La sagesse versus l'intolérance de la croyance d'autrui.

Pour ceux qui me connaissent, vous savez que 2 fois l’an, je donne des conférences dans le bût d’amasser de l’argent pour une de mes fondations. J’y parle de moi, de mon vécu, de mes malheurs et bonheurs sans être pudique. Cela en est même drôle comment j’arrive à me livrer si facilement devant autant de personnes et que j’ai autant de difficultés à le faire dans ma vie privé, dans mon intimité.
Quoiqu’il en soit, un jour que je donnais une de mes conférences sur ma conception de la vie, de la mort et même de la réincarnation. Chose que j’avais dis quelques années auparavant ne pas croire et que au cas où que cela existe, je demande à Dieu, mon Dieu de ne pas revenir mdr. Mais cela est une tout autre histoire et qui démontre hors de tout doutes que seuls les fous ne peuvent pas changer d’idée comme ma mère disait dans le temps.
En tout cas, un jour que je donnais ma conférence, un scientifique me déclara très honnêtement qu’il trouvait un peu simpliste ma façon de voir les choses et qu’il préférait des explications plus rationnelles. Je lui ai alors répondis que je ne pouvais malheureusement pas lui en fournir et qu’il n’était vraiment pas obligé de me croire si son cœur lui dictait le contraire.
Le fait qu’il soit sûr que sa vision des choses était la meilleure, et qu’il ait le courage de le clamer devant tout le monde, prouvait effectivement qu’il ne devait pas la changer pour l’instant. Je lui demandai alors seulement de garder l’esprit ouvert au cas où il aurait besoin d’éléments supplémentaires, éléments que ce précieux rationnel ne pouvait résoudre.
Pour cet homme, toute explication à quelque phénomène que ce soit devait d’abord passer par l’intellect et la démonstration scientifique. Ma conception de l’âme qui revient vie après vie connaître diverses expériences dans de différents corps, à travers la maladie et les infirmités, dans le but d’atteindre la perfection lui semblait trop simple pour être « vrai ».
Pour lui, l’évolution de l’âme à travers un corps malade relevait de la pure fiction. Après toutes ces années de recherches, de questionnements intérieur, je me suis finalement rendu compte que tout était d’une incroyable simplicité, que tout est question de perceptions, mais que nous avions le don de tout compliquer, de se compliquer la vie, sa vie.
L’HOMME EST CORPS ET ESPRIT, RATIONNEL ET INTUITIF; LE MARIAGE DES DEUX DONNE NAISSANCE À LA SAGESSE.
Il ne s’agit pas non plus de subir et de tolérer sans dire mot! Il est même de notre devoir d’affirmer notre point de vue avec détermination et force, s’il le faut des fois, afin de réveiller ceux qui dorment au bout de leur route et qui ne demandent, bien inconsciemment, qu’un coup de pouce pour s’élancer à leur tour vers de nouveaux horizons plus lumineux.
Jésus, ce Grand Sage, n’a-t-il pas réagi avec vigueur en certaines occasions pour éveiller la conscience de ceux qui s’enlisaient dans leurs vieilles habitudes?
Quand on dis « tolérer », on veut dire tout simplement « accepter » que certaines personnes puissent penser autrement que nous et soient sur un chemin d’évolution différent, quoique tout aussi valable que le nôtre. C’est la position que devront emprunter les grandes religions si elles veulent survivre à cette ère où tant de changements intérieurs et extérieurs se produisent.
Dernière de cette série prévu pour demain…..
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