lundi, février 26, 2007

Will you be there for me

There for me, like an angel after the night. Will you be there for me, a friend that would follow my life. For the time that passes by, from youth till paradise. Will you be there for me.

If I ever need you, will you hold my hand, will you lead my steps to show me the road, the paths to follow, that great persons like you do. To where or what, I don’t know.

I would show you the world through my eyes. You would makes me rounds throughout your stories. Then one day, you would leave, you would choose paths for you. So then would you tell me ….

Will you be there for me, will you feel my presence, even when you would be far away. Will you offer me a few dances, while talking about you, unconditionally. Will you be there for me.

If I wanted to go, why for and why without you, to where or what, reassure me.

I would always go back to you for all the life to live, for all the love to live. I would rock you over and over for life and death. There is some winds of eternity that are blowing around you and me. But in your arms ….

I would be there for you, You will feel my presence even when you would be far away from me. I will offer you a few dances while talking about me, unconditionally.

I would be there for you, there for me. There for you to be there for me.

dimanche, février 25, 2007

Je suis toujours là

Voici un texte que m'a fais parvenir un brave être. Le texte n'est pas de moi mais je le présente ici à qui veux le lire.

Je suis toujours là. Enfermé. Je l’observe toujours. Recroquevillé contre le mur de ma prison. Je ne pleure pas, je n’ai pas la force de sangloter. Je me demande même si je suis triste. Maintenant, ma vie est marginale. Tout ce qui me reste, c’est ce que vous lisez à l’instant. Vous vous demandez peut-être ce qui s’est passé? Ne vous inquiétez pas, je n’ai rien de mieux à faire que de vous le raconter…

À ma naissance, je fus aimé et choyé. Bien que mes parents étaient très pauvres, nous vivions tout de même confortablement. Par contre, je ne voyais presque jamais mon père. Le jour, il travaillait comme concierge au bureaux du gouvernement, et la nuit, il quittait hâtivement la maison pour se rendre dans un endroit connu de lui et des quelques personnes qu’il y rencontrait exclusivement. Chaque matin, il voyait la curiosité me ronger ardement, alors, pour assouvir cette soif, il me racontait ce qui s’était passé ce jour là. J’étais très jeune alors je n’y compris presque rien, mais maintenant, je sais de quoi il s’agit. Vous, bien sur, vous ne devriez point le savoir, puisque c’est précisément pour cette raison que ma vie est si horrible. Alors que je fêtais mes 8 ans, mon père avait demandé une journée de congé pour pouvoir me tenir compagnie. Or, je voyais bien qu’il semblait préoccupé par tout autre chose. Il agitait fébrilement les doigts et ses yeux reflétaient l’étendue de sa crainte. Une fois la fête avec terminée, et tout mes amis partis, je pris la direction de ma chambre pour m’y coucher. Mon père me suivit et vint s’asseoir à mes cotés. Il m’enlaça et me murmura à l’oreille: «Anilasir, souviens t’en, c’est tout ce qu’il te restera.» Je le regardai sans comprendre la signification de sa phrase, mais il ne répondit pas au questionnement silencieux de mon regard. Il referma la porte derrière lui sans faire de bruit et descendit les escaliers. C’était la dernière fois que je le voyais. Le matin, lorsque je me réveillais, je n’était plus dans une chambre. J’étais allongé sur le plancher dans une cellule sombre, au murs de béton. Ils appelaient cela : l’Isolation. Pendant des années, tout ce qui me fut donné de voir, c’était le repas qui m’était glissé dans une fente de la lourde porte de fer. Pendant des années, je ne vit aucun visage. Pendant des années, je n’eu personne a qui parler. Pendant des années, je fixai le loquet de la porte pour voir si quelqu’un viendrait me chercher. Apparemment, ce ne fut pas le cas. Le seul moment ou on me traînait à l’extérieur de ma cellule, c’était pour m’asseoir dans une chaise de bois, éblouit. J’étais, à chaque fois, interrogé par une voix gutturale. Je ne vit jamais le visage de mon interlocuteur. Il semblait empli d’une haine immarcescible. Était-ce lui qui m’octroyait ma subsistance? Non. Il semblait être le personnage le plus cruel aux alentours. Mais il y avait une autre personne. Celle-ci, je n’avais aucune idée de la nature de ses sentiments. Je ne voyais que ses mains, un stylo et un calepin. À chaque fois que je bégayais une réponse fictive aux questions qui m’étaient posées, elle griffonnaient frénétiquement sur le calepin. J’aurais tué pour savoir ce qu’il écrivait. Après des heures d’interrogation, ils me retournaient dans ma cellule. Mes yeux étaient toujours secs, et des veines dilatées saillaient tout au long de mes bras. J’était vêtu d’une chemise grise, déchirée, et d’un short de même nature. Ma vie semblait être un interminable enfer. Mais un jour, tout changea. Ma cellule eu la chance d’accueillir quelqu’un d’autre que moi. C’était un vieil homme. On avait brusquement ouvert la porte et on l’avait jeter dans ma cellule. Il devait avoir environ soixante ans. Je le regardait chaque jours, lui, avait toujours un œil rive sur moi. Il semblait plongé dans ses pensées, tentant de fuir ce monde horrible. Je le fixais intensément. Aussitôt, je su que cet homme n’était pas comme les autres. Son œil était complètement noir. Je le regardais, cette ombre ronde lui donnait une apparence méphistophélique. Il me dévisageais, j’avais l’impression que ses yeux perçaient ma chair. Avec une telle apparence, j’avais la certitude qu’il pourrait transiter lors du jugement dernier. Curieusement, il ne dormait jamais, et ne subissait aucune interrogation. Moi non plus d’ailleurs. Le plus curieux dans tout cela, c’était qu’il ne mangeait pas. Étions-nous toujours vivant? Était-je en enfer? Qui était cet étrange homme? Plusieurs semaines plus tard, je le compris. Alors que je mangeait ma ration, j’avais pris l’habitude de lui parler de tout et de rien, même s’il ne m’écoutait pas. Alors en prenant une bouchée de pain sec, je lui dis :

-Il se passé des choses étranges ici. Mais où allons-nous?

Et il répondit gravement :

-Vers l’inéluctable échec qui nous sert de quotidien.

Je le regardais, incrédule. C’était la première fois qu’il daignait ouvrir la bouche depuis des semaines! (si ma notion de temps était bonne) Et il n’avait toujours pas mangé! Je bégayais quelques secondes, cherchant mes paroles, quand un craquement sourd retentit. J’étais affolé, mes yeux cherchaient la provenance de ce bruit, et tout ce qu’ils rencontraient était ce vieil homme énigmatique à l’œil sombre. Des bruits de pas résonnèrent dans le long couloir. Je sommait le vieil homme de ne rien dire, de les laisser passer, mais c’était inutile. Les pas s’étaient arrêtés. Devant notre cellule. Le loquet tourna lentement, dans un grincement strident, et retomba lourdement. La personne derrière la porte repoussa celle-ci lentement, je serrai les dents, convaincu de voir arriver la fin de la seule amitié qui m’ai été donnée. Mais lorsque le personnage se montra, je n’en fut que plus surpris. Il semblait être vêtu d’un luxueux accoutrement. Il observa le vieil homme pendant un instant. Puis, souriant, il referma la lourde porte. Je fu profondément soulagé que le garde soit parti. Alors, regardant le viel homme, je lui dis:

-Toi et moi, c’est pour le reste de nos jours on dirait.

Il ne dit rien, mais je sentais qu’il approuvait. Passé ce jour, je partageais tout avec lui. Je déposais un peu de ma ration sur son col, même s’il n’y touchait jamais. Pour moi, c’était devenu une sorte de rituel. Je lui racontais régulièrement tout ce que je me souvenais de mon père, tout les précieux secrets qu’il m’avait communiqué. Moi et le Viel homme ne faisions plus qu’une seule conscience. Je partageait toute les informations qui me revenaient à l’esprit avec lui. En fait, tout ce qu’il me restait dans ce monde, pouvait être décrit par un mot:

«Souvenirs.»

C’est pour cela que je ne disais jamais rien à mes interrogateurs. Parce que je voulais conserver la seule partie de moi-même qui m’appartenait encore. Mes pensées et mes secrets. Ma vie avec mon père. Puis un jour, après avoir parlé longuement des mets que ma mère me préparait lorsque je rentrais le soir, je pris la décision de lui parler de mon grand secret. La chose qui était la plus limpide à mon esprit. Après avoir pris une grande respiration, je lui dis:

-Je vais te dire mon grand secret. Mon père m’a demander de ne jamais le dire, mais je crois que tu es la seule personne digne de confiance dans ce bas monde…

Je lui expliquai donc comment s’était passé ma soirée avec mon père et mes amis, et lorsqu’il m’avait dit:

-«Anilasir, souviens t’en, c’est tout ce qu’il te restera.» Aujourd’hui, je ne comprends toujours pas ce qu’il voulait dire, mais un jour, ensemble, nous le découvrirons, et jamais nos tortionnaires n’auront la chance d’entendre ce précieux secret.

Presque instantanément, des bruits de bottes martelant le sol se firent entendre. La porte s’ouvrit d’un coup, et un officier en costard entra dans la pièce. Il attrapa le Viel homme par les cheveux, et passa la main derrière sa tête. Il semblait chercher quelque chose, mais le rictus colérique qu’affichait son visage laissait entendre qu’il ne trouvait pas ce qu’il cherchait. Après quelques secondes d’acharnement, l’officier décocha un solide coup de pied dans la tempe du Viel homme. Je contemplais, horrifié, la tête du vieillard frapper le sol, et dans un craquement sourd, tout son contenu se répandit sur le sol. Mais pas une goutte de sang ne tomba. Au lieu de cela, des dizaines de puces et de fils électriques se dispersèrent partout sur le sol rugueux. L’officier déchira le tissu rose qui servait de peau, et, de derrière l’unique œil du Viel homme, il sortit une minuscule disquette. Il me gratifia d’un sourire satisfait, et quitta la pièce.

Je suis toujours là. Enfermé. Je l’observe toujours. Recroquevillé contre le mur de ma prison. Je ne pleure pas, je n’ai pas la force de sangloter. Je me demande même si je suis triste. Maintenant, ma vie est marginale. Il ne me reste plus qu’à attendre.

vendredi, février 23, 2007

Darrell, my shy romantic, here's a little something for you.

The path or the door to my hearth.

Take my hand, we will be good and fine, I am bringing you, on the path of happiness.
Take my hand, we will be good and fine, I am bringing you to the door, the door of my hearth.
Even if there is some gray days, we have to always believe in life.
Don’t stay alone in boredom or troubles, because I will always be your friend.

Take my hand, we will be well, I am bringing you to the door, the door of my hearth
Take my hand, we will feel well, because I am bringing you closer to the door of my hearth.
Why take everything so seriously, tomorrow will be better.
I already see it in your eyes, we will both come to it, together.

Starting today, I want a love and peace desire to grow in your thoughts, in what you think. And in your being, all of your soul I want you to go through all the journeys and roads of this earth in order to go on the adventure of what his good for you and that all the richness of life opens up to you like a rainbow of lights and happiness without any worries to spread your wings and be guided through all of that magnificent sky.

Take my hand, we will feel good, I am taking you to the door, the door of my hearth
Take my hand, we will be good together, because I am bringing you closer to the door of my hearth.
From your hearth, the same hearth you had as a kid, I hear the voice that speak of tears and joy.
Permit to the being of light that is in you, to reborn and sing with me.

Take my hand firmly, don’t let it go, we will be fine because I am taking you, bringing you to the journey, the door of my hearth. I am not scared at all because I am with you. The shy romantic in you has found his match.

mardi, février 20, 2007

Les pièges de l'estime de soi, selon John

Savoir et apprendre à éviter les évaluations extrêmes ( sous-évaluation, surévaluation de soi ) et l'inertie.


J’observe des conséquences néfastes liées au fait de se fixer dans une attitude extrême, Une personne trop sûre d’elle, sans marge de doute, risque la rigidité. Les autres n’aiment pas ce comportement et s’en éloigneront. Une personne trop anxieuse déploie une telle énergie à se soucier du regard des autres, qu’il pourrait ne plus lui en rester pour se comporter de manière intéressante et stimulante. En outre, elle risque de se laisser facilement impressionner par ceux qui se donnent de l’importance, et risque aussi de perdre sa concentration et son efficacité à s’adapter.

Voici des comportements que je trouve reliés à une surévaluation de soi :

. se considérer supérieur, supérieure aux autres ;
. recevoir la critique de manière catastrophiques ;
. avoir peu de façons de tenir compte des autres :
. refuser d’être comme tout le monde ;
. confondre « avoir plus », « être plus », avec « valoir plus ».

Comportements reliées à une sous-évaluation, selon moi :

. filtrer négativement ce que les autres vous disent ou vous font ;
. s’attendre systématiquement à ne pas être aimé ou aimée ;
. rester sur la défensive avec les autres ;
. résister à l’idée de partager le contrôle des choses avec son entourage.

lundi, février 19, 2007

L'estime de soi, selon John

Notre valeur ne dépend pas de ce qu’on fait ou de ce que l’on a, mais bel et bien d’aimer ce que l’on est.

Je définirais globalement l’estime de soi comme une évaluation positive, c’est-à-dire lorsque quelqu’un est satisfait des aspects de sa personne impliqués dans une situation. La représentation de nous-mêmes qui correspond à nos attentes et au rôle que nous souhaiterions jouer dans une situation précise.

L’estime de soi semble avant tout être une question d’attitude. Moi, je le sens lorsque j’adopte une bonne attitude : c’est valorisant. C’est une question d’émotions donc émotionnelle en soi. C’est aussi pour moi, selon ma perception des choses, une question universelle. Même les gens qui semblent avoir eu la vie facile ont cette tâche d’apprendre à travailler pour développer une meilleure attitude. La documentation à ce sujet rappelle fréquemment que notre valeur ne dépend pas de ce que l’on fait ou de ce que l’on a, mais bien d’aimer ce que l’on est.

Une telle démarche, si je parle de moi, devient plus concrète si je me donne comme but d’améliorer mon sentiment d’être une personne valable. Je crois qu’une personne dont l’estime de soi est élevée investit dans elle-même, donc en bref, j’investis en moi. Je crois que tous peuvent y arriver en approfondissant la conscience de ses besoins et de ses aspirations, ainsi que ses forces et ses limites. En se les appropriant, en se les accommodant, en toute honnêteté, et en sachant les limites de ce que l’on ne peut changer.

En ne se prenant pas trop au sérieux. En admettant ses erreurs dans notre vision de soi-même, des autres et du monde. Cela favorise, du moins chez moi, un choix de comportement qui entraîneront de meilleures conséquences lorsque je dois affronter des situations difficiles. Si on me demande une faveur, je ne me sens pas obligé ou obligé de répondre systématiquement oui ou systématiquement non. J’exerce alors ce que j’appelle mon libre-arbitre. Je choisis librement une réponse en fonction des mes goûts, besoins, désirs et limites du moment. IL en découle donc, une projection positive et réaliste de mon moi face à l’avenir.

Ce texte n’a que pour mission de vous fournir ou à rafraichir des notions utiles pour nous et vous aider à travailler par vous-même au développement de votre estime de soi et par conséquent expliqué du mieux que je le peux, qui est John, et comment fonctionne son intellect.

jeudi, février 15, 2007

Je fais un appel à toi mon Garry

Je souhaite tellement mon ange.

Me promenant dans le quartier, juste pour m’arrêter des fois pour ne dire comment ca va ? comment vas-tu ? et qu’y a-t-il de neuf ? et te laisser savoir que ton bébé ne vas pas si bien. Puis malgré que tu as trépassé et disparu il y a 8 ans. Je me réveille encore tard la nuit pleurant amèrement encore des larmes, à ne penser qu’à ces jours que tu avais l’habitude de me parler. Souriant pendant que je buvais ma petite bière et se rappelant et vantant les mérites du comment ne serions riches un jour, que nous le deviendrions. De partir de ce quartier, ce milieu était comme une fantaisie, notre fantaisie.

Je ne peux croire mes oreilles de que ce la majorité des gens disent. Mon ange, en vérité je te le dis, les gens n’en savent même pas la moitié, que je donnerais tout pour qu’une seule autre fois, une autre tournée, un autre tour.

Comment on avait l’habitude de juste relaxer sur la porche avant et comment nous avions l’habitude juste de relaxer et fumer du pot. Et tout ses petits joint de party pris au sous-sol. Maintenant je ne fais que te manquer, tu me manque beaucoup. J’aimerais et je souhaiterais tant …

Je souhaiterais que je pourrais te tenir à nouveau dans mes bras, que je pourrais te toucher maintenant, en ce moment. Je souhaiterais te parler de vive voix. Être avec toi d’une manière où d’une autre. Je sais que tu te trouve dans un meilleur endroit et ce même si je ne peux voir ton visage, ton doux visage. Je sais que tu me souris de là haut. Your kisses from the sky, I still can feel them. T’entendre me dire que tout vas bien, que tout iras bien. Et que je m’en sortirai de cette vie, cette fâcheuse position pour que finalement je te revois un jour.

Je souhaite tellement mon ange.

Maintenant que j’assure ma vie, que l’argent entre, tout cela n’a été que stress. Des fois je souhaiterais d’échanger mon succès parce que tous me regardent et disent, tu est bénis. Mais ils ne voient pas l’intérieur de ce que je suis, l’intérieur du malheureux que je suis. Gars, je te le jure que tout ceci deviens lourd telle une tonne. C’est pourquoi on m’entend dire haut et fort la merde, l’iniquité, l’injustice à l’exemple d’un tir de fusil. Bang et ca fais mal.

Humm, je me demande comment les amis me traiteraient présentement si je n’avais pas ce que j’ai, maison et tout. Que tout ce faux-cul de blanc, recevrais de faux nombres, et que le faux jeu jouant recevrais un jouer les haïssant tous. Bébé, mon ange, honey, l’amour deviens platine et tous en viennent à s’y assembler, à se tourner vers ce que nous sommes, ce que je suis. Mais que tout cela ne servirais à rien de faire sauter le plafond jusqu’au moment j’aurai fini d'exprimé toute ma merde, ma rage, ma peine.

Je me rappelle des tournements, et comment nous en avions l’habitude de vivre sans soucier de rien les fins de semaines. Ta famille qui appelle le matin de la fin tragique. Sacrament à toutes ces marques de sympathies.

Des vois dans ma tête me disent viens à l’église. Disent que Dieu, le Seigneur est la seule façon pour moi d’arrêter la souffrance. Rêvant de vitres teintées tels que celles d’un corbillard quand se réveiller, revenir à la vie une fois de plus, semble être pire. Et tout ce que j’ai voulu est être un meilleur homme et que j’essais d’être vrai avec mes pots, ceux de mon quartier, ma ville, ma communauté. Pour moi de sauver le monde, je ne sais plus comment le faire, comment m’y prendre. Comment suis-je devenu le guide de tellement de gens, de ce que je vois comme étant une multitude.

Avec toi, comment j’en arrivais à performer tout les jours et toi mon ange les vendredi soirs. Je me rappelle de tant de choses, tellement de choses. Et comment j’avais l’habitude d’aller à le messe de Pâques avec toi. Là je ne fais que me tenir pendant qu'ils me lancent des pierres. Que quelqu’un prie pour moi.

Je souhaite tellement mon ange ….

dimanche, février 11, 2007

La Déclaration de Paris, Février 1995

De la Chaire UNESCO d’étude des fondements philosophiques de la justice et de la société démocratique. Il y a eu une déclaration en 1995 suite aux journées internationales d’étude sur le sujet « Philosophie et démocratie dans le monde ». Voici en gros ce que j’en crois et applique selon mes perceptions de ce qui est juste et bon.

Je constate que les problèmes dont traite la philosophie sont ceux de la vie et de l’existence des hommes considérés universellement et que j’estime moi aussi que la réflexion philosophique peut et doit contribuer à la compréhension et à la conduite des affaires humaines.

Si on considère que l’activité philosophique, qui ne soustrait aucune idée à la libre discussion, qui s’efforce de préciser les définitions exactes de notions utilisés, de vérifier la validité des raisonnements, d’examiner avec attention les arguments des autres, permet à chacun d’apprendre à penser par lui-même.

L’enseignement philosophique favorise l’ouverture d’esprit, la responsabilité civique, la compréhension et la tolérance entre les individus et entre les groupes. L’enseignement ou l’éducation philosophique, forme des esprits libres et réfléchis, capable de résister aux diverses formes de propagande, de fanatisme, d’exclusion et d’intolérance, contribue à la paix et prépare chacun à prendre ses responsabilités face aux grandes interrogations contemporaines, notamment dans le domaine de l’éthique.

Je juge alors, tout comme eux, que le développement de la réflexion philosophique, dans l’enseignement et dans la vie culturelle, contribue de manière importante à la formation des citoyens, en exerçant leur capacité de jugement et qui en fait un élément fondamental de toute démocratie.

Malgré que je crois que l’enseignement philosophique doit être assuré par des professeurs compétents, je crois aussi que la connaissance des réflexions philosophiques des différentes cultures, la comparaison de leurs apports respectifs, l’analyse de ce qui les rapproche et de ce qui les oppose doivent être poursuivis et soutenues non pas par seulement les institutions de recherches et d’enseignement mais aussi de par tout homme de bonne volonté tel que aller et propager la bonne nouvelle.

Et je crois sincèrement que l’activité philosophique, comme pratique libre de la réflexion, ne peut considéré aucune vérité comme définitivement acquise et incite à respecter les convictions de chacun. Elle ne doit en aucun cas, sous peine de se nier elle-même, accepter les doctrines qui nient la liberté d’autrui, bafoue la dignité humaine et engendrer la barbarie.

Ceci est ce en quoi je crois et applique à ma façon quotidiennement. Je suis ce que je suis, ni plus, ni moins mais je suis en même temps tout.

vendredi, février 09, 2007

Pas moyen de l'éviter

La qualité de vie commence par sa propre qualité de vie

John 45

samedi, février 03, 2007

J'abandonne

Bientôt tout ne sera qu'un mauvais souvenir. On diras peut être, j'aimerais du moins que l'on dis; il a tenté au moins de faire changer les choses et s'y ai fraccassé le visage à tenter de le faire. Je suis fatigué de me battre. Je rend les armes. Le guerrier est fatigué, le guerrier n'en peux tout simplement plus. Ce monde ingrat et injuste je vous le laisse. Moi je n'y vois plus aucunes solutions, plus aucunes avenues possible. Il y a rien à faire. Ce que j'ai appris, plus tu te bât pour rendre le monde plus juste, plus sain; plus il deviens pire. Donc j'abandonne.

Sir John's Book



Entrer dans son univers et prenez le temps de le découvrir ce n’est pas toujours simple, mais il est quelqu’un d’authentique qui n’a pas peur de ses opinions et de ses convictions. Il s’agit d’aller plus loin que le côté « rough ou tough » de sa personne en apparence, afin de découvrir ce qui se cache dans son âme.

John - "J’aime ce qui est vrai, sans détour, ni artifice. Je ne recherche rien de particulier, mais tout à la fois, je suis fidèle et sincère. J’aime les gens droits, mais non sans défauts, sinon la vie ne serait pas ce quelle est. "
Who am I ???

How should-I present myself ? The best way, I think, it’s to let things flow by itself or themselves. So here is my try. Male obviously, 45 years of age, 5-11 and ½ and believe me, the half part is important to me lolll. 175-180 lbs and I am a red-head sort off loll. Taurus so it mean’s that in a few months I will be older and hopely more wiser loll.

My enterests lies in few simple things in life. I have 2 kids, a boy and a girl that I love a lot. They are my greatest joy. I am a single Dad but I do thank God or my Creator always for that gift. I value friendship a lot, have not too many friends but the ones I’ve got, I am sure that they will be there for whatever time is left for me to live in this life. I am one of those who know for sure the value of life. Even thow sometimes I find myself into a bitchy mood. Lived a hard life but a real one. Took me a long time to find out who I am realy and what I am made off. But for sure now I know who I am and now I know what I need, want and desire the most in life. I think that I hold strong moral values and try to live by them all the time.

I am a social worker, working mostly with kids, handicaped people and some of those most unfortunate but sick. Sickness been there, got the message and came back. Was handicaped for a lot of years but dont consider myself in that state anymore. I do give a lot to others, listen a lot, give advice a lot and sometimes argue a lot when I feel that I have to defend injustices and maltreatment. In those times I become the most fierce person you may encounter. Because I realy believe that someone has to take stand firmly an react.

I like doing some oil painting when I’ve got time, writing when I’ve got time,
Reading a lot of times but loll what I like the most is to read law-books. I do like to give myself a decor which no other will find anywhere else. So I like painting walls, do some indoor decorating, restor old furniture, it calms my nerves loll. I like to chat but for one purpose only. I am trying to fing the mate, the only one that will matter. I like seeing films, staying at home, cooking. Like flowers and working outside in season. I think that all of this gives you a pretty good idea of who I am.

The only things that I miss the most in my life, is the ones that I loved and went back home from where they came and where one day I will be reunited with them. What I miss also is the one, the mate, the one that will count a lot to me. Is it you ??? Only one way to know. Communicate with me.
I believe, believe and believe a lot in my Creator and the angels around me.