette terre et entre les hommes. Apporter la paix est mon ultime but et j’y parviendrai si je persévère et devient conscient quotidiennement de l’importance de ma mission.
Quand l’homme, le côté masculin, le « ying » sera rendu au fond du cul-de-sac dans lequel il s’affaire, depuis tant de siècles, à conduire la race humaine, il n’aura pas d’autres choix que de s’abreuver à sa source féminine et enfin écouter de qu’à à dire la femme et pourquoi pas le « yang » en soit.
Quel beau moyen que la vie nous accordes pour devenir en quelque sorte un élève et cheminé avec notre féminité en soi.
samedi, décembre 09, 2006
L'origine de mal d'après John
Il est indiscutable que l'homme a depuis belle lurette fait mainmise sur la politique, la religion, les mondes intellectuel et financier. Toutes les énergies et tous les efforts qu'il a gaspillés à l'établissement et au maintien de ce pouvoir lui ont peut-être fait perdre peu à peu de son âme! Il n'y a pourtant rien de foncièrement méchant dans sa démarche. Le problème, c'est que cette habitude-attitude de supériorité, s'est installé chez lui avec le temps, de génération en génération, sans qu'il s'en rende compte. Maintenant, il en est à considéré cette suprématie masculine comme tout à fait normale et, comme je l'ai précédemment écris, indiscutable.
L'homme a créé en lui et autour de lui un déséquilibre qui se répercute à bien des niveaux, ce qui d'après-moi, lui fait perdre le véritable sens de l'harmonie et du bien être de l'humanité. Il a acquis par la force des choses, cette vilaine habitude de n'agir souvent qu'en fonction de son développement personnel. Du moins, c'est ce que j'en comprend à étudier ce qui m'entoure.
L'homme ainsi imbu de son égo agit comme un organe du corps humain qui déciderait un jour de cesser de travailler pour le bien-être du corps entier pour ne s'occuper que de son propre fonctionnement, indépendamment des autres composantes de l'organisme auquel il appartient. Peu à peu, le reste du corps s'en ressentirait et souffrirait parce que l'un de ces éléments ne travaille pas en harmonie avec les autres. Le corps tout entier en ressent les soubresauts et devient malade!
Tel est le monde présentement. Les querres déclarées ici et là ne sont souvent que le fruit de batailles intellectuelles et idéologiques entre hommes d'état-pouvoir et qui bien souvent semblent rester parfois totalement indifférents devant les pertes humaines. Il leur importe uniquement d'avoir raison.
Béni sois-tu
Béni sois-tu, l'homme de peuple qui, malgré tout, savait qu'il y a un prix à payer pour tous gestes que tu portes, toutes paroles que tu dis, tous mots que tu écris.
Béni sois-tu, l'homme de pouvoir que tu es devenu parce-que tu savais qu'au départ, ton pouvoir ne t'est accordé que de par la main de ceux qui ne peuvent l'avoir, par les déshériteux, les malheureux, les pieds nus de ta vie, ceux qui ne peuvent ou ne savent pas exprimer librement leur colère.
Béni sois-tu, l'homme de conviction que tu es devenu parce que tu sais très bien que ce qui t'est accordé, ne sera que pour un temps et que tout ce qui t'est donné, te sera repris.
Béni sois-tu, l'homme de valeurs, parce que tu sais trop bien l'estimation des vies que tu représentes et portes sur toi, la croix, le fardeau de ton monde
Béni sois-tu, parce-que tu tentes à ta façon de changer le cours de la vie, de changer les choses, de bousculer et de créer ton monde nouveau, un des plus juste, plus vrai, plus équitable que celle que tu cotois.
Béni sois-tu, parce que la volonté de ton peuple est devenu ta force et le besoin de ton peuple est devenu ta justice.
Béni sois-tu, et poursuis ton oeuvre.
Toi, l'homme du peuple. Toi l'homme de ton peuple.