Mon "ying" et mon "yang"
Mon côté masculin et viril versus mon côté féminin. En autres mots, la dualité existante dans le corps de John.
Ce que je crois et me laisse guider ainsi. C’est qu’en tout homme il y a un côté féminin qui sommeille et ne demande qu’à s’exprimer, non pas pour se traduire en des airs efféminés, mais pour lui apporter entre autres la puissance de l’intuition et le désir de la beauté intérieure et extérieure.
Pendant tout le temps les loups se sont dévorés entre eux. Mon côté féminin se contentait de préparer un terrain favorable à l’élaboration de son plan intuitif pour le printemps qui allait venir.
Mon côté intuitif, donc féminin, mue par un désir profond de trouver des moyens pour faire émerger de la pénombre un monde meilleur et des plus harmonieux, commençâmes alors déjà à planter les petites graines de sagesse que j’avais bien pris soin d’amasser pendant mon temps de sècheresse.
En ce printemps de mon humanité nouvelle, on me vois projeter autour de moi mon savoir et ma richesse spirituelle. Ma féminité en soi, conseille subtilement mon côté masculin, et m’entraîne à aller plus loin, encore et encore, peu à peu sur la route de ma destiné.
Je sais ou je m’en vais et c’est pourquoi personne ne pourra m’arrêter. À force de consolider ma puissance intérieure par une insatiable soif de comprendre le fond des choses et d’engendrer continuellement la beauté, et cet effet ne pourra qu’entraîner l’humanité vers ce fameux âge d’or que l’on entend et nous promet depuis des siècles.
Mon yang devient peu à peu la source de ma connaissance et de tout espoir de paix sur cette terre et entre les hommes. Apporter la paix est mon ultime but et j’y parviendrai si je persévère et devient conscient quotidiennement de l’importance de ma mission.
Quand l’homme, le côté masculin, le « ying » sera rendu au fond du cul-de-sac dans lequel il s’affaire, depuis tant de siècles, à conduire la race humaine, il n’aura pas d’autres choix que de s’abreuver à sa source féminine et enfin écouter de qu’à à dire la femme et pourquoi pas le « yang » en soit.
Quel beau moyen que la vie nous accordes pour devenir en quelque sorte un élève et cheminé avec notre féminité en soi.
Ce que je crois et me laisse guider ainsi. C’est qu’en tout homme il y a un côté féminin qui sommeille et ne demande qu’à s’exprimer, non pas pour se traduire en des airs efféminés, mais pour lui apporter entre autres la puissance de l’intuition et le désir de la beauté intérieure et extérieure.
Pendant tout le temps les loups se sont dévorés entre eux. Mon côté féminin se contentait de préparer un terrain favorable à l’élaboration de son plan intuitif pour le printemps qui allait venir.
Mon côté intuitif, donc féminin, mue par un désir profond de trouver des moyens pour faire émerger de la pénombre un monde meilleur et des plus harmonieux, commençâmes alors déjà à planter les petites graines de sagesse que j’avais bien pris soin d’amasser pendant mon temps de sècheresse.
En ce printemps de mon humanité nouvelle, on me vois projeter autour de moi mon savoir et ma richesse spirituelle. Ma féminité en soi, conseille subtilement mon côté masculin, et m’entraîne à aller plus loin, encore et encore, peu à peu sur la route de ma destiné.
Je sais ou je m’en vais et c’est pourquoi personne ne pourra m’arrêter. À force de consolider ma puissance intérieure par une insatiable soif de comprendre le fond des choses et d’engendrer continuellement la beauté, et cet effet ne pourra qu’entraîner l’humanité vers ce fameux âge d’or que l’on entend et nous promet depuis des siècles.
Mon yang devient peu à peu la source de ma connaissance et de tout espoir de paix sur cette terre et entre les hommes. Apporter la paix est mon ultime but et j’y parviendrai si je persévère et devient conscient quotidiennement de l’importance de ma mission.
Quand l’homme, le côté masculin, le « ying » sera rendu au fond du cul-de-sac dans lequel il s’affaire, depuis tant de siècles, à conduire la race humaine, il n’aura pas d’autres choix que de s’abreuver à sa source féminine et enfin écouter de qu’à à dire la femme et pourquoi pas le « yang » en soit.
Quel beau moyen que la vie nous accordes pour devenir en quelque sorte un élève et cheminé avec notre féminité en soi.
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